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Pour mieux connaitre  l’histoire politique de Vitrolles, gérée pendant 5 années (1997 - 2002) par l'extrême droite et le couple Bruno et Catherine MEGRET, plus de 200 articles de presse sont à votre disposition (colonne de droite, rubrique "thèmes" sur ce blog). A l'heure de la banalisation de l'extrême droite, un devoir de mémoire s'impose avec l'expérience vécue à  Vitrolles.

Cette histoire politique est désormais complétée par des vidéos que vous pouvez retrouver dans le thème "l'histoire politique de Vitrolles en vidéo", dans la colonne de droite. Cette rubrique sera renseignée au fil du temps.

@ DH
10 septembre 2006 7 10 /09 /septembre /2006 15:37


Un nouveau Blog militant à découvrir,

 
 

Gaëlle LENFANT se lance dans la bataille des législatives 2007 dans  la XIème circonscription des Bouches du Rhône au nom du Parti Socialiste.

 

Gaëlle LENFANT, représente la génération montante du PS des Bouches du Rhône, tout en étant pas dans la mouvance majoritaire… C'est à souligner.

 

Elle vient d’ouvrir son blog de campagne, que je vous invite à découvrir.

 
 
Bon surf et bonne chance à Gaëlle !
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Published by Didier HACQUART - dans Parti Socialiste
9 septembre 2006 6 09 /09 /septembre /2006 16:07


Des camarades de la mouvance FMDS appellent à soutenir Laurent FABIUS de manière argumentée.

Quand on dit , que cela bouge au sein du PS, et que Séglonène la solution  qui s'imposerait au militants...

Au fait ce sont les sondages qui doivent dicter notre choix. Un bon sondage au niveau national, c'est environ 1000 personnes. De culture scientifique, je connais les statistiques, et les échantillons représentatifs. Ceci dit, allons - nous nous faire dicter notre choix, par mille personnes choisies au hasard et qui seraient senser nous  représenter et qui donc décideraient pour nous ? Suivant ce principe, je propose de supprimer les élections et de procéder à un sondage de 1000 personnes ! Ce n'est pas sérieux...

C'est indécent vis à vis des 250 000 adhérents du PS, et des millions d'électeurs en France ! Rien n'est donc joué, et camarades du PS, vous avez un bulletin de vote entre les mains, et vous êtes libres de l'utiliser en votre âme et conscience de militant politique responsable...


DH


 

Camarades soyons cohérents!

 

Le choix du candidat socialiste, actuellement en débat dans nos rangs, est décisif pour toute la Gauche, pour l'avenir des salariés et des jeunes de ce pays ! Nous avons toute notre place à y prendre! C'est bien aux militants et à eux seuls que doit revenir la décision.

 
Pour beaucoup d'entre nous nous nous sommes engagés en politique en choisissant le premier parti de la gauche après le choc du 21 avril 2002.
 

Nous sommes une génération marquée par l'élimination de la gauche dès le premier tour de la présidentielle et nous ne souhaitons pas revivre ce traumatisme d'avoir a voter pour les libéraux afin de barrer la route au fascisme! C'est la le premier critère dans le choix du futur candidat socialiste ! Celui ou celle qui portera nos couleurs devra d'abord être en capacité de rassembler la gauche au premier tour pour l'emporter au second.

 

Dés juin 2002 nous avons tiré les leçons de ce retentissant échec en faisant l'analyse que la politique conduite au gouvernement entre 1997 et 2002 puis la campagne du candidat socialiste n'avaient pas suffissement incarné pour les classes populaires une volonté de rupture avec le libéralisme et la loi du profit. Nous nous étions alarmés de l'éloignement de notre base sociale traditionnelle ( ouvriers, employés, jeunes).

 

Nous avons, depuis plus de 4 ans et deux congrès du PS tenté d'infléchir à gauche sa ligne politique et si, à quelques occasions des divergences tactiques et stratégiques nous ont séparés tous les courants de gauche successifs ( NM, NPS, AS, RM, PRS, FMDS) ont défendu les mêmes options: rassemblement sans exclusive de toute la gauche, lutte contre la mondialisation et l'Europe libérale, VI ème République, protection et extension des services publics, justice fiscale, rénovation du parti...

 

Nous nous sommes également battus ensemble au côté du mouvement social et syndical pour défendre la retraire solidaire par répartition, le code du travail et lutter contre la précarité et les privatisations, pour dénoncer les atteintes à tous les droits sociaux et les libertés publiques mis à mal par une droite revancharde.

 

Dés la fin 2003 nous avons refusé le carcan libéral et atlantiste de la constitution européenne. Ensuite nous avons fait le choix d'incarner publiquement dans le Non de gauche, un non socialiste. Notre campagne a d'ailleurs contribué au basculement d'une majorité de l'électorat socialiste vers le non donc elle fut un atout maître dans cette grande victoire populaire du 29 mai 2005 !!

 

Dans cette bataille décisive et fondatrice nous avons rencontré les amis de Laurent Fabius qui eux aussi ont contribué à cette victoire capitale pour l'avenir de la gauche et de l'Europe! Ils avaient compris qu'il fallait stopper la dérive libérale de l'UE, renouer avec les classes populaires victimes des politiques de moins disant social et fiscal permanent ! Ce choix a alors placé Fabius au cœur de la Gauche qui, faut-il le rappeler, a très majoritairement choisi le non en 2005...

Au vu de son parcours antérieur et du déchaînement médiatique entretenue contre lui par la presse, propriétés des bétonneurs et des marchands de canons, Fabius a fait preuve de constance, de fermeté et de courage. Il a contribué a crédibiliser le non dans l'électorat PS au départ hésitant. Il a fait un choix fondateur au moment ou les sondages annonçaient le oui à 75 %!

 

Nous sommes désormais à l'heure du choix d'un candidat inévitable dans le système bonapartiste de la Vème République (d'ou l'urgence d'en finir avec le présidentialisme qui tue le débat public). Après plusieurs mois de réflexion nous avons fait le choix de soutenir Laurent Fabius pour cette échéance.

 

Certes nous avons combattu durement (et à juste titre) les choix fiscaux du ministre des finances en 2000-2002 ainsi que certaines propositions qu'il émettait à la même époque mais il n'était pas tout seul au gouvernement à l'époque...De plus son évolution montre qu'il a su tirer des leçons de l'échec (ce qui n'est pas le cas de tous les dirigeants du PS) des socialistes le 21 avril 2002 en voulant mettre le cap à gauche... tel que TOUTE la gauche du PS (dont Vincent Peillon, Arnaud Montebourg et Benoît Hamon) le demandaient depuis 4 ans.

 

Dans les débats actuels Laurent Fabius est le présidentiable qui porte les idées et les thématiques qui sont les plus proches des nôtres:

 

- Il propose une augmentation de 100 euros du SMIC tandis que la principale présidentiable de la motion A, qu'ont déjà rallié des camarades de NPS et RM, estime que c'est trop...

- Il met en avant sa volonté de créer une République nouvelle parlementaire et pleinement laïque alors que d'autres évoquent une vague « République du respect »

- En continuité avec sa prise de position pour le NON il propose de réorienter le cours de la construction européenne quant d'autres ne propose rien sur ce sujet majeur

- Il souhaite revenir à plus de justice fiscale en supprimant les exonérations scandaleuses sur les stocks options

- Il propose de faire de l'éducation et de la prévention le coeur de sa politique quand d'autres évoquent un encadrement militaire pour la jeunesse et la remise en cause de la carte scolaire

- Il propose la fusion d'EDF-GDF dans un grands pole 100% public

 

Certes nous souhaiterions que Fabius s'engage plus nettement et plus franchement pour la redistribution des richesses du capital vers le travail, qu'il remette davantage en cause la Vème République et qu'il s'adresse plus encore au coeur du salariat et de la jeunesse mais ces quelques mesures sont déjà de nature a nous offrir une perspective autre que celle d'un blairisme à la française qui conduirai fatalement la gauche dans le mur... Or, nous voulons tous battre la droite et éviter la rupture libérale, autoritaire et atlantiste de Sarkozy !

 

Les choix de Fabius sont aujourd'hui les plus susceptibles de remplir deux conditions indispensables à la victoire en 2007: rassembler toute la gauche et renouer avec les classes populaires qui nous ont abandonné en 2002.

 

Nous avons encore des points de désaccords avec Fabius (d'ou le choix d'une motion NPS-AS séparée au congrès de 2005) mais nous faisons le choix le plus cohérant au vue de notre orientation défendue avec constance depuis 2002.

 

Laurent Fabius c'est le choix de la raison mais surtout de la continuité dans notre engagement. Comment trouver une logique politique à soutenir aujourd'hui des candidats qui hier faisaient l'éloge de Blair, montraient des hésitation a s'engager franchement contre le CPE et faisaient campagne pour le oui à la constitution libérale européenne? Comment après avoir défendue une VI ème République et demander l'abrogation des lois scélérates de la droite choisir des candidats qui se sont montrés les plus hostiles à nos idées ? Comment dans le même temps refuser de soutenir le seul candidat qui a voté non et qui souhaite l'ancrage à gauche du PS le plus net ??

 

Pour certains il faudrait rallier tel ou tel candidat aujourd’hui porté par les sondages et les médias sans se soucier de la ligne politique et des propositions qu'il font ... Il faudrait renoncer à nos idées sous prétexte que les élites et la presse auraient déjà annoncé le résultat...avant le vote des militants socialistes mais surtout des citoyens français...Suivant ce raisonnement il aurait fallu nous rallier au OUI parce que tous les sondages et autres faiseurs d'opinion disaient qu'il allait l'emporter haut la main six mois plus tard ??? Il aurait également fallu soutenir Michel Rocard contre Fancois Mitterrand en 1980 et investir Jacques Delors en 1994... L'histoire a justement montré que rien n'est jamais écrit d'avance et que l'avenir n'est que ce que nous décidons d'en faire collectivement.

 

Nous devons refuser clairement de nous laisser imposer nos choix avant que n'ai eu lieu de vrais débats ! Accepter cela c'est aussi accepter pleinement la perméabilité du PS « aux forces de l'argent » comme disait Mitterrand ainsi qu'aux groupes de pression et autres lobbys extérieurs. C'est enfin admettre que ce ne sont plus les militants mais les médias qui choisissent les candidats. Pour nous la n'est pas la voix de la démocratie et de la rénovation...

 

Faire de la politique c'est avoir des convictions et les défendre jusqu'au bout, c'est refuser de brader ses opinions sur l'autel de calculs personnels à court terme. Certes nous avons fait un choix difficile mais il est réfléchi et résolu car comme le disait Hugo nous avons choisit la conscience et non pas la consigne! Nous lançons un appel à tous les jeunes camarades qui ont voté pour la motion 5 (NPS-AS) lors du dernier congrès pour qu’à l'heure décisive du choix il fasse eux aussi le choix de la cohérence et de la fidélité à leurs idées!

 

Julien GUERIN ( ex membre du BN du MJS, FMDS 43)

Flavian BOUCHET ( AF du MJS 43, FMDS)

Yoann ROUVIERE ( FMDS 43)

Pierre CORTESE (FMDS 43)

Anna GERBIER (FMDS 43)

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Published by Didier HACQUART - dans Parti Socialiste
8 septembre 2006 5 08 /09 /septembre /2006 18:12



Ségolène ROYAL fait des propositions en dehors du programme du PS. Passe encore si cela va plus loin et dans le bon sens. Mais remettre en cause la carte scolaire est une vraie proposition de droite. Sarkozy en rêve, Ségolène le propose. Arrêtons les dérives !


Au fait, camarades militants du PS, il n’est pas encore trop tard pour désigner un candidat de gauche pour le PS !... Si les sondages ont choisi pour vous, vous n’avez cependant pas encore mis votre bulletin de vote….

 
 DH
 

Carte scolaire: salve de critiques au sein du PS contre Ségolène Royal



La mise en cause par Ségolène Royal de la carte scolaire, dimanche, a provoqué une salve de critiques au Bureau national du Parti socialiste réuni mardi soir, a-t-on appris auprès de participants.


Le premier secrétaire François Hollande, selon le porte-parole Julien Dray, est intervenu d'emblée pour rappeler que "dans le projet socialiste, il n'est pas question et il ne peut être question de supprimer la carte scolaire", qui oblige les familles à scolariser leurs enfants dans un établissement proche de leur domicile.


Mais, selon M. Hollande, "il y a un problème de contournement, que personne ne peut nier, de mouvement vers l'école privée", alors que "le projet socialiste dit que la carte scolaire doit permettre une mixité efficace et réelle".


A Montpellier, Ségolène Royal avait proposé de "desserrer la contrainte de la carte scolaire", estimant même que "l'idéal" serait de la supprimer car, en dépit de ce dispositif, "il n'y a plus de mixité sociale".


Contrairement à l'habitude, l'intervention du numéro un socialiste n'a pas clos le débat, qui s'est déroulé dans une ambiance "très tendue", selon un témoin.

La secrétaire nationale à l'éducation, Claude Roiron (courant Fabius), a remis la discussion sur le tapis après avoir fait le point de la rentrée scolaire, tout comme Yves Durand (proche de Martine Aubry), ex-secrétaire national pour ce secteur.

Selon eux, la suppression de la carte scolaire est "une proposition récurrente dans les programmes de la droite", elle "ne ferait que renforcer la ghettoïsation de l'école publique et institutionnaliserait une école à deux vitesses".


Proche de Ségolène Royal, Delphine Batho a tenté d'argumenter que l'école connaissait déjà "une ghettoïsation sans précédent", ce qui rendait le débat légitime. Elle a été interrompue par les protestations de François Lamy, proche de Mme Aubry

AFP Mardi 5 septembre 2006  

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Published by Didier HACQUART - dans Parti Socialiste
7 septembre 2006 4 07 /09 /septembre /2006 18:31

Je ne suis pas seul pour soutenir Laurent FABIUS !...
 
 
 

La planète internet jouera un rôle essentiel lors de la prochaine présidentielle. La première phase pour les socialistes, c’est la désignation de leur candidat.  Face à l’ostracisme des médias contre Laurent FABIUS, la planète internet s’agite et une multitude de sites se créent. Cela prouve au moins que rien n’est joué, et que ceux qui hésitent pour un autre choix que le choix officiel, ne sont pas seuls !

 

Je me propose de vous donner quelques sites de soutiens à Laurent FABIUS :

 
Le site internet de Laurent FABIUS :
 
 
Le blog de Laurent FABIUS :
 
 
Le site de soutien :
 
 
 
Le site de Jean – Luc MELENCHON
 
 
Le site de PRS :
 
 
Le site des sites et blogs de soutiens à Laurent FABIUS :
 
 
et aussi :
 
 
 

Rassembler à Gauche 34

 

http://lrassemblezagauche.midiblogs.com/

 

Le site des camarades du 62 :

 
http://fabius2007.over-blog.com/


Dans les Bouches du Rhône :
 
PRS 13 :
 
 
Blog 13 de soutien à Laurent FABIUS :
 
Bon surf...
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Published by Didier HACQUART - dans Parti Socialiste
2 septembre 2006 6 02 /09 /septembre /2006 12:21


Désignation du candidat PS à la présidentielle, ne nous faisons pas kidnapper notre conviction personnelle !

 
 

Le processus de désignation du candidat PS est en cours même si en cohérence avec le calendrier, les candidatures ne sont pas déposées. Ainsi si certaines sont encore incertaines comme celle de JOSPIN ou de Martine AUBRY, si des alliances peuvent se faire jour avec des désistements possibles, les medias nous rabâchent que le tour est joué, que le scrutin est plié, et qu’en 2007, nous aurons droit au match SARKOZY contre Ségolène ROYAL.

 

Le déchainement médiatique, et « les sondages » qui fonderaient l’opinion, désigneraient donc comme candidate Ségolène ROYAL pour le PS.

 

Encore une fois, ce sont les militants qui votent. Les militants ne doivent pas se faire kidnapper leur vote. Quand aux médias et aux sondages, il me semble que nous avons déjà donné !

 

Les médias, nous refont le coup du débat sur la constitution, et désignent donc à notre place le candidat et la candidate, que nous sommes sensés choisir. Pour « nous aider », les medias se gardent bien de diffuser ou de relater ce qui pourrait contrarier l’ascension de leur choix.

 

Heureusement, il reste de trop rares journaux comme POLITIS, qui ne rentrent pas dans ce jeu. Tout ne serait pas passé idéalement à La Rochelle, la semaine dernière, et le nom de la candidate préférée des français, ce qui ne signifie en rien qu’ils voteront pour elle, aurait été hué par les militants. L’évènement est totalement à la trappe.

 

Mon propos n’est pas de nuire à Ségolène ROYAL, pour le plaisir de nuire. Mon propos est d’expliquer aux militants que le choix n’est pas fait, et qu’ils ne doivent pas céder aux multiples pressions qui ne manqueront pas de venir dans les semaines à venir au niveau des sections, fédérations, etc. Rappelez – vous que pour « faire plaisir aux chefs », que le PS avait voté majoritairement pour le OUI au référendum sur la constitution, mettant en final le PS en total déphasage avec la réalité et le vote majoritaire pour le NON à Gauche…

 

Bonne lecture de l’edito de Michel SOUDAIS qui donne un autre éclairage de la réalité du PS.

 

Bonne lecture.

 

Le PS doute de Ségolène
 
Michel Soudais
 

Dans les rangs socialistes, le style très personnel de Ségolène Royal agace. Pour la première fois depuis son entrée en campagne, son nom a été hué à La Rochelle, où son refus de débattre de ses propositions avec les jeunes militants de son parti a été sévèrement commenté.

 

L’incident n’a guère été relaté. Il n’a pourtant rien d’anecdotique. Dimanche matin, à La Rochelle, le nom de Ségolène Royal a été hué et sifflé par une partie des 3 000 militants qui assistaient à la séance de clôture de l’université d’été du parti socialiste. Ce couac s’est produit quand Régine Joly, conseillère régionale de Poitou-Charentes, est intervenue pour dire son « plaisir de travailler avec Ségolène Royal ». Le brouhaha s’est fait plus fort encore quand cette candidate aux législatives a expliqué la raison de ce plaisir : la mise en place d’« une méthode originale, la démocratie participative », qui permet « de ne pas gaspiller l’argent public ». Juste avant, Catherine Quéré, vice-présidente de la Région, avait déjà souligné qu’il était « formidable » de travailler avec Ségolène Royal, louant sans retenue son action en faveur des lycées ou de l’accès à la contraception des jeunes filles. La publicité était excessive, et les protestations de la salle visaient sans doute moins la présidente de la Région Poitou-Charentes que la grossièreté du procédé qui consiste à utiliser la tribune de l’université d’été pour faire la promotion d’une candidate à l’investiture présidentielle. Néanmoins, pour la première fois depuis que les sondages la placent en tête des présidentiables, cette petite bronca traduit le doute qui affecte les socialistes.

 

Dans les rangs du PS, Ségolène Royal agace. Ce n’est pas d’hier que l’individualisme, les prises de position iconoclastes et l’attrait immodéré de la députée des Deux-Sèvres pour les médias et les magazines de la presse people irritent les responsables socialistes. Mais ces petits défauts lui étaient volontiers pardonnés tant qu’elle ne prétendait pas jouer les premiers rôles. Peu impliquée dans les débats d’idées qui agitent régulièrement le parti sur les sujets économiques, sociaux ou internationaux, muette dans les congrès, la compagne de François Hollande, à la tête d’aucun courant ni sensibilité, pouvait bien jouer sa partition en solo. La direction du PS trouvait même quelques avantages à la popularité de cette députée singulière, plusieurs fois ministre après être entrée dans la carrière comme conseillère à l’Élysée en 1981, qui s’est fait une spécialité des sujets de société habituellement délaissés par les politiques.

 

La situation a changé avec l’affirmation de son ambition présidentielle. D’abord incrédules, les dirigeants du PS ont ironisé sur l’apparition de cette candidature inattendue. Ils ont longtemps espéré un faux pas de la candidate et cru que sa bonne cote dans les médias et les sondages se dégonflerait à l’approche des échéances. Rien de tel ne s’est produit. Au contraire. Début avril, quand Ségolène Royal publie sur le blog de Désirs d’avenir la trame du premier chapitre de son livre-programme à paraître en été, les rédactions vantent l’audace et la modernité d’une démarche censée mettre à contribution les citoyens internautes, sans même se prononcer sur la succession de banalités et de lieux communs qui composent ce premier jet. La publication va se poursuivre à raison d’un chapitre tous les quinze jours, nous annonçait-on alors. Cinq mois plus tard, deux chapitres seulement ont été mis en ligne. La mystification a fait long feu, puisque rares sont les journaux qui ont fait état de ce retard. Quant à l’ouvrage en question, il ne devrait sortir en librairie qu’en... novembre. « Après la désignation du candidat socialiste à l’élection présidentielle qu’elle qu’en soit l’issue », précise le Journal du dimanche (20 août), qui a discrètement annoncé ce report. Secondairement, ce journal indiquait qu’une de ses journalistes avait collaboré à la rédaction de cet essai qui aura pour titre Désirs d’avenir. On a connu méthode plus audacieuse. Et on a vu des hommes et des femmes politiques épinglés « en baisse » dans les hebdomadaires pour moins que ça. Pas Ségolène, qui reste intouchable quoi qu’elle fasse. Côté sondages, ni les hommages répétés à Tony Blair, ni les propos tenus à Bondy sur l’insécurité n’ont entamé le crédit de la présidente de Poitou-Charentes. Pas même son long silence sur la guerre entre Israël et le Hezbollah au Liban. Et quand, le 1er août, elle s’exprime enfin en souhaitant l’intervention de personnalités « qui pèsent au niveau international, des autorités morales » telles que Bill Clinton, pour obtenir un cessez-le-feu et « renouer le fil du dialogue », cette stupéfiante vision du monde n’affecte en rien sa crédibilité dans l’opinion.


À cinq semaines du dépôt des candidatures à la désignation du candidat qui représentera les socialistes à l’élection présidentielle, sa course en tête dans les sondages et sa bonne cote dans les médias créent une pression sur les adhérents. Comment pourraient-ils ne pas investir une personnalité si populaire ? Comment refuser l’onction à cette candidate présentée par les instituts d’opinion comme la seule capable de battre Nicolas Sarkozy ?

 

La question est devenue urgente. Quel que soit le candidat qu’ils soutiennent, ceux qui n’ont pas rallié le blanc panache du royalisme craignent, pour des raisons diverses, que la favorite des sondages, une fois désignée, fasse perdre son camp. Avec des nuances, ils sont persuadés que le malentendu sur lequel prospère sa popularité se dissipera immanquablement ; que son discours est en décalage avec les grandes attentes des électeurs potentiels de la gauche ; ou qu’elle accélérera la crise du PS, suscitant un possible éclatement, etc. Dimanche, le président de l’université d’été du PS, Jean-Christophe Cambadélis, par ailleurs lieutenant de Dominique Strauss-Kahn, a ainsi invité le PS à se méfier des engouements de l’opinion « en quête d’un bonheur immédiat », qui pourraient finalement « faire turbuler le système ». D’autres ne sont pas loin de penser, comme Alexis Dalem, corédacteur en chef de la Revue socialiste, et auteur dans le Monde du 26 août d’une tribune remarquée sur « le péril Royal », qu’elle est « la candidate rêvée de la droite et de Nicolas Sarkozy ».

 
Lire la suite dans Politis n° 915
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Published by Didier HACQUART - dans Parti Socialiste
29 août 2006 2 29 /08 /août /2006 18:40


Campagne de désignation du candidat socialiste à la Présidentielle, pourquoi je soutiens Laurent FABIUS ?

 
 
 

J’ai décidé d’apporter mon soutien à Laurent FABIUS dans le cadre de la désignation du candidat socialiste à la Présidentielle de 2007.

 

Ce choix n’est en fait que la continuité d’une démarche politique engagée ces dernières années.

 

2007 ne doit pas être un nouveau 2002 ! Encore une fois il est bon de rappeler deux évidences :

 

- Ce ne sont pas les sondages qui font une élection

 

- Dans une élection présidentielle, il y a 2 tours de scrutin

 

Je soutiens Laurent FABIUS, parce que cet un homme d’expérience qui a su tirer les leçons du passé et qui a évolué en prenant en compte l’évolution de la société et du monde dans lequel nous vivions.

 

Son expérience du pouvoir au plus haut niveau remonte sa nomination en tant que 1er ministre de François MITERRAND à 37,5ans. Il en a aujourd’hui 60.

 

C’est parce ce qu’il a évolué et muri dans sa réflexion politique que je le soutiens. Lors du référendum sur la constitution européenne, il a clairement milité pour le non, contre la majorité du PS. Son choix a été jugé opportuniste, mais chacun peut reconnaître qu’il n’avait pas choisi la voie la plus facile, lorsque le OUI était crédité d’un score de plus de 65%... Il ne s’était pas trompé dans son choix, les français ayant rejeté le TCE à 55%. Il avait bien compris, avant ses camarades, que l’Europe telle qu’elle se dessinait serait rejetée par les français. Il a compris avant les autres, qu’un autre modèle de société est attendu par les français.

 

N’en déplaise, à certains, l’Europe sera encore au cœur de la présidentielle de 2007…

 

Le débat sur la constitution européenne, a permis  l’échange et de retisser des liens avec « le reste de la gauche » qui s’étaient perdus au fil des années, et même parfois avant 2002. Ce n’est en rien négligeable pour le 1er tour des présidentielles que pour le second tour…

 

Laurent FABIUS, positionné pour le NON, n’a jamais traité évidemment les électeurs du NON pour des « gens qui n’avaient rien compris », « qui refusaient l’évidence », etc… Des mots bien plus durs ont été employés et laissent aujourd’hui évidemment des traces qui seront difficiles à effacer, quand on sait que des candidats à la candidature du PS, encore aujourd’hui en 2006, restent figés sur leur position et ne digèrent pas le NON au TCE…

 

Laurent FABIUS, au contraire qui n’ jamais fustigé les électeurs du OUI, cherche à rassembler les électeurs qui ont voté OUI, pour les mêmes raisons que la majorité des français qui a voté NON. Il cherche à rassembler ceux du OUI qui étaient conscients des manques et déficiences, du traité, mais qui étaient convaincus de pouvoir le faire évoluer « par l’intérieur »…

 

C’est une démarche autrement constructive et porteuse d’avenir…

 

Si Laurent FABIUS est désigné pour la présidentielle, cela signifie que les autres partis de Gauche devront se positionner par rapport à lui. Leurs réflexions et positionnements seront forcément différents par rapport à une autre candidature du PS. Evidemment rien ne sera simple, et chaque parti devra prendre ses responsabilités.

 
 

En conclusion, j’apporte mon soutien à Laurent FABIUS car c’est un homme d’expérience, qui a su évoluer pour se mettre en phase avec la réalité du monde d’aujourd’hui et qui est en capacité de réunir la gauche sur un programme de gauche !


Comité de soutien de Laurent FABIUS :

http://www.2007lagauche.net/?q=comiteinscription/inscription







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Published by Didier HACQUART - dans Parti Socialiste
7 juin 2006 3 07 /06 /juin /2006 23:27


Projet Socialiste 2007 :

Jean - Luc MELENCHON et

Arnaud MONTEBOURG

se sont abstenus…

 
 

A l’issue des longues discussions du 7 juin au Bureau National du PS pour finaliser le programme du futur candidat PS à la Présidentielle, Jean – Luc MELENCHON et Arnaud MONTEBOURG se sont abstenus. Ils étaient 4 avec François DELAPIERRE et Marianne LOUIS.

 
 
 

Au-delà des pseudos querelles entre candidats alimentées par les médias, se posent de réelles questions de fond sur la ligne politique du PS.

 
 
 

Le Parti Socialiste ne pourra plus faire le grand écart très longtemps entre l’accompagnement du libéralisme dans une sociale démocratie avec une alliance avec l’UDF, et une réelle remise en cause du système actuel ancré à gauche, et tourné vers le social et non plus seulement l’économie, la rentabilité, la finance, etc.

 
 
 

Pour éclairer le débat, je vous renvoie aux sites des 2 leaders du PS :

 
 
 

Jean – Luc MELENCHON :

 
 
 
 
 
 

Arnaud MONTEBOURG :

 
 
 
 
 
 
 
 
A suivre…
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Published by Didier HACQUART - dans Parti Socialiste
31 mars 2006 5 31 /03 /mars /2006 16:37


Déclaration commune de la gauche



Au terme de la conférence de presse du 31 mars 2006, les forces de gauche (Alternative citoyenne, Alternatifs, Gauche républicaine, Mars, MRC, PS, PCF, PRG, LCR, Régions et peuples solidaires, les Verts) se sont accordées sur une déclaration commune pour le retrait du CPE.


"Depuis deux mois, partout en France, jeunes, lycéens, étudiants et salariés se sont retrouvés pour exiger le retrait du CPE. Le mouvement gagne en ampleur : plus de 60 universités et établissements d’enseignement supérieur, des centaines de lycées sont en grève.


La journée d’action interprofessionnelle du 28 mars a été extrêmement importante. Près de 3 millions de personnes ont manifesté. Des arrêts de travail ont été constatés dans de nombreux secteurs.


Ce puissant mouvement populaire marque le refus d’une très large majorité de Français – jeunes, salariés, retraités – de la politique du gouvernement qui échoue sur l’emploi et ne propose comme seule perspective que la précarité.

Face à la détermination de la jeunesse et des organisations syndicales contre le CPE pour marquer un coup d’arrêt à la politique de la droite, il est clair que l’objectif de la majorité actuelle est d’aller vers le démantèlement du code du travail et la disparition du CDI.


Face au front uni de la jeunesse et des syndicats, le gouvernement continue sa stratégie de confrontation. L’obstination du gouvernement, les déclarations provocatrices à répétition des membres du gouvernement sont irresponsables et favorisent un climat délétère. L’exécutif fait prévaloir des intérêts particuliers et ses luttes internes sur l’intérêt du pays.


Les organisations de la gauche et des écologistes soutiennent l’objectif du mouvement social en cours : obtenir le retrait du CPE.


Le gouvernement doit répondre aux attentes de l’immense majorité des jeunes, des salariés, des citoyens.


Les organisations et partis politiques de gauche demandent solennellement à Jacques Chirac le retrait du CPE pour engager des négociations avec les syndicats puis revenir devant le Parlement. Sachant les conditions exceptionnelles de son élection en 2002, il porterait une grave responsabilité en promulguant la loi. Ce serait un coup de force inacceptable.


Nous appelons tous les citoyennes et les citoyens à prendre part à la journée d’action, de manifestation et de grève du 4 avril et à toutes les initiatives qui suivront".

 

Paris le 31 Mars 2006

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Published by Didier HACQUART - dans Parti Socialiste
15 mars 2006 3 15 /03 /mars /2006 00:00
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Published by Didier HACQUART - dans Parti Socialiste
25 février 2006 6 25 /02 /février /2006 16:37



Sommet des partis de Gauche du 8 février 2006 : Commentaire de texte

 

Le sommet des gauches du 8 février a mieux fait que se tenir. Il s’est conclu par un relevé de décisions en tout point excellent. Celui-ci mérite largement d’être analysé, diffusé… et mis en œuvre.

 

Il faut se garder de la désinvolture médiatique habituelle sur tout ce qui est écrit, et résumer le sommet du 8 à une photo vite ensevelie par l’actualité. Au contraire, on devrait se livrer dans tous les foyers de la gauche à l’exercice méthodique du commentaire de texte. Cette excellente école d’éducation politique permettrait à chacun de se déterminer sur le fond. Pour nous, les trois points et le codicille de ce document final signé par 10 partis de gauche constituent un précieux viatique pour les semaines et les mois à venir. Jugez-en vous-mêmes…


Le premier point du relevé de décision est « une mobilisation unitaire contre la politique de l’emploi et le CPE sous la forme d’un tract, d’une pétition et de semaines d’action ».


Le fait que l’action contre le CPE apparaisse en tête de la résolution finale confirme que l’union des gauches est avant tout le résultat d’une mobilisation populaire. Sans la manifestation du 7 février, le sommet du, qui semblait encore annulé la semaine précédente, n’aurait sans doute pas eu lieu. C’est la pression du mouvement populaire naissant qui a fait réfléchir tout le monde, mettant les sectaires sur la défensive. Signe qui ne trompe pas : la LCR, après avoir dénoncé la « mascarade » du sommet et boycotté la rencontre, a voulu s’associer au tract et aux initiatives prises par les dix contre le CPE…


Mais ce point contient une autre idée précieuse. Le rôle de la gauche, c’est d’abord de mener campagne, d’éduquer, de mobiliser. Le combat politique se situe sur le terrain des consciences, de la bataille culturelle contre le modèle libéral dominant.

 

On retrouve ici le rôle historique des partis de gauche : celui d’éducateurs populaires, d’instituteurs du peuple, d’acteurs de l’émancipation citoyenne et pas seulement de machines à trier les candidats et à participer aux élections. Enfin on se souvient que pour faire reculer la droite et construire une alternative, il faut d’abord et avant tout un peuple éduqué et des citoyens motivés.


Deuxième point du relevé de décisions : la « mise en place d’une structure de liaison souple et ouverte pour riposter à la politique de la droite (et notamment sur Bolkestein, l’immigration et la politique économique et sociale …) ».


Il s’agit donc pour la gauche de riposter à la politique de la droite… C’est une évidence mais une incongruité pour tant de cercles bien-pensants qui ne cessent, comme l’a fait Bernard Kouchner récemment sur le CPE, de lui décerner des bons points. On est aussi très éloigné des formules de Lionel Jospin pendant la campagne référendaire selon lesquelles la gauche et la droite étaient, sur la question européenne, « compatibles ». Ou de celles des dirigeants de la majorité socialiste au Congrès de Dijon qui expliquaient qu’avant de s’opposer il fallait proposer.

 

 L’union des gauches se construit et se construira dans l’opposition à la droite. Elle appelle donc un contenu opposé à celui du néo-libéralisme au pouvoir. Résistance et alternative ne s’opposent pas. C’est un bloc.


La mise en place de cette structure montre aussi que le calendrier du combat de la gauche ne se réduit pas à un vote en 2007. C’est ici et maintenant qu’il faut construire la victoire contre la droite au lieu d’attendre passivement l’alternance. Enfin, le fait qu’elle soit « souple et ouverte » atteste du le choix décisif d’une union sans exclusives, à l’opposé des stratégies qui visent à diviser la gauche en plusieurs blocs inconciliables.


Troisième point du relevé de décisions : « un comité national sera mis en place dans les jours qui viennent pour organiser le débat avec les citoyennes et les citoyens sous forme de rencontres publiques sur l’ensemble des propositions alternatives pour 2007. »


C’est ici encore une innovation considérable. La gauche se pose enfin la question de la participation populaire au changement. C’était le trou noir de la gauche plurielle, le vice originel qui allait inexorablement l’emporter. Il est désormais en pleine lumière. Il charrie avec lui son lot de questions évacuées : la non-représentation du peuple populaire, le fonctionnement des institutions de la Cinquième République, la manière de gouverner lorsque l’on vaut changer la société… Bel arrière-plan pour les discussions qui seront organisées dans ce cadre, car c’est seulement en répondant à ces questions que l’on créera les conditions d’un rassemblement de la gauche sur un contenu programmatique commun.


Trois points, puis un codicille que voici : « Par ailleurs toutes les organisations ont apporté leur soutien aux faucheurs d’OGM condamnés lourdement. » Ca c’est mieux que pour la touche finale ! La gauche se souvient de son camp : ceux qui contestent l’ordre en place, les obstinés, les acharnés, les fortes têtes qui n’en démordent jamais. Quand on hésite sur le chemin à suivre, c’est une très bonne boussole.

Publié dans A Gauche - PRS le 5 février 2006

 
 
 
 
Rencontre des partis de gauche et écologistes :
 
Relevé de décisions
 


Réunis aujourd'hui, le 8 février 2006, à la Maison de la mutualité, le PRG, le PS, les Verts, le PCF, le MRC, les Alternatifs, Régions et peuples solidaires, Alternative citoyenne, le MARS, Convergence républicaine, unanimes, ont décidé :


- Une mobilisation unitaire contre la politique de l'emploi et le CPE sous la forme d'un tract, d'une pétition et de semaine d'action.


- Mise en place d'une structure de liaison souple et ouverte pour riposter à la politique de la droite (et notamment sur Bolkestein, l'immigration et la politique économique et sociale...)


- Un comité national sera mis en place dans les jours qui viennent pour organiser le débat avec les citoyennes et les citoyens sous forme de rencontres publiques sur l'ensemble des propositions alternatives pour 2007.



Par ailleurs toutes les organisations ont apporté leur soutien aux faucheurs d'OGM condamnés lourdement.



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