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Pour mieux connaitre  l’histoire politique de Vitrolles, gérée pendant 5 années (1997 - 2002) par l'extrême droite et le couple Bruno et Catherine MEGRET, plus de 200 articles de presse sont à votre disposition (colonne de droite, rubrique "thèmes" sur ce blog). A l'heure de la banalisation de l'extrême droite, un devoir de mémoire s'impose avec l'expérience vécue à  Vitrolles.

Cette histoire politique est désormais complétée par des vidéos que vous pouvez retrouver dans le thème "l'histoire politique de Vitrolles en vidéo", dans la colonne de droite. Cette rubrique sera renseignée au fil du temps.

@ DH
4 juin 2009 4 04 /06 /juin /2009 04:51

 



Le Front de Gauche se mobilise à Vitrolles-Marignane et mène la campagne jusqu'au dernier jour !



Le jeudi 4 juin, le Front de Gauche fera une distribution de tracts aux 2 Ronds Point  de Carrefour Vitrolles à 11h30 avec Virginie CAVA , candidate du Front de Gauche et salariée dans notre ville !


Virginie CAVA exerce des responsabilités syndicales au niveau national, est militante du PCF et est elle -même salariée de Carrefour Vitrolles.


« Comment recréer de la confiance et une conscience dans les entreprises avec les salariés qui subissent de plein fouet, année après année, l'appétit féroce des actionnaires ? C'est la question que s'est posée Virginie et qui l'a conduite à s'engager avec le Front de Gauche ! »


Le vendredi 5 juin Karim GHENDOUF, numéro 2 de liste du Front de Gauche sera à Vitrolles et Marignane :


7h30 à 9h30 : Distribution de tracts au Rond Point Ghazarian


7h45 à 8h15 : Distribution de tracts au Lycée Jean-Monnet


10h00 - 11h00 : Distribution de tracts et rencontre des Vitrollais au Marché des Pins


11h00 : Rencontre des Vitrollais au Centre commercial des Pins


12h00 - 13h30 : Centre Urbain


14h00 : Rencontre avec les salariés de Lithotec à Rognac


16h00 : Ecole Jean Moulin à Marignane


16h45 - 17h30 : Rencontre avec les Marignanais parc Camoin


18h00 : Réunion d'appartement à Vitrolles



« En 2005 il a dit non à l'Europe des financiers ; en 2009, il propose de bâtir l'Europe au service des citoyens. Son ambition, notre ambition, c'est la votre : une Europe forte, solidaire, dynamique, au service de tous. Nous avons défilé ensemble les 29 janvier, 19 mars, 1er mai et 26 mai, votons ensemble pour nous le 7 juin ! Tel est le message de Karim »


A suivre,

DH




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Published by Didier HACQUART - dans Front de Gauche
3 juin 2009 3 03 /06 /juin /2009 05:52




« S'abstenir c'est laisser sa voix et les mains libres à la droite et à tous ceux qui ont voté le traité de Lisbonne ».


Par Alain BOCQUET, Député du Nord, à la tribune de Lens (meeting du 

Front de Gauche le 29 mai 2OO9) :


Or ce qui se prépare est très grave pour les peuples européens et le peuple français.


On ne nous dit pas tout !


On vous cache, Sarkozy en tête, un document confidentiel du Conseil de l'Union Européenne datant du 28 avril 2009 (document 8250/09-ECOFIN257) qui intime à la France d'aller plus loin et plus vite dans  "son programme national de réformes, de renforcer la concurrence dans les secteurs de l'énergie et du fret ferroviaire, ainsi que dans les professions réglementées pour moderniser le marché du travail"


Quelques lignes plus loin, on notifie à la France de "poursuivre l'amélioration du cadre général de la concurrence dans les secteurs des services". Autrement dit de privatiser plus vite !


« Ces problèmes doivent être réglés », poursuit le texte, « tout en respectant l'objectif d'encadrement des couts annoncés par le gouvernement », à savoir une croissance zéro des dépenses publiques »


Ainsi, c'est très clair, le Conseil Européen réclame plus de concurrence, d'attaques contre les secteurs et services publics et de nouvelles diminutions des dépenses publiques et sociales, alors que l'argent coule à flot, pour les banquiers et les multinationales sans aucune contre partie pour l'emploi et les salaires.


Il faut réclamer la transparence en exigeant que ce document sorte de la confidentialité et qu'un débat télévisé soit organisé en toute urgence !


 Alain BOCQUET

 




Comme je suis de nature curieuse et que j'aime bien la précision, je suis allé à la recherche de ce fameux document et donc notamment sur le site du Conseil de l'Union Européenne.


Je n'ai pas trouvé le document en question du fait sans doute de son caractère confidentiel, ce qui au demeurant pose interrogation.


Ceci dit j'ai trouvé quelques perles qui alimentent le débat et qui vont dans le sens de l'intervention d'Alain BOCQUET, Député PC, notamment :


Conclusions du Conseil concernant le rapport sur l'état d'avancement du réexamen du marché unique (2922ème session du Conseil AFFAIRES ÉCONOMIQUES et FINANCIÈRES Bruxelles, le 10 février 2009) :


Le Conseil ECOFIN(*) souligne que le marché unique constitue l'un des plus grands succès de l'UE et qu'il reste un moteur essentiel de l'amélioration de la compétitivité générale en Europe. Un marché unique fonctionnant efficacement et sans entraves est de nature à renforcer la capacité de rebond de l'économie européenne et à accroître le potentiel de croissance, la création d'emplois et la prospérité des citoyens.

 

Le Conseil ECOFIN insiste sur le fait que le marché unique est un atout particulièrement précieux, qui doit être préservé en cette période de crise financière et de ralentissement économique. Lorsqu'ils décident des mesures à prendre, notamment en réponse à la crise actuelle, les États membres devraient s'abstenir de recourir à des actions qui ont pour effet de restreindre les quatre libertés et de fausser la concurrence, l'ensemble des acteurs devant pouvoir prendre des initiatives rapides et souples. Il convient que la mise en œuvre du plan européen pour la relance économique soit conforme à ces mêmes principes régissant le marché unique (tels que la non-discrimination et la proportionnalité) et que les règles relatives aux aides d'État soient pleinement respectées. Dans ce cas, le marché unique fournira un cadre approprié pour le redressement économique.

 

Conseil ECOFIN ESTIME qu'il importe avant tout, pour le marché unique, de renforcer la confiance des consommateurs, de simplifier l'environnement des entreprises et de réduire les charges administratives pesant sur les PME, de renforcer la concurrence dans l'ensemble de l'économie, en particulier sur le marché des services (par la mise en œuvre, en temps voulu, de la directive relative aux services) et dans le secteur des entreprises de réseau (par exemple, l'énergie, les transports et les télécommunications), d'accroître l'efficacité des services financiers de détail, de consolider la stabilité financière, d'éliminer les obstacles sur le marché du travail, de créer un environnement de marché propice à l'innovation, et notamment d'instituer un brevet communautaire, d'investir dans les compétences des individus et d'encourager l'ouverture vers l'extérieur. Le Conseil INSISTE, à cet égard, sur la nécessité de mettre en œuvre sans délai les réformes structurelles prévues dans le programme communautaire de Lisbonne.


Au clair, vive la concurrence libre et non faussée. Beau communiqué, mais qu'en est-il des hommes et femmes salariés, des chômeurs, des retraités, etc. ?


L'avis du Conseil relatif au programme de stabilité actualisé de la France, tel qu'il a été adopté par le Conseil ECOFIN le 10 mars 2009 :


Il est notamment demandé à la France :


De « prendre de nouvelles mesures afin de garantir le respect par tous les sous-secteurs des objectifs de réduction des dépenses pluriannuelles du secteur public, poursuivre l'application de mesures dans le cadre de la révision générale des politiques publiques et mettre en œuvre le programme de réformes structurelles, notamment en ce qui concerne la viabilité du système des retraites »

 

Tout cela est très complexe, quoiqu'ne fait finalement très simple. Nos gouvernants déroulent tout simplement un programme économique libéral à l'insu des peuples. Ce programme ne parle que d'économie, finance, concurrence libre et non faussée, mais jamais des citoyens que nous sommes.


Il faut s'opposer à ces politiques et à ceux qui les mettent en jeu, l'UMP et Sarkozy, et ceux qui l'accompagnent comme le PS (la stratégie de Lisbonne a été signée sous le gouvernement de Jospin, avec Chirac Président), les Verts avec Daniel Cobendit, le MODEM de Bayrou au sein du groupe libéral de l'ALDE.


Ne pas voter le 7 juin, c'est effectivement laisser faire l'Europe sans nous, et l'Europe que nous avons rejeté en 2005 !

 

Le 7 juin, c'est le jour de la révolution par  les urnes, votons Front de Gauche !


DH



(*) La France est représentée par Christine LAGARDE

Complément du 6 juin 2009 : Et voici le fameux rapport !



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Published by Didier HACQUART - dans Front de Gauche
2 juin 2009 2 02 /06 /juin /2009 06:53

Flash info, spécial Campagne Européenne


Jean-Luc Mélenchon sera sur Canal + (en clair) dans l'émission de Michel Denisot , "le Grand Journal", de 19h05 à 19h45.

 

DH

 

En raison de l'actualité, l'intervention de Jean-Luc a été reportée au 4 juin ...

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Published by Didier HACQUART - dans Front de Gauche
2 juin 2009 2 02 /06 /juin /2009 06:01

 

L'évènement politique de la semaine dernière était pour le PS « la bise » entre Ségolène et Martine. Par contre il n'y avait rien sur les discours, les positons du PS et ses orientations. La politique doit - elle se réduire à une bise ?


Plus localement, c'est le moment qu'a choisi le Maire pour destituer son 1er adjoint PS, depuis 2002, Jean-Claude DENJEAN.  Pour mémoire, le Maire qui avait accueilli Ségolène dans sa ville en 2006 pour l'annonce de sa candidature a quitté le PS en catimini sans le dire aux électeurs en 2007, ni aux militants de la section de Vitrolles.


Donc concrètement le PS Vitrollais est plus accaparé par les batailles internes que la campagne des européennes !

 

Dimanche c'était le dernier marché. Le PS était donc absent, le MODEM distribuait pour la seconde fois, et les Verts pour la 1èere fois. Quant à l'UMP, il est totalement absent de la campagne électoral Vitrollaise. Son leader Christian BORELLI doit sans doute compter sur Nicolas Sarkozy, car c'est lui qui doit s'occuper de tout !

 

Le Front de Gauche était évidemment bine représenté et présent, comme nous le sommes chaque dimanche depuis plusieurs semaines !


A quelques jours de l'échéance les soutiens au Front de Gauche ne cessent d'augmenter qu'ils proviennent d'économistes et universitaires, qu'ils soient artistes, qu'ils représentants des partis politiques comme le MRC, les gaullistes de Gauche, Gauche Alternative, des mouvements d'éducation populaire comme le MPEP, etc. la liste n'est pas exhaustive !


- Ils étaient 15 économistes au départ, beaucoup non encartés, d'autres qui soutenaient il y a peu le PS. Ils sont passés à 36 et sont désormais 39 ! Le Front de Gauche a un programme crédible !


- Le collectif national des gaullistes de Gauche appelle à voter pour le Front de Gauche


- Didier Daeninckx , Patrick Chamoiseau , Edmonde Charles Roux, Charb, Ariane Ascaride, Robert Guedigian , Bruno Solo, Régis Debray,...

-
Le Mouvement Politique d'Education Populaire (MPEP) soutient le Front de gauche


-
République et Socialisme appelle tous les électrices et électeurs républicains et socialistes à voter pour le Front de Gauche 

- Le
MRC du 08, du 54, 56, de l'Outre Mer et de nombreux responsables du MRC partout en France appellent à voter pour le Front de Gauche.

-
Pourquoi la Conf adhère au Front de Gauche ?

-
Déclaration de la Gauche Alternative 54   pour le soutien au Front de Gauche


-
Bernard CASSEN le fondateur d'ATTAC soutient le Front de Gauche !


A suivre et rappelez - vous la prochaine grande manifestation du peuple français est prévue le 7 juin !!!



 

 

Le 7 juin, tous ensembles pour la révolution par les urnes !!!!!!!!!!!!






A suivre, DH

 


 

Complément :

Guy BEDOS et Michel ONFRAY soutiennent le Front de Gauche

 

 

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Published by Didier HACQUART - dans Front de Gauche
1 juin 2009 1 01 /06 /juin /2009 05:42

Après le 29 janvier,


               après le 19 mars,


                               après le 1er mai, 


                                                  après le 26 mai,

 

mobilisons - nous pour la prochaine

 

grande action d'envergure nationale et européenne.

 

le 7 juin, faisons la révolution par les urnes

 

Pour moi, c'est le Front de Gauche !

 

 

 


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Published by Didier HACQUART - dans Front de Gauche
30 mai 2009 6 30 /05 /mai /2009 05:42



 

Débat à l'Assemblée Nationale des propositions des députés du Front de Gauche

 

 

 

Les Députés du Front de Gauche prennent leurs responsabilités et à l'occasion d'une niche parlementaire le 28 mai, ils ont déposé 3 projets de loi. (voir post du 27 mai 2009).

 

Le Président de l'assemblée a bloqué le vote sur ces projets de lois, afin d'éviter un positionnement des élus de toutes tendances de se positionner sur ces projets de loi. Le vote solennel est reporté au mardi 2 juin.

 

Pour autant, les projets de lois ont été débattus. Il est intéressant de lire la teneur des débats sur ces sujets essentiels...

 

Je vous livre donc les liens internet et bonne lecture...

 

 

Economie : mesures de justice sociale en faveur de l'emploi, des salaires et du pouvoir d'achat

 

Economie : promouvoir une autre répartition des richesses

 

Union européenne : statut de la société privée européenne et services sociaux d'intérêt général

 

A suivre les résultats du vote à l'Assemblée mardi prochain...

 

DH

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Published by Didier HACQUART - dans Front de Gauche
29 mai 2009 5 29 /05 /mai /2009 05:44




Revenons aux fondamentaux...


DH


 



Européennes : pour quoi je vote ?


Mercredi, 13 Mai 2009 15:49


Un mode de scrutin contestable


Entre le 4 et le 7 juin, les vingt-sept pays de l'Union européenne vont élire leurs nouveaux députés européens pour une période de 5 ans. En France, ce scrutin est fixé au dimanche 7 juin. Chaque État définit lui-même ses procédures électorales. Et pour le coup, la France ne brille pas par les règles les plus démocratiques.

 



Décryptage.


Dans notre pays, l'élection se fait au scrutin de liste à la représentation proportionnelle à un tour. Les sièges sont répartis entre les listes ayant obtenu au moins 5 % des suffrages suivant la règle de la plus forte moyenne.


A première vue, le système proportionnel assure la plus grande démocratie, faisant primer l'exigence de représentation sur celle de constitution d'une majorité. Mais, plus le nombre de sièges en jeu est faible, moins l'effet proportionnel du scrutin est important. Les véritables proportions issues des suffrages sont alors difficilement respectées et le pourcentage minimal pour obtenir un élu augmente. La division du territoire en régions électorales, freine la véritable représentativité. C'est ce qu'a fait la France en 2004, abandonnant le mode de scrutin national et découpant son territoire en 8 circonscriptions.


Avec des attributions de 3 à 13 sièges par région, les seuils électoraux se retrouvent actuellement bien supérieurs aux 5 % supposés. Il faudra surement atteindre les 7 à 10 % des voix pour décrocher un siège dans la majorité des circonscriptions, et approcher les 20 % pour avoir un élu dans les Dom-Tom. Le système défavorise clairement les petits partis, et assure la suprématie des grands. Pour preuve, le scrutin de 2004 a attribué 48 sièges au couple PS-UMP. Les scores nationaux leurs laissaient théoriquement 41 élus (1). Et bien évidemment, ce sont les forces politiques minoritaires qui sont lésées : à ce jeu, le PCF a perdu ainsi deux députés en 2004...


Or on gonfle plus encore le score des premiers arrivés par un procédé tout à fait injustifié. Car la décision d'en faire des scrutins séparés dans 8 grandes régions françaises est belle et bien absurde. Les élus au Parlement Européen y représentent la France, et non telle ou telle partie de territoire définie pour les besoins du scrutin. La France n'est pas une république fédérale ! D'ailleurs, les partis ne s'y trompent pas : ils parachutent en tête de liste de chaque région les personnalités qu'ils souhaitent voir élues en priorité, à partir de concertations nationales. Et pour une fois, c'est légitime !


Dans une moindre mesure, la méthode mathématique utilisée pour la répartition des sièges est tout aussi discutable. La France a en effet choisie la méthode d'Hondt, qui avantage légèrement les listes ayant bénéficié du plus grand nombre de voix, surtout quand le nombre de sièges à pourvoir est faible. Il existe pourtant d'autre méthodes (Sainte-Lagüe, Quotient de Hare), qui assurent un meilleur report de la proportionnalité et sont utilisées fréquemment en Europe.


Dans ces conditions, comment un nouveau parti indépendant peut-il avoir une chance de progresser ? Même soutenu par un nombre croissant d'électeurs, ses résultats ne se traduiront pas en un nombre représentatif d'élus. Sauf à faire front parmi les listes arrivées dans les premières : quand on vous dit qu'il faut se rassembler à gauche pour avoir une chance de renverser la donne !

Thomas Champigny


(1) Au regard des résultats, un mode de scrutin national en 2004 aurait théoriquement attribué les 78 députés comme suit : PS 26, UMP 15, Modem 11, FN 9, Verts 6, MPF 6 , PCF 5.


Déroulement des élections


Actuellement, les députés qui siègent au parlement européen sont au nombre de 785. La France y est représentée par 78 députés. Avec l'entrée en vigueur du traité de Nice, le nombre de représentants français sera réduit à 72.


Le dépôt des listes aura lieu du 11 au 22 mai 2009 dans chaque région. Le Front de Gauche a annoncé qu'il sera prêt, jusqu'au dernier jour, à accueillir des partenaires dans ses listes électorales. La campagne officielle débutera le 25 mai pour s'achever la veille du scrutin, le 6 juin.


Le territoire français est découpé en huit grandes régions, le nombre de siège étant attribué proportionnellement à leur population :


- Est (Alsace, Bourgogne, Champagne-Ardenne, Franche-Comté, Lorraine) 9

- Île-de-France 13

- Massif-Central Centre (Auvergne, Centre, Limousin) 5

- Nord-Ouest (Basse-Normandie, Haute-Normandie, Nord-Pas-de-Calais, Picardie) 10

- Ouest (Bretagne, Pays de la Loire, Poitou-Charentes) 9

- Sud-Est (Corse, Provence-Alpes-Côte d'Azur, Rhône-Alpes) 13

- Sud-Ouest (Aquitaine, Languedoc-Roussillon, Midi-Pyrénées) 10

- Outre-mer 3


La représentation sortante


Les appartenances politiques actuelles de nos représentants européens sont les suivantes (entre parenthèses, les groupes parlementaires européens associés) :


PS 31 (PSE), UMP 17 (PPE-DE), Modem 11 (ADLE), FN 7 (Non-inscrits), Verts 6 (Verts/ALE), MPF 3 (IND/DEM), PCF 2 (GUE/NGL), Rassemblement démocratique pour la Martinique 1 (GUE/NGL)

 

Les listes en présence par circonsciption : cliquez ICI.


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Published by Didier HACQUART - dans Front de Gauche
28 mai 2009 4 28 /05 /mai /2009 05:43




Et si on comparait les spots télévisés des partis politiques ?




Tout d'abord l'UMP...

 

 



« Nous changerons l'Europe, comme nous changeons la France »...


Soit : Démantèlement des services publics, démantèlement des services de santé, bouclier fiscal, remise en cause du code du travail, semaine à 65h00 (proposée pendant la Présidence Sarkozy),  déni de démocratie avec la ratification sans vote du Traité rejeté en 2005 par les français, etc.


Le Modem


Je suis à la recherche du clip officiel qui n'est pas sur le site du MODEM... A moins que ce ne soit le même que celui du PS diffusé ci-après ? 


J'accorde cependant pour être honnête, une différence. Les élus MODEM siègent à Strasbourg dans le groupe le plus ultralibéral qui existe !!! Donc ultralibéral pour l'Europe et de gauche en France ???

 

Mais comme un aimable militant du Modem m'a gentiment (voir commentaire ci-après) indiqué l'adresse du clip, je le diffuse ce soir. C'est vrai qu'il est intéressant. "L'Europe, c'est notre voix..., l'Europe c'est nous l'Europe des citoyens...," etc. Mais alors pourquoi François BAYROU a voté pour le traité de Lisbonne, traité refusé par les français en 2005 ? Pourquoi a - t-il voté contre nous ? Contre les citoyens français ?


 



Le PS

 

 



« Nous nous sommes mis d'accord avec les autres Partis Socialistes pour changer l'Europe » !!!!


Ok, mais comment cela peut -être crédible avec le Manifesto qui entérine la concurrence libre et non faussée ? A parti de cette base, comment parler d'environnement dans une société basée sur la concurrence ? D'Europe sociale avec un traité qui interdit l'harmonisation ? Comment être crédible quand on France le PS s'oppose à Barroso, et que c'est le candidat des anglais et espagnols ? Et pour finir, pourquoi n'avoir pas fait cette Europe, lorsque la gauche était majoritaire en Europe il y a quelques années ? Où est la cohérence ?



Et le Front de Gauche !

 

 




Du concret et un vrai espoir porté unitairement ! Au passage, les listes du Front de Gauche sont les seuls qui rassemblent plusieurs partis politiques pour qu'un Front de Gauche débouche sur un Front populaire !!!

 

A suivre...


DH


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Published by Didier HACQUART - dans Front de Gauche
24 mai 2009 7 24 /05 /mai /2009 05:49




Grand meeting du Front de Gauche

 

le mardi 26 mardi à 19h00 à la halle de Martigues

 


 

Le Front de Gauche tient son grand meeting de campagne le 26 mai

à la halle de Martigues, avec


Marc Dolez du Parti de Gauche,


Christian Piquet de Gauche Unitaire


Marie-George Buffet du PCF


Sans oublier les candidats de la région Sud - Est avec notamment :


Marie-Christine Vergiat, tête de liste (*)


Karim Ghemdouf, n°2, du PCF (*)


Et Anne Mesliand, Virginie Cava (PCF, salariée dans la grande distribution à Vitrolles), Olivia Lemoine (Parti de Gauche, Marseille...) (*)



Tous les cars disponibles étant déjà loués, nous organisons un covoiturage à partir de Vitrolles !.

 


Si vous êtes intéressés, me le faire savoir rapidement par mail.



DH





Nb : Pour mieux connaître les candidats du Front de Gauche, cliquez ICI



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Published by Didier HACQUART - dans Front de Gauche
23 mai 2009 6 23 /05 /mai /2009 05:36

Il y a quelques temps, ils étaient 15, aujourd’hui ils sont 36 économistes à soutenir le Front de Gauche.
Certains ne sont ni au Parti de Gauche, ni au PC. D’autres avaient soutenus Benoit HAMON au PS, lorsqu’il briguait le poste de 1er secrétaire.
Ce qui est sûr, c’est qu’aujourd’hui, ils croient plus au Front de Gauche, qu’au PS, pour un vrai renouveau le 7 juin prochain.
Par leur signature, ils assurent une crédibilité au Front de Gauche. Nous ne sommes plus de doux rêveurs utopistes. C’est vrai que la crise est passée par là. Ceci dit, que serait un monde sans utopie ?
DH

Europe : pour changer de cap (*)

 

 

Trente-six économistes Bruno Amable (Paris-I), Angel Asensio (Paris-XIII), Michaël Assous (Paris-I), Philippe Batifoulier (Paris-X), Laure Bazzoli (Lyon-II), Rachid Belkacem (Nancy-II), Mathieu Béraud (Nancy-II), Eric Berr (Bordeaux-IV), Laurent Cordonnier (Lille-I), Elisabeth Cudeville (Paris-I), Jean-Paul Domin (Reims), Anne Eydoux (Rennes-II), David Flacher (Paris-XIII), Maryse Gadreau (Dijon), Ariane Ghirardello (Paris-XIII), Anne Isla (Toulouse-II), Florence Jany-Catrice (Lille-I), Hugues Jennequin (Rouen), Thierry Kirat (CNRS), Dany Lang (Paris-XIII), Florence Lefresne, Michel Maric (Reims), Jérôme Maucourant (Saint-Etienne), Jacques Mazier (Paris-XIII), Matthieu Montalban (Bordeaux-IV), Stefano Palombarini (Paris-VIII), Dominique Plihon (Paris-XIII), Muriel Pucci (Paris-I), Christophe Ramaux (Paris-I), Gilles Raveaud (Paris-VIII), Jacques Sapir (EHESS), Richard Sobel (Lille-I), Nadine Thèvenot (Paris-I), Damien Talbot (Bordeaux-IV), Bruno Tinel (Paris-I), Franck Van de Velde (Lille-I).


Trente six économistes qui n'étaient membres ni du PCF, ni des courants du PS qui ont créé le Parti de Gauche, ont décidé de soutenir la démarche unitaire du Front de gauche pour les élections européennes. Ils soumettent au débat les propositions suivantes.

 

Le contrôle des banques et de la finance


La prohibition des filiales «hors bilan» et des transactions avec les paradis fiscaux est indispensable pour en finir avec la finance parallèle qui nourrit spéculation et évasion fiscale. Les banques doivent être sous contrôle public. L'accès au crédit gagne à avoir une offre diversifiée avec une certaine concurrence. Mais un pôle de banques publiques articulé à des banques coopératives permettrait cela en protégeant la monnaie comme bien public. Les nationalisations en cours, menées trop timidement, en offrent l'opportunité. La Banque centrale européenne doit compter le plein-emploi et la stabilité financière parmi ses objectifs principaux et doit cesser d'échapper à tout contrôle politique. Simultanément, il faut mettre un terme à la domination des seuls actionnaires sur les entreprises.


Relance et planification écologique


Alors que les Etats-Unis et la Chine déploient des plans massifs de relance, l'Europe est à la traîne. Le budget de l'Union ne représente que 1 % du PIB européen. En Europe même, ce sont les Etats qui recapitalisent les banques et adoptent des plans de relance. Mais ceux-ci sont indigents, en particulier en France. Les pays européens s'accrochent à la désinflation compétitive : l'austérité salariale et budgétaire est durcie, pour prendre des parts de marché aux «partenaires» y compris européens. L'Europe a les moyens d'une autre ambition : une hausse coordonnée des salaires et des prestations chômage, en particulier, articulée à un plan de soutien, financé par un emprunt de l'Union équivalent à 2 % de son PIB, pour les transports publics et la rénovation écologique des bâtiments notamment. Car la crise doit être l'occasion de changer de mode de développement. Il ne s'agit plus de produire toujours plus, mais mieux. Et cet impératif écologique, qui met en jeu le long terme, mérite une véritable planification plutôt que les marchés de droits à polluer.

Réhabiliter services publics et impôt


Déficits et dette ne sont pas des maux en soi : ils permettent de lancer des activités. Pendant des années, les citoyens ont entendu parler du «trou du public», jamais du «trou du privé» autrement plus important. Du point de vue libéral, seul le privé crée de la richesse ce qui légitime sa dette. Mais une infirmière ou un enseignant du public créent aussi de la richesse. Quelles activités doivent relever du public, du privé ou bien de l'économie sociale ? Cette question doit revenir au cœur du débat. Le public a des arguments pour lui, la faillite du système de santé américain en témoigne. L'impôt n'est pas un fardeau qui grève le privé afin de financer des activités «improductives». Les «prélèvements obligatoires» financent des prestations sociales qui soutiennent la consommation. Ils rémunèrent également le travail des fonctionnaires dont le produit est accessible gratuitement. Le gouvernement vient d'offrir 2,5 milliards d'euros pour la restauration. Au mieux 40 000 emplois sont attendus. Près de 100 000 postes de fonctionnaires auraient pu être créés. Les besoins ne manquent pas : hôpital, accueil de la petite enfance pour réduire les inégalités hommes-femmes, etc. La crise exige de revenir sur la concurrence fiscale et sur la contre-révolution fiscale - le «bouclier» notamment - qui mettent à mal la progressivité de l'impôt et creusent les déficits. L'Europe ne grandirait-elle pas à être pionnière en retenant la règle d'un écart maximal de revenu ?


Plein emploi et droits sociaux


La mondialisation libérale est une catastrophe pour l'environnement. Fermer des usines en Ecosse, proches du lieu de pêche, pour décortiquer des langoustines en Thaïlande, puis les réimporter : est-ce cela le rêve européen ? Favoriser la relocalisation des activités et celles qui polluent peu est une première façon de concilier plein emploi et écologie. Il en est une autre : la baisse du temps de travail. Son mouvement séculaire a été stoppé, ce qui, avec l'austérité salariale, a permis la hausse des profits non réinvestis. L'assouplissement des heures supplémentaires qui joue contre les hausses de salaire est une calamité pour l'emploi. Le chômage qui s'accélère appelle des plans de soutien mais aussi une réduction généralisée du temps de travail. Un emploi décent pour tous : ne serait-ce pas une meilleure façon de faire vivre le rêve européen ? Compte tenu des inégalités de développement, il importe que le socle des droits sociaux soit défini au niveau national. S'il était européen, ce que le patronat préconise, cela se traduirait par une régression pour la plupart des travailleurs. Est-ce à dire que l'Europe ne peut rien ? Elle peut mais à condition que les principes de «convergence par le haut» et de «non-régression sociale» soient posés comme premiers, en lieu et place de la «concurrence libre». L'Union pourrait, en outre, retenir la norme d'un salaire minimum égal au moins à 60 % du salaire moyen. En France, cela se traduirait par une hausse du Smic net de 180 euros par mois. Les pays d'Europe de l'Est sont éloignés de cette norme. Une telle mesure permettrait de réduire la pression en faveur des délocalisations. Elle doit être articulée à un soutien à ces pays, qui, lâchés par l'Union, sont contraints d'accepter les plans d'ajustement du FMI.


Le marché peut faire bien des choses, mais ne peut pas tout. L'intervention publique est nécessaire. Les Etats-nations ont des marges de manœuvre. Par sa puissance, l'Europe est néanmoins un cadre idéal pour une autre politique. Mais cela ne pourra pas se faire si prévalent la libre circulation des capitaux et la possibilité pour les entreprises de localiser librement leur production dans des pays à bas coûts pour la réimporter ensuite. Quelles formes doivent prendre ces protections ? Le débat mérite d'être ouvert, en partenariat avec les pays du Sud.


(*) http://www.liberation.fr/economie/0101568110-europe-pour-changer-de-cap



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Published by Didier HACQUART - dans Front de Gauche