Le blog politique de Didier HACQUART, Maire adjoint PS à Vitrolles (2002 - 2008). Après 5 années de gestion MEGRET Vitrolles est retourné dans le giron Républicain après l'élection partielle d'octobre 2002 ! Fin 2008 je quitte le PS pour le Parti de Gauche.
Réunion publique
Martine BILLARD secrétaire nationale du Parti de Gauche, député.
Écologie, socialisme, République :
quelle société voulons-nous ?
le 20 mai 2010 à 19h
Espace Canebière - 6, rue Sénac 13001 Marseille
Le Parti de Gauche fait le constat d’une société soumise à des urgences : urgence sociale et urgence environnementale. Parce que l’urgence est de plus en plus grande, le Parti de Gauche ne peut accepter une simple gestion environnementale du système, toute positive qu’elle soit, et l’articule à un projet global clair. Pour affronter la crise actuelle - économique, sociale, démocratique et écologique -, il faut apporter des réponses qui ne se contentent pas de changements à la marge.Aujourd’hui le Parti de Gauche organise sa réflexion autour de trois axes : écologie, socialisme et république. Comment cela s’articule t-il ?
Alors que le gouvernement mène une politique ultra-libérale, il est indispensable que nous semble que la Gauche dans son ensemble doit contribuer au débat en rappelant avec force qu’il n’ya pas de fatalité, mais que ce sont des questions de choix de société.
Face à cela, nous nous dressons contre :
la casse des services publics,
la nouvelle (contre)réforme des retraites,
les notions de Capitalisme vert
et l’asservissement des peuples par une Europe des banques.
Ces engagements sont liés à un choix politique fort que nous faisons : celui d’une société régie par les principes d’une République sociale, égalitaire et qui réfléchisse à une alternative écologiste qui ne soit pas au détriment des principes précédents.
Le politique n'a guère été au rendez-vous de l'urgence climatique et de l'impératif écologique : nous sommes aujourd'hui en mai 2010 ; or le Grenelle a été lancé au son des trompettes juste après l'élection présidentielle et le Grenelle 2, adopté mardi 11 mai, n'est qu'une coquille vide.
Alors que pour le président Sarkozy, « l'environnement, ça commence à bien faire », le gouvernement ne propose pas autre chose que des mesures environnementales s'inscrivant dans l'impasse écologique que sont les projets de croissance verte et du capitalisme vert. Or ce que nous souhaitons c’est définir un vrai projet de transformation sociale et écologique de notre société.