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Pour mieux connaitre  l’histoire politique de Vitrolles, gérée pendant 5 années (1997 - 2002) par l'extrême droite et le couple Bruno et Catherine MEGRET, plus de 200 articles de presse sont à votre disposition (colonne de droite, rubrique "thèmes" sur ce blog). A l'heure de la banalisation de l'extrême droite, un devoir de mémoire s'impose avec l'expérience vécue à  Vitrolles.

Cette histoire politique est désormais complétée par des vidéos que vous pouvez retrouver dans le thème "l'histoire politique de Vitrolles en vidéo", dans la colonne de droite. Cette rubrique sera renseignée au fil du temps.

@ DH
16 janvier 2009 5 16 /01 /janvier /2009 06:14




Création du Comité du Parti de Gauche à Vitrolles et dans la XIIème circonscription



C'est aujourd'hui !!!!!!!!!!!!!


Pour en savoir plus : http://didier-hacquart.over-blog.com/article-26709186.html




DH

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Published by Didier HACQUART - dans PARTI DE GAUCHE
13 janvier 2009 2 13 /01 /janvier /2009 06:23


Création du Comité du Parti de Gauche à Vitrolles et dans la XIIème circonscription



Le Parti de Gauche a été créé par Jean-Luc Mélenchon et Marc Dolez il y a quelques semaines, suite à leur départ du PS.


La première réunion dans les Bouches du Rhône s'est tenue à Vitrolles.


Un premier meeting à St - Ouen fin novembre auquel je participais, a donné le top de départ de ce nouveau Parti Politique.


Fin janvier, se tiendra le premier congrès fondateur du Parti de Gauche. Un second suivra à l'automne prochain.


Dans les Bouches du Rhône un collectif provisoire d'animation auquel j'appartiens a été créé.


Nous avons organisé une première réunion publique à Gardanne avec près de 200 personnes.


Avec mon camarade Jean-Claude, nous avons organisé notre première campagne d'affichage sur Vitrolles pour annoncer le meeting de Gardanne et faire connaître le « PG ».


Un blog provisoire est en place : http://www.lepartidegauche13.com/


Des comités sont créés ou en cours de création à Marseille, Aubagne, Istres, Aix en Provence, Gardanne.


D'ores et déjà le Parti de Gauche s'est impliqué dans les manifestations de soutien à Gaza à, Marseille, Aix en Provence, Martigues et Vitrolles.


Vendredi 16 janvier 2009 à 19h00 au Bartas à Vitrolles, se tiendra la première réunion de création du Comité du Parti de Gauche de la XIIème circonscription.


Cette réunion est ouverte à tous les adhérents, sympathisants et à tous les citoyens intéressés d'en savoir plus sur le Parti de Gauche !


- Pourquoi un nouveau parti à Gauche ?


- A quoi peut-il servir au niveau National ? Régional ? Local ?


- Quelles actions à mener au niveau National ? Régional ? Local ?



Alors à  bientôt !


DH












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Published by Didier HACQUART - dans PARTI DE GAUCHE
9 janvier 2009 5 09 /01 /janvier /2009 05:40




Neige dans les Bouches du Rhône, pour les patrons, le business avant la nature !


Je suis bloqué comme beaucoup de salariés à la maison en raison des intempéries et de la neige qui est tombée de manière exceptionnelle dans les Bouches du Rhône.


Grâce au site internet de La Provence, on peut suivre « l'actualité » de ces intempéries ainsi que les différents communiqués.


Alors que des dizaines d'agents de la DDE, des collectivités locales, des pompiers, des forces de police d'EDF, de GDF, et certainement bien d'autres se mobilisent sans relâche pour tenter de revenir à une situation, un peu plus normale, l'UPE13, qui représentent le patronat du département ne trouve rien de mieux que de « pondre » un communiqué pour  dénoncer le « blocage inadmissible » !


Certes on pourra toujours faire quelques reproches sur la gestion de la crise, et son anticipation. Cela amène plusieurs interrogations. L'activité économique ne souffre pas de la moindre perturbation, mais pas si la raison n'est autre que la nature ?


La neige est somme toute un évènement naturel, mais dans le 13 ! De telles chutes nous rappellent par ailleurs que nous sommes peu de choses face à la nature, et que « la vie » ce n'est pas que la finance, l'            activité économique, et une rentabilité de 15 % et plus pour des actionnaires spéculateurs...


J'ai eu la chance de pouvoir pratiquer la voile pendant plusieurs années. Lors de temps un peu difficile, on se retrouve en contact direct avec les éléments, et on mesure à quel point nous sommes finalement, peu de choses.


Ce communiqué me ramène encore une fois à la question environnementale et au réchauffement climatique. Que pouvons - nous attendre du patronat, qui se permet un tel communiqué pour faire ce qu'il faut pour sauver la planète ? Ce n'est pas avec de tels raisonnements et de telles logiques que les choses avanceront. Le business avant la planète, semble être leur devise...


Pour finir, je ne néglige pas aussi le fait, que le communiqué est aussi une attaque à peine ciblée contre les services publics, incapables de gérer une telle situation, ni de l'anticiper... Ce serait d'ailleurs les mêmes qui critiqueraient les politiques locaux, si jamais le département et les communes étaient équipés en moyens dignes d'une région de haute montagne, pour un évènement qui n'arrive que tous les 20 ans et plus ? Ils crieraient à la gabegie, et aux dépenses publiques inconsidérées de ces politiques irresponsables...


Au fait, les mêmes ils avaient anticipé la crise financière ? Ne l'avaient - ils pas alimentée au contraire en espérant des superprofits ?


C'est vrai que ce genre de raisonnement a le don de m'énerver. Ceci dit, mon entreprise étant toujours fermée, je vais profiter dune nouvelle journée de repos dans les neiges Vitrollaises...


DH


Neige : le patronat dénonce un "blocage inadmissible"

Publié le jeudi 8 janvier 2009 à 15H52


L'Union pour les entreprises des Bouches-du-Rhône (UPE 13) a dénoncé aujourd'hui le "blocage inadmissible de l'activité économique" occasionné par les chutes de neige exceptionnelles sur la région hier.


"Le caractère exceptionnel des intempéries vécues hier dans les Bouches-du-Rhône, s'il est indéniable, n'explique en rien l'absence de coordination des actions et l'enlisement d'une situation prévue depuis plusieurs jours", a estimé l'UPE 13 dans un communiqué.


"Dans une situation économique déjà difficile, cet épisode représente pour nos entreprises deux ou trois jours ouvrés de perdus", a-t-elle ajouté. "Si la bonne volonté de chacun n'est pas mise en cause, l'absence de procédure de crise face à ce genre d'événements, pourtant annoncé, est incompréhensible et doit impérativement être corrigée".


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Published by Didier HACQUART - dans PARTI DE GAUCHE
7 janvier 2009 3 07 /01 /janvier /2009 05:51

A l'heure où les services publics sont clairement mis à mal par SARKOZY, il est urgent de se mobiliser.


il faut aussi que les politiques se positionnenent sur cette question. Le Parti de Gauche le fait et explique pourquoi !

 

 

DH


 Service public de l'emploi en danger ! Il faut réagir



Chômage, emploi, précarité... il y a urgence !

 

A nouveau, les Français placent ces thèmes au cœur de leurs préoccupations. Dans le même temps, le gouvernement poursuit méthodiquement la remise en cause et le démantèlement des services publics : la Poste, l'énergie et... le service public de l'emploi.

 

Outre que ces questions mériteraient un large débat démocratique, force est de constater que ces réformes sont bien évidemment engagées sans concertation réelle, à marche forcée, au plus grand mépris des personnels et usagers.

 

Concernant la fusion ANPE-Assedics, devenus Pôle Emploi, elle signe un acte politique majeur du gouvernement de Nicolas Sarkozy qui poursuit sa politique libérale contre l'intérêt des demandeurs d'emploi et du personnel.

 

L'on peut légitimement s'interroger sur la nécessité de cette fusion, de l'intérêt pour les demandeurs d'emploi et des conséquences pour les personnels.

 

Vers une privatisation rampante.


La nouvelle réforme en cours n'est ni plus ni moins qu'une privatisation rampante du service public de l'emploi. Il est temps de réagir.

 

- Un véritable plan social est à craindre pour l'ANPE et les ASSEDICS
Lors de la dernière campagne présidentielle, le candidat Nicolas Sarkozy prônait la nécessité, au nom de la réforme de l'Etat, de réaliser de substantielles économies en ne compensant pas par une embauche le départ à la retraite d'un fonctionnaire sur deux. Où et Comment? : "Par exemple, par la fusion ANPE-Assedics" (sic). Outre le fait que ni les agents ANPE, ni les employés Assedics ne sont des fonctionnaires, le discours n'est plus de mise aujourd'hui. Et Laurent Wauquier jure que Pôle emploi est exclu de la Révision générale des politiques publiques (RGPP), pendant que Christine Lagarde s'engage à ce que la fusion se fasse à effectif constant. Qui mentait ou qui ment aujourd'hui : le candidat Sarkozy en 2007 ou ses ministres en 2008 ?


Le Monde, dans son édition du 26 septembre 2008 évoque la baisse de 1108 emplois dans la structure fusionnée. Le personnel des deux structures a tout à craindre d'un tel scénario, quand l'on sait que les engagements à long terme dépendront des budgets alloués, dont les deux tiers, par l'Unedic.
A l'heure où il faudrait à l'inverse renforcer ces structures, c'est un véritable plan social qui est craindre pour les mois à venir.

 

- La privatisation est déjà en marche


Le gouvernement Sarkozy est a l'œuvre depuis plusieurs mois : il a déjà supprimé dans les faits et dans les textes le monopole en matière de recueil d'offres de l'ANPE ; il a multiplié les expériences en confiant à des organismes privés l'accompagnement de demandeurs d'emploi (outplacement mais aussi formations au détriment de l'AFPA) ; il a accepté sans sourciller le détournement de CDD à des fins de périodes d'essai à répétition.


Les arguments avancés aujourd'hui sont tout autre et seraient de nature pragmatique : la fusion permettrait un retour rapide à l'emploi. La réforme actuelle est d'abord une réforme idéologique qui stigmatise les chômeurs comme des potentiels « profiteurs » du système. En fusionnant les deux structures, on change d'objectif premier : d'un objectif d'aide à la recherche d'emploi on passe à un objectif de « recherche de la moindre indemnisation » possible...


Nous devons réaffirmer avec force que les chômeurs sont bien ceux qui subissent aujourd'hui de plein fouet la crise économique et les politiques libérales et violentes des entreprises.

 

Il faut à l'inverse renforcer un service public centré sur la recherche d'emploi et la formation, et se refuser à recourir à une sous-traitance privée qui par nature recherche la rentabilité.

 

Une réforme catastrophique pour les demandeurs d'emplois et les personnels


Ce que souhaitent les employeurs, bien souvent les entrepreneurs de PME, c'est une visibilité sur le long terme. Or, les politiques de contrats aidés sont sans cesse remises en cause, en modifiant les critères d'éligibilité ou les montants et durée des aides allouées. Récemment, c'est une aide à la formation des demandeurs qui vient d'être purement et simplement supprimée (l'Allocation de fin de formation - AFF).
Toutefois, ce sont malheureusement bien les demandeurs qui sont au cœur de cette réforme.


Ils ont notamment l'obligation d'accepter un emploi dit raisonnable, de suivre une formation ou une prestation prescrites par son "conseiller personnel" (quant à lui surveillé sur des objectifs définis).


Le principe de la fameuse « Offre raisonnable d'emploi » est simple : plus le demandeur d'emploi tardera à occuper un poste, moins il devra être exigeant. Après un an, il devra accepter un emploi rémunéré au niveau de ses allocations chômage.
Ainsi, les secteurs qui peinent à recruter car ils proposent des salaires insuffisants, des conditions de travail médiocres, un management autoritaire disposeront d'une main-d'œuvre corvéable à merci sans avoir eu à changer leur politique !



Par souci d'uniformiser les services de l'ANPE et ceux des Assedics, l'ex-ANPE vient de mettre en place une plateforme téléphonique. Ainsi, il est impossible pour un demandeur d'emploi de joindre directement l'agence dont il dépend, encore moins SON conseiller PERSONNEL. Tout cela, bien sûr, en prétendant renforcer l'accompagnement individuel, personnaliser la recherche d'emploi, humaniser les contacts.


Les personnels de l'ANPE et des ASSEDIC traités avec mépris.


Outre des compétences commerciales (en direction des entreprises), des savoir-faire en entretien-conseil, des qualités administratives, les conseillers ANPE devront demain, après une formation au rabais, intégrer la gestion de dossiers d'indemnisation, tandis qu'à l'inverse le personnel Assedic, en quelques jours, se devra d'être opérationnel sur le champ du conseil. Tout cela dans le but avoué par Nicolas Sarkozy, que la "main qui indemnise soit celle qui accompagne". En un mot, que cette "main" sanctionne davantage, faisant fi de la nécessaire confiance entre le demandeur et le conseiller.


Mais surtout, c'est l'intégration à terme des personnels dans le droit privé, plaçant au cœur de l'activité les objectifs chiffrés, les évaluations, la progression au mérite, qui doit être dénoncée, ainsi que la recherche de rentabilité.
Enfin, rarement les personnels n'auront été traités avec un tel mépris : refus des directions d'entendre leurs interrogations ou contestations de cette fusion, détérioration des conditions de travail, baisses continuelles de pouvoir d'achat, remise en cause des métiers alimentent les rancœurs.

 

Il y a urgence à proposer une politique radicalement différente

 

- Mettre en place en urgence un « bouclier social »


Augmentation immédiate du SMIC à hauteur de 1500 euros net, limitation stricte du nombre de CDD, des heures supplémentaires et du recours à l'intérim, écart maximum de salaire dans l'entreprise, doublement du nombre d'inspecteurs du travail, interdiction des licenciements pour des entreprises qui dégagent des bénéfices, retraite minimum au moins égale au SMIC...


- Poser la question de l'emploi de manière globale :


A l'inverse de la politique actuelle, il faut renforcer les services publics et imaginer la réappropriation publique de certains secteurs comme l'énergie ce qui signifie clairement que le nombre de fonctionnaires devra augmenter sensiblement.
Dans le secteur privé, nous imaginons un développement relocalisé qui respecte une réelle dimension écologique.


Nous proposons également de développer le secteur de l'économie sociale et solidaire créateurs de lien social et d'emplois de proximité.


- Créer un véritable Service public de l'emploi ambitieux


Nous maintiendrons un rôle de conseil sous statut de droit public, dont les orientations seraient définies par l'Etat, les employeurs, les salariés, les demandeurs d'emploi (oubliés du Conseil d'administration de la nouvelle institution) ; nous améliorerons les conditions d'accès aux allocations chômage (montants, durée...) ; nous engagerons une réforme de la formation et ses financements en maintenant notamment les commandes publiques avec l'afpa.

 

Ces points, et bien d'autres méritent un large débat national et démocratique, condition nécessaire à la confiance des usagers envers ses services publics, confiance indispensable dans le cadre d'une République sociale que le Parti de Gauche entend promouvoir.

 

C'est pourquoi le Parti de Gauche soutient l'action des personnels de Pôle Emploi à l'appel des syndicats du secteur les 5 et 8 janvier 2009.

 


Pour ceux qui en doutaient encore... Le Parti de Gauche se mobilise pour la défense du service public.
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Published by Didier HACQUART - dans PARTI DE GAUCHE
2 janvier 2009 5 02 /01 /janvier /2009 05:51



J'ai lu l'article qui suit dans le Canard Enchainé du 24 décembre. Sauf erreur, ce qui est décrit n' a pas fait la une de l'actualité. Encore une fois, cela prouve que la vigilance est toujours de mise avec Sarko toujours prompt à mettre un coup de canif dans le principe de la laïcité à la française. Encore une fois, sa décision est à la limite de nos principes démocratiques.


Par ailleurs, depuis quand un Etat étranger, en l'occurrence le Vatican aujourd'hui, est habilité à désigner des établissements en France à délivrer des diplômes ?...


A suivre !


DH



Catho de Noël


Les relations entre ces 2 grands états que sont la France et le Vatican sont de plus en plus cordiales.


Sous le haut patronage de l'Elysée et la houlette d'Emmanuelle Mignon, longtemps dircab' de Sarko et catho de choc, notre ministre des affaires étrangères, Kouchner a signé le 18 décembre, avec Mgr Mamberti, secrétaire pour les relations du Saint-Siège avec les États, son homologue en somme, un accor de reconnaissance des diplômes de l'enseignement supérieur catholique.


Jusqu'à présent, les facultés cathos ne pouvaient obtenir le titre d'université à part entière ni surtout les financement publics. Seul l'État avait le droit de délivrer des diplômes. Et c'était ça depuis 1870 !


Mais tout cela va changer. Telle une bulle papale, l'affaire n' a pas eu les honneurs du parlement.


Un simple texte réglementaire a suffi, sur lequel Pécresse, accessoirement Ministre de l'enseignement supérieur n'a pas eu voix au chapitre.




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Published by Didier HACQUART - dans PARTI DE GAUCHE
30 décembre 2008 2 30 /12 /décembre /2008 06:46





J'ai l'habitude de dire que l'économie n'est pas une science mais relève de choix politiques. Je suis tombé sur un article de la revue de mon beau frère, « Pour la Science » de décembre 2008, qui illustre tout à fait mon propos. En effet, les modèles économiques sont orientés vers une finalité définie par le politique.


L'auteur est Ivar EKELAND, lui -même économiste.


A méditer...


DH





Modèles économiques et morale



En ce moment les conversations se portent sur la crise : « Ivar, toi qui fais de l'économie, peux - tu nous dire ce qu'il faudrait faire pour en sortir ? » A quoi, je réponds : « Mais qui veux-tu qui s'en sorte ? Les banquiers ou les ouvriers ? Les actionnaires ou les salariés ? L'Union Européenne ou l'Afrique ? Dis-moi à qui tu t'intéresses, et je te dirai comment faire. »


L'économie comme la guerre, est la continuation de la politique par d'autres moyens, suivant la célèbre formule de Clausewitz. Le militaire ne décide pas qui sont les amis ou les ennemis, c'est au politique de le faire ; une fois l'ennemi désigné, ce sera le travail du militaire de l'éliminer le plus économiquement et le plus radicalement possible. De même , l'économiste ne décide pas qui il faut privilégier, entre le paysan africain, les agriculteurs européens, ou les multinationales de l'agroalimentaire ; une fois l'objectif désigné, la tâche de l'économiste est de concevoir la politique qui y mènera le plus efficacement possible. Une politique tendant au développement de l'Afrique sera différente d'une politique de soutien à l'agriculture européenne, et de plus différente encore d'une politique d'ouverture complète des marchés. A titre d'exemple, la firme sud-coréenne DAEWOO Logistics vient d'acquérir un million d'hectares à Madagascar pour 99 ans; elle y produira ( millions de tonnes de blé à destination de la Corée du Sud, grâce à des travailleurs importés d'Afrique du Sud. Il est clair que dans ce cas, les intérêts sud-coréens sont passés devant ceux des paysans malgaches qui cultivaient ces terres.


Répétons-le : la théorie économique est une théorie de l'efficacité elle donne le meilleur moyen d'atteindre un but, mais ce doit lui même être fixé par ailleurs. Elle dit qu'il faut rééquilibrer le budget (et encore), mais elle ne dit pas qui doit payer les impôts ; dire que les riches doivent payer plus que les pauvres est un principe de justice, non d'économie. C'est le politique qui doit assigner ses priorités à l'économiste comme au militaire. Le malheur, c'est que ces priorités sont bien souvent inavouables. Il est donc préférable de les taire et de faire comme si elles allaient de soi, ce qui est facile si suffisamment de citoyens les partagent.


Le général canadien Romeo Dallaire, qui commandait les forces de l'ONU au Rwanda au moment du génocide, fait remarquer que l'OTAN a maintenu 67 000 hommes en ex Yougoslavie pendant des années, mais qu'au même moment, pendant les 100 jours, où on a massacré 500 000 personnes, il n'avait en tout et pour tout 260 hommes sous ses ordres. Les priorités avouées, que dis-je clamées sur les toits, étaient humanitaires, mais on ne peut guère comprendre cet abandon si on ne tient pas compte de ce que on peut appeler par euphémisme une préférence pour l'europe, trop naturelle pour ne pas être sous-entendue.


Si par malheur on est contraint d'avouer ses priorités, en général parce que leurs victimes sont trop nombreuses, trop influentes ou trop proches pour qu'un consensus muet soit possible, le remède est de les faire passer pour des nécessités, militaires ou économiques, bref de prétendre qu'il n'y a pas autre chose à faire : « there is no alternative », selon la fameuse formule de Margaret Thatcher.


C'est ce qui se passe en ce moment avec les plans de sauvetage des banques. La crise a d'abord été financière, puis devient maintenant économique : la perte de confiance déclenchée par les prises de risque inconsidérées des banques provoque une baisse de la consommation et un repli de l'épargne vers la thésaurisation, aux dépens des investissements, ce qui entraine un recul de l'activité économique sur tous les fronts. Quitte à injecter des centaines de milliards pour relancer celle-ci, on peut choisir de les diriger vers les banques (en mettant de l'argent à leur disposition pour éponger leurs dettes), vers le secteur productif (en investissant dans l'infrastructure ou les services publics, de manière à créer de l'emploi), ou vers les consommateurs (en augmentant le pouvoir d'achat par les aides directes ou des baisses d'impôts).


Ce sont 3 manières de sortir de la crise, mais les bénéficiaires ne seront pas les mêmes.


Choisir la première (1) est une décision politique, et non une nécessité économique;



(1) Plan de relance « Sarkozy »

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Published by Didier HACQUART - dans PARTI DE GAUCHE
29 décembre 2008 1 29 /12 /décembre /2008 06:49





Les droits de l'homme sont mis à mal aujourd'hui en France, avec la politique de Nicolas Sarkozy. L'autre soir, lors de notre meeting du Parti de Gauche 13, quelqu'un dans la salle a fait une intervention importante. C'était à peu près cela : « Nicolas Sarkozy, n'est pas un déducteur, mais ce qui est sur c'est qu'avec sa politique et ses les lois, tous les outils sont prêts pour un état totalitaire »...


C'est pourquoi, le communiqué de la Ligue des Droits de l'Homme, à laquelle je viens d'adhérer, me semble tout à propos...


DH



COMMUNIQUÉ LDH



Paris, le 23 décembre 2008



Philosophes, sans-papiers et police aux frontières




Après les « dangereux terroristes de Corrèze » devenus « personnes mises en cause mais présumées innocentes dans une affaire d'actes de malveillance vis-à-vis de la SNCF ».


Après les « collégiens présumés dealers » de Marciac sur lesquels des gendarmes avaient lâché un chien policier au milieu de leur classe.


Après le journaliste de Libération, accusé de diffamation par un marchand d'accès Internet, dont des policiers fouillent l'anus, l'ayant arrêté devant ses enfants à 6h30 du matin, pour vérifier disent-ils s'il n'y aurait pas caché de quoi se suicider.


Voici maintenant trois philosophes arrêtés et placés dix heures en garde à vue à leur retour de Bamako, parce qu'ils se sont, lors de leur vol aller, déclarés solidaires d'un de leurs collègues qui protestait contre une scène pourtant bien banale : un Africain menotté, encadré par cinq policiers, dangereux sans-papiers expulsé qui côtoyait des passagers libres sur un vol commercial d'Air France.


Le premier protestataire, directeur de programme au Collège international de philosophie, a été arraché de force de son siège, menotté lui aussi avec brutalité devant les autres passagers puis placé en garde à vue. Il risque cinq ans de prison et 18 000 euros d'amende pour délit de solidarité avec cet homme africain « reconduit » là où, dit-on en haut lieu, on est incapable de « s'élever vers le progrès ». Sauf bien sûr, en cas de condamnation, à ce qu'il bénéficie d'une grâce présidentielle comme Jean-Charles Marchiani - lequel, il est vrai, n'est pas précisément philosophe et avait sans doute commis des infractions beaucoup moins graves que nos « délinquants de la solidarité ».


Le thème du congrès de Kinshasa auxquels se rendaient les philosophes était « la culture du dialogue, les frontières et l'accueil des étrangers ». La Ligue des droits de l'Homme tient à saluer la contribution que les gouvernants actuels de la République viennent ainsi d'apporter aux travaux des congressistes : elle est à la hauteur de la considération qu'appellent leurs discours satisfaits sur « la France pays des droits de l'Homme ».


http://www.ldh-france.org/Philosophes-sans-papiers-et-police

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Published by Didier HACQUART - dans PARTI DE GAUCHE
28 décembre 2008 7 28 /12 /décembre /2008 06:02


J'ai trouvé sur le site d'ATTAC, une traduction du discours d'Oskar Lafontaine du 28 novembre dernier au Bundestag.


Oskar Lafontaine, c'est le Die Linke, une « référence » pour le Parti de Gauche... J'avais beaucoup apprécié son discours le 29 novembre à St Ouen, lors du grand meeting de lancement du parti de Gauche.


Encore une fois c'est une grande leçon de politique...


A suivre,


DH


Les alternatives au néolibéralisme par Oskar Lafontaine



Article publié le 08/12/2008 sur le site d'ATTAC.



Oskar Lafontaine, ancien président du SPD allemand et, aujourd'hui, l'un des animateurs de Die Linke est intervenu longuement, le 28 novembre 2008, au Bundestag.


Il a, par ailleurs, participé au rassemblement de lancement, en France, du Parti de Gauche (PG) le 29 novembre 2008.


Dans son intervention au Bundestag, Oskar Lafontaine, s'est livré à une analyse de la crise qui secoue le monde et l'a, notamment, reliée à la vaste privatisation entreprise depuis trois décennies par les gouvernements et institutions internationales qui défendent les seuls intérêts des propriétaires du capital. Les lecteurs de La Lettre du Conseil scientifique d'Attac-France reconnaîtront bien des thèmes soulevés régulièrement ici.


L'intervention d'Oscar Lafontaine a été traduite par Carla Krüger  militante active d'Attac-Allemagne et très investie dans la construction d'Attac-Europe.


Les alternatives au néolibéralisme

 

Oskar Lafontaine à "la ronde des éléphants", le débat sur le plan (partiel) 04 du budget 2009.



M. le Président! Mes chers mesdames et messieurs! Même après les discussions des dernières semaines nous restons convaincus: Dans le cas de la crise financière il ne s'agit pas d'une crise technique-économique. Il s'agit d'une crise de notre ordre économique et social. Cette remarque se réfère non seulement à l'économie nationale de la République Fédérale d'Allemagne mais à l'économie mondiale.


Si je parle d'une crise de l'ordre économique et social, il ne s'agit non seulement de processus économiques et techniques. Il s'agit aussi de l'orientation des valeurs d'une société. Donc il faut accueillir le fait que dans les autres partis et fractions il commence un débat sur la question si l'orientation des valeurs de la société a même été correcte ces dernières années. Si par exemple l'on évoque de nouveau les principes du commerçant bien-honnête, l'on pourra bien dire une chose: Beaucoup de principes règnent peut-être sur les marchés internationaux financiers, mais jamais ceux du commerçant bien-honnête.


Nous avons eu, ces dernières décennies, le développement d'une philosophie sociale, de la philosophie du néolibéralisme. Le néolibéralisme, c'est une attitude, une forme de religion quotidienne. Cette religion quotidienne reste sur certaines figures de pensée et de traditions intellectuelles qui ne sont pas surmontées de loin aujourd'hui. Si l'on commente au grand public que le néolibéralisme a échoué j'y conviens, en relation aux résultats.


(Dr. Wolfgang Gerhardt (FDP): Est-ce que vous pouvez m'expliquer qu'est-ce que c'est?)


Je ne consentirais jamais pourtant à l'opinion que ces traditions de pensées et ces modèles de réfléchir aient déjà échoués, car des traditions intellectuelles et des modes de penser formés pour des décennies ne peuvent pas être surmontés d'aujourd'hui à demain. Pour cette raison la question centrale est si nous avons les principes de base et les lignes-guides qui nous mettent en position de vaincre la crise actuelle. Il faut débattre de cette question essentielle aujourd'hui.


Mme la chancelière, vous venez très raisonnablement d'attirer attention au fait qu'il faut avoir des principes de bases et des lignes-guides pour surmonter une telle crise. Nous sommes pourtant convaincus que vous avez les faux principes et et les fausses lignes-guides et que vous ne serez donc pas en mesure de surmonter la crise. Je risque un pronostic à cet effet.


Je voudrais illuminer cela à l'exemple du sommet des G-20. Bien sûr, il y a eu ici l'intention de réguler. Bien sûr tout le monde a regardé de plus près: Qu'est-ce qui sera le résultat de ce sommet ?


Bien sûr l'on a pas attendu qu'il y aura immédiatement un résultat comme après le sommet de Bretton Woods. Mais l'on a fait deux constatations très inquiétantes et que je voudrais évaluer ici. Une des constatations au sujet de l'ordre des marchés financiers c'est: il faut continuer à respecter des principes de l'économie de marché. L'autre constatation c'est: Nous continuerons de nous en tenir au libre échange des capitaux.


La suite, cliquez ICI.



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Published by Didier HACQUART - dans PARTI DE GAUCHE
27 décembre 2008 6 27 /12 /décembre /2008 06:41

La Poste avec Nicolas Sarkozy est en danger. Comment avoir confiance en un Président qui à plusieurs reprises nous a menti ? Rappelons-nous par exemple de GDF.

Sarkozy veut privatiser La Poste, aux noms de quels intérêts ? Ce n'est en aucun une obligation. Par ailleurs, le montage financier qu'il propose ne se justifie nullement et n'est en fait qu'une première étape, en attendant des jours meilleurs au niveau de la bourse.

Je sais que certains rétorqueront que le service de La Poste laisse à désirer, que les queues d'attentes sont longues, et que l'accueil n'est pas toujours à la hauteur. Ce n'est pas forcément faux. Mais je pense qu'il faut se poser la question, pourquoi nous en sommes arrivés là ? Dans quel but ? N'était - ce pas « la ruse » en réduisant par exemple, les effectifs et les moyens de conduire à ces situations et ainsi rendre « inéluctable  le changement » et encore mieux son acceptation par la majorité du public ? Après tout, ils l'ont bien mérité », comme on l'entend parfois...

J'ai trouvé un « bon » article de Marianne sur le sujet, ainsi que le communiqué d'ATTC.

C'est un dossier sur lequel il faudra revenir dans les semaines qui viennent...

DH


Impostures pour La Poste!

Dec 22, 2008 04:23:00 GMT Partager


Par Hervé Nathan. Pour faire passer le changement de statut de La Poste, prélude à une privatisation future, Nicolas Sarkozy promet 2,7 milliards. La ficelle est trop grosse!


Ainsi, c'est décidé, par le fait du Prince, La Poste, le seul grand service public commercial encore entièrement dans les mains de l'Etat, va changer de statut. Ce devrait être fait d'ici l'été prochain, par le vote d'une loi au Parlement.

Triste destin pour La Poste


Devenues une société anonyme, La Poste et la Banque Postale sa filiale pourront très facilement ouvrir leur capital aux intérêts privés. Il suffit de se souvenir de GDF, transformée en société anonyme en 2005 par un ministre de l'économie nommé Nicolas Sarkozy qui assurait qu'elle demeurerait majoritairement dans le giron de l'Etat. Aujourd'hui ce sont les actionnaires de Suez, et les managers de Suez, qui y exercent le pouvoir !


Pour masquer ce triste destin évolue à La Poste, le président de la République annonce que l'entreprise serait désormais propriété de l'Etat et d'opérateurs publics. Première opération, destinée à faire passer la pilule : une augmentation de capital de 2,7 milliards souscrit à 1,2 milliard d'euros par l'Etat et 1,5 milliard par la Caisse des dépôts. Ce paravent grossier, gobé trop facilement par une partie des médias, est une double imposture.


Tout d'abord, l'Etat a la possibilité d'assurer l'augmentation de capital par lui-même s'il le désire. Juridiquement d'abord, puisque  le traité de Rome reconnaît le droit aux Etats de posséder des entreprises. Il serait d'ailleurs temps que les gouvernements fassent reconnaître ce droit à la Commission. C'est même le moment, puisque la crise amène à injecter des fonds publics partout, et notamment dans le secteur privé ! Financièrement ensuite : l'Etat peut emprunter pour investir dans La Poste. C'est même recommandé, puisque les règlements européens issus des traités de Maastricht et d'Amsterdam mettent « hors déficit » les investissements, y compris dans les entreprises.


C'est grâce à ces règles que les 40 milliards de fonds propres mis à disposition des grandes banques privées ne seront pas comptabilisés dans la dette publique. On se demande d'ailleurs pourquoi le gouvernement ne puise pas dans cette enveloppe pour aider sa filiale la Banque postale, qui est la banque de service publique, celle qui « bancarise » ceux qui sont refusés ailleurs.  Nul besoin donc ni de changer de statut, ni de solliciter la Caisse des dépôts.


Gare aux ventes à la découpe


Car c'est là que réside le second scandale : l'Etat puise dans les réserves de la Caisse comme si elle était sans fond. La CDC, rappelle son directeur général Augustin de Romanet, a déjà apporté sous diverses formes 43 milliards d'euros à l'économie nationale, soit bien d'avantage que l'Etat lui-même.


Or, l'argent de la Caisse, c'est celui des Français. Il provient de l'accumulation de leur épargne. Or la Caisse craque de partout sous le poids des prélèvements. Elle pourrait être pour la première fois en perte en 2008, pour la première fois depuis 1816, année de sa création. Pour répondre aux sollicitations de l'Etat est joue des tours de passe-passe dangereux.


Ainsi pour pouvoir apporter 3 milliards au fonds stratégique d'investissement, la CDC va-t-elle vendre 34 000 logements dans la région parisienne, qui abritent des ménages des classes moyennes. Une partie de ces immeubles feront probablement l'objet de ventes à la découpe de la part de promoteurs.


Pour assurer la stabilité de PME ou de grands groupes industriels, ce sont des familles que l'ont risque de déstabiliser ! Joli programme. Pour trouver 1,5 milliard à destination de la poste, que devra donc céder la Caisse des dépôts, dans un marché où, au demeurant, tous les prix baissent ?

 
Reste à tirer une leçon politique...


Sur ce dossier, comme celui des lycées, Nicolas Sarkozy a décidé de reculer sur la privatisation. La crise financière s'est imposée. Quel actionnaire privé est prêt aujourd'hui à investir dans La Poste ? Aucun. Nicolas Sarkozy remet donc la privatisation à l'après-crise. Il a néanmoins devant lui un deuxième obstacle : la mobilisation de la population, des élus, attachés au service public. Ils ont déjà beaucoup œuvré contre un projet manifestement mal fichu et mal financé. Il ne faudrait pas qu'il désarme avant l'été.


(*) http://www.netvibes.com/lecafedemarianne#CAFE_WIFI





La Poste et les mensonges du Président


Article publié le 22/12/2008 par: Attac France



Le président de la République nous a habitués à des mensonges plus gros les uns que les autres, sur lesquels les médias mettent trop rarement l'accent. En 2007, alors candidat à l'élection présidentielle, il voulait sauver la télévision publique en augmentant la part réservée à la publicité : en 2008, conseillé par TF1, il supprime la publicité sur France Télévisions. Toujours candidat, il promettait d'être le président du pouvoir d'achat et d'aller « chercher la croissance avec les dents » : on sait ce qu'il en est advenu !


Le 18 décembre dernier, concernant la Poste, il n'a pas hésité à accumuler les mensonges. Selon lui, le changement de statut du groupe était inévitable, il n'y pouvait rien, puisque l'Union européenne avait décidé l'ouverture totale à la concurrence des services postaux. Premier mensonge : oui, il y pouvait quelque chose, puisque la dernière directive postale (publiée en février 2008) a été votée par les représentants de son gouvernement au sein du Conseil des ministres de l'Union européenne. Deuxième mensonge : l'ouverture à la concurrence n'implique pas nécessairement l'ouverture du capital, encore moins la privatisation, rien dans les directives européennes n'y oblige. Troisième mensonge : l'ouverture du capital serait indispensable pour résorber les dettes de la Poste. Faut-il rappeler au Président que France Télécom n'a jamais été aussi endettée que lorsqu'elle a perdu son statut de société publique ?


Mais le plus gros des mensonges remonte à l'année 2004 : alors ministre de l'économie et des finances, Nicolas Sarkozy jurait, la main sur le cœur, que jamais l'entreprise Gaz de France ne serait privatisée. Quatre ans plus tard, sous sa présidence, l'État ne possède plus que 35 % du capital de GDF-Suez. Comment pourrions-nous le croire lorsqu'il nous assure que, malgré la transformation en société anonyme, le capital de La Poste restera à 100 % public ?


Plus que jamais, il importe de défendre le service public postal. Membre du Comité national contre la privatisation de la Poste, Attac France participera à toutes les actions qui seront menées pour mettre en échec le projet présidentiel de privatisation.


Montreuil, le 22 décembre 2008


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Published by Didier HACQUART - dans PARTI DE GAUCHE
21 décembre 2008 7 21 /12 /décembre /2008 05:43




Elections européennes de 2009, inscrivez - vous sur les listes électorales !



En 2009 se dérouleront les élections européennes. Pour pouvoir voter et choisir « une autre Europe », il faut être inscrit sur les listes électorales. Si ce n'est pas déjà fait, vous avez jusqu'au 31 décembre, dernier délai,  pour le faire !


DH

 

 


Conditions :


- Etre de nationalité française


- Avoir plus de 18 ans


Documents originaux à présenter :


- Carte Nationale d'Identité ou Passeport en cours de validité


- Justificatif de domicile : factures ou justificatifs personnels de moins de 3 mois émanant d'organismes publics.



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Published by Didier HACQUART - dans PARTI DE GAUCHE