Ce week-end se tenait la fête de l'Humanité, l'évènement politique d ela rentrée !
Jean- Luc Mélenchon s'et exprimé devant un public très nombreux et attentif !
A écouter sans modération...
DH
Pour mieux connaitre l’histoire
politique de Vitrolles, gérée pendant 5 années (1997 - 2002) par l'extrême droite et le couple Bruno et Catherine MEGRET, plus de 200 articles de presse sont à votre
disposition (colonne de droite, rubrique "thèmes" sur ce blog). A l'heure de la banalisation de l'extrême droite, un devoir de mémoire s'impose avec l'expérience vécue à Vitrolles.
Ce week-end se tenait la fête de l'Humanité, l'évènement politique d ela rentrée !
Jean- Luc Mélenchon s'et exprimé devant un public très nombreux et attentif !
A écouter sans modération...
DH
Tous dans la rue le 4 septembre !
DH
COMMUNIQUE DE PRESSE DU FRONT DE GAUCHE Jeudi 2 septembre 2010
Le Front de gauche se mobilise contre la politique xénophobe de Nicolas Sarkozy !
Empêtré dans les affaires qui touchent son gouvernement, affaibli par son bilan économique et confronté aux mobilisations sur la question des retraites, Nicolas Sarkozy a enclenché cet été, avec le discours de Grenoble, une offensive sécuritaire et xénophobe honteuse. Brice Hortefeux et Eric Besson se livrent à une ignoble chasse aux Roms. Le projet de retirer la nationalité aux délinquants d’origine étrangère et de revenir sur l’automaticité d’acquisition de la nationalité française à 18 ans pour les enfants nés en France mais de parents étrangers constituent une régression démocratique majeure, une attaque contre les principes mêmes de la République où tout citoyen est égal devant la loi. De plus en plus impopulaire et illégitime, le pouvoir en place cherche à désigner des boucs émissaires en amalgamant immigration et délinquance.
Les organisations du Front de Gauche (Parti Communiste Français, Parti de gauche, Gauche Unitaire) appellent à participer massivement aux nombreuses manifestations et rassemblements organisés dans toute la France le samedi 4 septembre, dans le cadre de l’appel citoyen « */Face à la xénophobie et à la politique du pilori : liberté, égalité, fraternité/** ». A Paris, comme dans d’autres villes de France, elles défileront ensemble sous une banderole commune du Front de Gauche.*
**
Pour défendre les droits et les libertés démocratiques, il y a urgence !
Tous dans la rue le 4 septembre !
Tous unis pour défendre nos retraites !
Le 7 juin se tient un Grand meeting unitaire aux docks des Suds à Marseille avec :
E.COQUEREL (Parti de Gauche) ; O.BESANCENOT (NPA) ; M.BRACONNOT M. (FASE) ; M.G.BUFFET . (PCF) ; M.CHESSA (CGT 13) ; JM.HARRIBEY (ATTAC) ; P.KHALFA (SOLIDAIRES) ; M.N LIENEMANN (courant Gauche Avenir du PS) ; A. LIPIETZ (Les Verts) ; JF.LONGO (FSU 13) ; H.MEKRELOUF (Collectif 13 Droits des Femmes) ; WPELLETIER (Fondation Copernic) ; C.PIQUET (GU) ; M.PIERONI (CFDT 13) ; JB. PREVOST J.B. (UNEF) ; G.PROU-GAILLARD (UNSA) ; 1 représentante des collectifs locaux.
Mobilisons-nous
Pour en savoir plus : cliquez ICI
Et aussi :
http://www.fondation-copernic.org/
http://www.exigences-citoyennes-retraites.net/
Malgré la pluie et la match de l'OM, les camarades du Parti de Gauche du 13 s'étaient mobilisés à Marseille le 5 mai devant le consulat général de Grèce en solidarité avec le peuple grec.
Voici le tract distribué.
DH
Alors que les Banques s'enGRECEnt …
SOLIDARITE AVEC LE PEUPLE GREC
Le Parti de Gauche dénonce la punition imposée au peuple grec par les dirigeants européens, le FMI et les grandes banques mondiales, ceux-là même qui sont les vrais coupables et profiteurs du malheur des Grecs.
Les comptes publics maquillés ? Les banques d'affaires comme Goldman Sachs les ont préparés pour le gouvernement grec.
Le poids de la dette ? Il s'alourdit chaque jour à cause de la spéculation financière et des taux d'intérêt exorbitants exigés par les banques.
La dette grecque n'a pourtant rien d'insurmontable si l'on veut s'en donner les moyens. Elle s'élève à 300 milliards. C'est 0,6% de la dette publique mondiale (pour comparaison la dette de l'Allemagne dépasse les 1000 milliards tout comme celle de la France; quant à celle des Etats Unis elle est de 12000 milliards).
C'est moins que les 420 milliards qu'on obtiendrait en prélevant 3% de la fortune des ultras riches (1,5% de la population mondiale). C'est 2% des richesses produites au sein de l'Union européenne.
Le risque de faillite ? Il serait conjuré si le traité de Lisbonne n'interdisait pas aux Etats emprunter auprès de la Banque Centrale Européenne comme le font les banques à un taux d'1% seulement alors que les banques en profitent honteusement et augmentent leurs taux d'intérêts sur les emprunts grecs (11 % sur 10 ans, 18 % sur 12 ans).
Les sacrifices réclamés à cors et à cris ? Ce sont toujours les peuples qui doivent payer afin que la finance puisse continuer à s'empiffrer, comme en Grèce où le plan d'austérité prévoit des réductions massives de salaires (suppression des 13ème et 14ème mois), la hausse de la TVA (l'impôt le plus injuste qu'il soit), le recul à 67 ans de l'age de la retraite.
Et on voudrait nous faire croire que la clé est dans l'appauvrissement des peuples qui produisent les richesses et pas dans la répartition de celles-ci !
Face aux banques, où est donc « l'Europe qui protège » ? A peine la Grèce a-t-elle demandé à bénéficier de l'aide des autres Etats membres que la chancelière allemande s'y est refusé et a exigé de nouveaux sacrifices. En France, la ministre Lagarde annonce que l'argent prêté aux Grecs pourrait rapporter 150 millions d'euros à l'Etat, sans compter le bénéfice des banques. Décidément, derrière les belles paroles, tous cherchent à se faire de l'argent sur le dos du peuple grec !
Si les banques font plier la Grèce, elles attaqueront demain d'autres pays européens. C'est un bras de fer décisif qui s'engage entre les citoyens et les banques.
Pour notre part nous affirmons le droit des européens à bénéficier des richesses qu'ils produisent. Nous défendons la souveraineté populaire face aux diktats des banques. Nous affirmons la solidarité des peuples face à la compétition du marché libre.
Nous exigeons donc que l'argent prêté aux grecs le soit sans profit pour les banques, au taux de 1% dont elles bénéficient auprès de la BCE. Le Parti de Gauche contacte toutes les organisations de gauche pour constituer le cadre unitaire le plus large pour ce soutien au peuple grec victime du parasitisme bancaire.
DH
Le Front de gauche gagne son pari de l'unité
Pari réussi." Les dirigeants du Front de gauche et les partenaires des listes "Ensemble pour des régions à gauche, solidaires, écologistes et citoyennes" pouvaient afficher leur satisfaction. Avec 6 % des voix au niveau national (résultat calculé sur 22 régions alors que la liste n'était présente que sur 17), 6,55 % en Ile-de-France, l'alliance forgée par le PCF, le Parti de gauche de Jean-Luc Mélenchon et la Gauche unitaire de Christian Picquet (ancien du NPA), a réussi à asseoir son emprise sur la gauche radicale.
Le Front de gauche dépasse les 10 % dans quatre régions : le Limousin (13,13 % en alliance avec le NPA), le Nord (10,78 %), la Corse (10,02 %) et surtout l'Auvergne, où André Chassaigne atteint 14,24 %.
Dimanche soir, Marie-George Buffet et Jean-Luc Mélenchon pouvaient souffler. Les hésitations du début – surtout côté PCF – et les chamailleries de campagne semblaient loin. Les militants, rassemblés dans un café sur le canal de l'Ourq, à Paris, ont fait une campagne active et jubilaient à l'énoncé des scores.
Certes, le taux d'abstention, surtout dans les quartiers populaires, les inquiète mais leur choix de l'unité leur a permis d'éclipser le NPA d'Olivier Besancenot, et c'est cela qui compte. La "prime à l'union", que tous vantaient lors des européennes, s'est vérifiée lors du scrutin des régionales.
"DEVANT LE MODEM"
"Le Front de gauche est un rassemblement politique désormais identifié. C'est un espoir qui se lève à gauche", lance Pierre Laurent, chef de file en Ile-de-France. "On s'ancre durablement et on a réussi à passer devant le MoDem", se réjouit Eric Coquerel, tête de liste parisienne. "Le paysage à gauche est chamboulé", veut même croire François Delapierre, bras droit de Jean-Luc Mélenchon.
Les chefs de parti sont plus prudents. Marie-George Buffet se dit "satisfaite" mais assure qu'"il faut encore solidifier et donner au front une assise populaire". Jean-Luc Mélenchon, lui, constate que "l'épreuve du feu a été franchie" et que le Front de gauche est "conforté".
Tout comme les écologistes, ils espèrent maintenant que le PS saura entendre ce signe des électeurs. Il s'agit bien sûr d'"amplifier la victoire de la gauche au second tour", selon les mots de Mme Buffet, ou "d'imposer une défaite la plus cuisante à la droite", selon son numéro deux, Pierre Laurent. Mais aussi de peser sur les majorités de gauche dans les régions.
En s'imposant à la gauche du PS, les amis de Mme Buffet et de M. Mélenchon espèrent se faire mieux entendre de Martine Aubry. D'autant qu'ils sont passés devant le MoDem. "Il n'est plus question d'alliance avec le MoDem vu les résultats. C'est clairement un virage à gauche auquel nous avons assisté", insiste M. Coquerel. C'est ce que M. Laurent souhaite faire valoir dans les négociations du second tour.
Reste à voir comment ce front, que tous, publiquement, disent vouloir poursuivre, va se maintenir au-delà des régionales. "La gauche unie a été préférée à la gauche solitaire", déclarait Jean-Luc Mélenchon.
La remarque vaut tant pour le NPA que pour les partenaires du Front de Gauche. Notamment pour les échéances électorales à venir.
Difficile maintenant pour le PCF de revenir à des alliances avec le PS. C'est pourtant la tentation qu'il pourrait avoir pour les cantonales, afin de préserver ses élus.
Compliqué aussi, pour M. Mélenchon, de poursuivre son jeu trop personne lcomme il en a souvent la tentation. S'il veut être le candidat de la gauche protestataire en 2012, il faudra qu'il convainque les communistes qui tiennent leur congrès en juin. Mme Buffet n'a pas fermé la porte à une candidature unique.
Sylvia Zappi
Meeting du Front de Gauche pour la régionale 2010 !
Le 3 mars, on y sera !!!
DH
Pour en savoir plus sur la campagne :
http://ensembleagauche.fr/accueil-paca
Demandez le programme du Front de Gauche 13
pour les Régionales 2010 !
Le site internet : http://www.ensembleagauche.fr/
Le Front de Gauche lance à nouveau un vrai débat en PACA : la création de fonds régionaux pour soutenir les PME et donc l’emploi. Aujourd’hui, n’est –il pas aberrant que
NETCACAO entreprise marseillaise peine à trouver de l’argent auprès des banques dont c’est « aussi » le métier, peut –être moins rentable que la spéculation avec notre argent ? …
NETCACAO entreprise marseillaise peine à trouver de l’argent auprès des banques dont c’est « aussi » le métier, peut –être moins rentable que la spéculation avec notre argent ? …
Peut-être que certains n’ont toujours pas digéré la reprise de l’entreprise condamnée par NESTLE il y a quelques années ?
A méditer…
Fonds régionaux, un débat pour la France
Jean-Marc Coppola, tête de liste du Front de Gauche en Paca, propose la création d’un fonds d’investissement pour soutenir des projets porteurs d’emplois face à la défaillance des banques.
Une proposition du Front de Gauche appliquée à un cas pratique ! Jean-Marc Coppola, tête de liste PACA, et Hélène Le Cacheux, candidate pour le Front de Gauche aux régionales en Paca, ont présenté jeudi à Marseille le Fonds régional d’investissement (FRI), un projet destiné à soutenir, face à des banques défaillantes, un mode de développement social, écologique et créateur d’emplois.
« Les banques ont créé la crise actuelle, elles ont été gorgées d’argent public et aujourd’hui, elles reviennent à leurs pratiques de financiarisation de l’économie, avec des conséquences concrètes sur l’industrie régionale, estime Pierre Dharréville, secrétaire départemental du PCF. Mais ce n’est pas une fatalité, il existe des solutions et il faut les rendre publiques. »
Rendre l’argent des banques utile socialement
Le FRI permettrait le versement d’aides publiques régionales, sous formes de prêts remboursables, à des entreprises, notamment des PME respectant des normes sociales et environnementales, tout en bonifiant les taux d’intérêt des banques traditionnelles. Il permettrait de rendre l’argent des banques utile socialement et proposerait aux citoyens clients des banques un placement éthique à portée politique.
Car l’étranglement financier de l’industrie régionale se poursuit, avec notamment le cas emblématique de NetCacao, dans la vallée de l’Huveaune à Marseille, une entreprise née de la longue lutte des anciens de Nestlé pour la reprise de leur site, que le géant de l’agroalimentaire voulait purement et simplement fermer.
« Aujourd’hui, NetCacao, c’est 183 emplois, une entreprise qui n’est pas en difficulté sur un marché du chocolat en croissance de 2 à 3 % par an, constate Jean-Marc Coppola. L’entreprise est rentable, elle a investi 20 millions d’euros, dont 6 millions pour les normes qualité. Elle a 25 millions d’euros d’actifs et une trésorerie positive. Pourtant, face à la flambée des prix de la fève de cacao, elle a besoin de 3 millions d’euros d’ici à quatre semaines pour son fonds de roulement. Eh bien, aucune banque n’a accepté de prêter cette somme. Certaines d’entre elles ont répondu que NetCacao gagnait certes de l’argent, mais pas assez. Et cette question concerne 350 emplois directs et indirects.
Est-ce que le cœur de métier des banquiers est la spéculation ou le soutien à l’économie ? »
Vice-président du conseil régional en place, Jean-Marc Coppola a écrit à dix banques installées sur la place marseillaise pour leur demander des comptes. Il souligne également que ni l’État, ni les collectivités locales, ni la chambre de commerce et d’industrie ne se sont emparés de ce dossier.
« Il faut une volonté politique pour aider cette entreprise et ses salariés, et le FRI pourrait en être un outil, un puissant levier pour l’économie régionale, poursuit Jean-Marc Coppola. Une gauche digne de ce nom doit prendre ce genre de décision. Élu demain, je réunirai immédiatement les banquiers pour en parler. »
Marc Bussone
Article paru dans l’HUMANITE du 13 février 2010
Les Élections Régionales 2010 en vidéo
La réponse, le Front de Gauche !!!
Pour en savoir plus : http://www.lepartidegauche.fr/
DH
La dérive sécuritaire est une réalité qui conduit à des excès. Mais au delà, ce sont nos libertés qui sont en jeux...
Si citer une phrase du Président de la République conduit à se molester durement, cela craint pour l'avenir...
Des camarades du PARTI de Gauche étaient présents et ont assisté à l'évènement.
A suivre !
DH
La République foulée aux pieds !
C’est un précédent très grave qui a été ouvert ce matin 21 janvier 2010 lors de la manifestation de la Fonction Publique, en grève contre le démantèlement des services publics.
Le cortège était en train de quitter la place Garibaldi, lorsque des agents de la Police Nationale ont entrepris d’embarquer deux enseignants manifestants, au prétexte qu’ils arboraient des pancartes ne contenant pourtant que des citations du Président de la République (*) et qu’ils arboraient des masques de Carnaval à l’effigie de Nicolas Sarkozy !
Des élus communistes présents, dont nous étions, se sont émus de telles méthodes auprès des représentants de la Police en demandant quelles pouvaient être les raisons justifiant cet acte. Face à l’absence de toute justification et au mépris démontré par les agents présents, ils se sont opposés pacifiquement, ceints de leurs écharpes, avec d’autres citoyens présents, à cette arrestation arbitraire.
D’autant plus arbitraire que ces pancartes ne contenaient aucune insulte, si ce n’est celle à la mémoire des Français que constitue le rappel des propos d’un Président pris en flagrant délit de mensonge et de promesses abusives. Ils les avaient d’ailleurs déjà utilisées lors d’autres manifestations. Et si porter le masque de Nicolas Sarkozy, dans une ville aux traditions carnavalesques comme Nice, devient un délit, les commissariats risquent d’être vite débordés. C’est alors que les brutalités policières se sont déchaînées.
Nous avons été bousculés, notre collègue élue régionale Adeline Mouton a été jetée à terre, Gérard Piel, Vice-Président de la Région, Robert Injey, conseiller municipal et communautaire et nous-mêmes avons été molestés blessé a du être évacué par les pompiers. enfin Pierre Bernasconi, conseiller régional communiste, s’est vu embarquer manu militari dans un fourgon comme un dangereux délinquant, avec les deux instituteurs ! Et un
Même s’ils s’inscrivent dans la dérive liberticide de nos institutions que nous dénonçons avec force, ils constituent dans notre département une première dont la gravité ne peut être passée sous silence.
Nous interpellons solennellement Monsieur le Préfet des Alpes-Maritimes afin de savoir s’il cautionne de telles méthodes ou s’il entend condamner de tels agissements.
Quand les forces de Police deviennent un facteur d’insécurité publique et brutalisent de façon intolérable des élus de la République, il est grand temps de s’interroger sur le devenir des libertés fondamentales dans notre pays et sur l’attitude fébrile du pouvoir face à une contestation grandissante.
Nous attentons aussi des responsables politiques locaux, dont l’un est justement Ministre, une condamnation claire de ces évènements, à moins qu’ils ne les cautionnent !
(*) « Casse toi pov'con »