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Pour mieux connaitre  l’histoire politique de Vitrolles, gérée pendant 5 années (1997 - 2002) par l'extrême droite et le couple Bruno et Catherine MEGRET, plus de 200 articles de presse sont à votre disposition (colonne de droite, rubrique "thèmes" sur ce blog). A l'heure de la banalisation de l'extrême droite, un devoir de mémoire s'impose avec l'expérience vécue à  Vitrolles.

Cette histoire politique est désormais complétée par des vidéos que vous pouvez retrouver dans le thème "l'histoire politique de Vitrolles en vidéo", dans la colonne de droite. Cette rubrique sera renseignée au fil du temps.

@ DH
18 janvier 2007 4 18 /01 /janvier /2007 07:56

La Présidentielle et l’environnement…
 
 
Plus de 475 000 français ont signé le pacte écologique de Nicolas HULOT.
 
Près de 19 000 autres ont signé l’appel pour José BOVE, en 10 jours.
 
Nicolas HULOT, quoi qu’on en pense aura réussi a porté le combat écologique et la défense de la planète au cœur de la campagne électorale. 475 000 personnes qui signent le pacte écologique, et ce n’est pas fini, ce n’est pas rien. Contrairement à José BOVE, ce n’est pas un appel à la candidature de Nicolas HULOT.
 
15 000 personnes qui en 9 jours soutiennent la candidature de José BOVE, ce n’est pas rien non plus. La logique est différente de celle de Nicolas HULOT, mais il est clair que José BOVE est aussi identifié comme un candidat écologiste, qui plus est altermondialiste.
 
Tous deux revendiquent qu’ « un autre monde est possible ». Manifestement il y a de fortes attentes qui doivent interpeller les « candidats classiques ».  ». Manifestement il y a de fortes attentes qui doivent interpeller les « candidats classiques ».
 
Comme déjà évoqué, je suis convaincu que le système capitaliste actuel trouve actuellement ses limites avec les problèmes environnementaux qui deviennent de plus en plus importants, sans oublier la fin du pétrole et des matières premières.
 
Quelle est la finalité de la logique financière qui régit le monde, la rentabilité de 15% pour les actionnaires, de « la valeur travail » (perdre sa vie en la gagnant), s’il n’y a plus de planète pour nos enfants et petits-enfants ?
 
Trop souvent, nous oublions que nous vivons dans un monde fini, que la nature est une réalité, et que malgré toute la technologie nous ne devons pas négliger les éléments naturels. Mon expérience de navigateur m’a parfois rappelé qu’au milieu de la mer et d’un mistral un peu fort, que nous n’étions pas grand chose face à la nature !
 
A méditer…
 
DH
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Published by Didier HACQUART - dans Ecologie politique - environnement
28 novembre 2006 2 28 /11 /novembre /2006 08:04

Une vérité qui dérange…
 
 
 
 
 

Al Gore, ancien vice Président de CLINTON, et malheureux perdant à la présidentielle contre BUSH, mène depuis plus de 25 ans un véritable combat contre le réchauffement climatique.

 
 
 

Il a effectué plus d’un millier de conférences aux Etats – Unis et dans le monde entier. Un film est actuellement sur nos écrans et même à Vitrolles au Cinéma les Lumières : « Une vérité qui dérange ».

 
 
 

Je suis convaincu depuis longtemps que l’environnement est le principal défi des années à venir, et que le système qui nous régit tourné vers la finance et le profit atteint ses limites. Comme expliqué d’ailleurs dans le film, à quoi sert le profit, s’il n’y a plus de planète ?

 
 
 

Il y a urgence à réagir et à agir pour sauver la planète.

 
 
 

Al Gore a présenté son film devant les Députés et Sénateurs français, le 11 octobre dernier. Je  vous en livre la vidéo.

 
 
 

Pour en savoir plus sur le film :

 
 
 
 
 
 

Pour en savoir plus sur les actions à mener :

 
 
 
http://www.actioncarbone.org/main_fr.php


Intervention d'Al GORE le 11 octobre à la maison de la Chimie à Paris :



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Published by Didier HACQUART - dans Ecologie politique - environnement
5 août 2006 6 05 /08 /août /2006 17:57


Canicule et dérèglement climatique, notre société va dans le mur…

 
 

Pour la seconde fois en 3 ans, nous avons à faire face à une nouvelle canicule sur l’Europe.

 

Sans avoir la prétention d’être un expert en la matière, j’en tire la simple conclusion que notre société va dans le mur et qu’il nous faut réagir.

 

Quel est le sens d’une société tournée autour du profit, de la rentabilité financière et de la bourse, alors que dans le même temps la planète est en danger ? Le système actuel, à mon sens, atteint ses limites.

 

Quel est le sens d’une société, qui n’a d’autres possibilités que d’envoyer nos anciens dans les centres commerciaux, symboles de la consommation, pour leur apporter un peu de fais, grâce à la climatisation ?

 

Quel est le sens d’une société qui développe à outrance justement,  la climatisation, vorace en énergie et qui contribue en fait au dérèglement climatique, alors que des solutions alternatives existent pour l’habitat ?

 
Quel est le sens d'une société qui ne mise que sur la croissance, alors que nous vivons dans un monde fini, dont les ressources ne sont pas inépuisables ?

 

L’avenir de la planète est un enjeu des prochaines échéances politiques. La fin du pétrole, la problématique de l'eau, les dérèglements climatiques actuels doivent nous interpeller sur l’avenir de la planète.

 

C’est un sujet éminemment politique qui sort des sentiers battus des "candidats à la candidature" traditionnels à l’élection Présidentielle. 

 

Ce sont les bases et les objectifs de la société dans laquelle nous voulons vivre  qu’il faut redéfinir, mais il y a urgence… C’est une remise en cause de la mondialisation qui est en jeu, car l’avenir sera à la production locale et non décentralisée à l’autre bout du monde.

 

Nous pouvons attendre d’être devant le mur pour agir, il me semble préférable de mettre la question au cœur du débat politique.

 
A suivre…
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Published by Didier HACQUART - dans Ecologie politique - environnement
26 juillet 2006 3 26 /07 /juillet /2006 14:34

Appel international contre le réacteur nucléaire EPR
 
NON à l’EPR, OUI aux alternatives au nucléaire
 
 

Alors que notre pays est déjà largement suréquipé en centrales nucléaires et qu'il est urgent à la fois de maîtriser les consommations d'énergie et de développer les énergies renouvelables, le gouvernement français a demandé à EDF de construire un nouveau réacteur nucléaire de type EPR (European Pressurized Reactor) à Flamanville dans la Manche.

 

L'intention du lobby est de nous mettre une fois de plus devant le fait accompli et de nous imposer à terme le renouvellement de tous les réacteurs existants par des réacteurs EPR.

 

Pourtant, la construction d'un réacteur EPR est une mauvaise décision à tous les points de vue :

 

- Au point de vue énergétique : la  France est en situation de surproduction électrique et n'a donc besoin d'aucune nouvelle centrale avant plusieurs décennies. Le nucléaire représente certes 78% de l'électricité consommé en France, mais seulement 15% de notre consommation totale d'énergie, et... 4% de la consommation énergétique mondiale! Il ne peut pas non plus se substituer à l'usage du pétrole dans les transports. Il n'est donc pas une réponse au réchauffement climatique.

 

- Au point de vue économique : ce chantier de plusieurs milliards d'euros entraînera un retard dommageable dans les nécessaires investissements de l'industrie française vers d'autres solutions énergétiques, sans résoudre les difficultés inhérentes au secteur nucléaire.

 

- Au point de vue social : les énergies renouvelables et la maîtrise de l'énergie sont bien plus créatrices d'emplois et porteuses d'avenir. A investissement équivalent, un programme éolien produirait deux fois plus d'électricité et créerait près de 5 fois plus d'emplois - comme le montre l'étude “Eole ou Pluton ?” réalisée en 2003 par l'association Détente.

 

- Au point de vue environnemental : l'EPR n'apporte aucune amélioration notable quant à la sûreté nucléaire ou à la gestion des déchets radioactifs, dont le fardeau continuera à peser sur les générations futures.

 
=> Parce que nous refusons la perpétuation des risques du nucléaire;


=> Parce que nous refusons que le lobby nucléaire nous impose un nouveau réacteur;


=> Parce que nous refusons la confusion entre service public et intérêt du lobby nucléaire;


=> Parce que nous savons que cet investissement inutile restera finalement à la charge des clients d'EDF et des générations futures;


=> Parce que nous voulons que l'avenir s'ouvre à des énergies renouvelables, décentralisées, propres et sans risques;

 
 
Ensemble, nous disons NON à l'EPR, OUI aux alternatives, et nous signons cet Appel.
 
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Published by Didier HACQUART - dans Ecologie politique - environnement
1 avril 2006 6 01 /04 /avril /2006 18:00


Comité de soutien à Noël Mamère et aux faucheurs volontaires


Contre la « criminalisation de l’expression »

 

La société Pioneer Génétic a procédé jeudi 30 au matin a une saisie-attribution de plus de 63000 € sur le compte de Noël Mamère pour récupérer les dommages-intérêts auxquels il a été co-condamné à la suite d’un arrachage de maïs transgénique, alors même que tous les recours ne sont pas épuisés, l’affaire étant en cassation et sans prendre la peine d’en informer Noël Mamère.

C’est une véritable provocation contre un Elu de la République et une forme de pression au moment même où le Parlement examine le projet de loi sur les OGM.

Si vous souhaitez rejoindre le comité de soutien contre « la criminalisation de l’expression » : envoyez votre signature à l’adresse suivante :

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Published by Didier HACQUART - dans Ecologie politique - environnement
21 janvier 2006 6 21 /01 /janvier /2006 18:36

ITER : Analyse critique de la maitrise de l'énergie du soleil !


 

Le projet ITER est lancé. Tous les politiques au niveau national et local se sont mobilisés pour que la France et plus précisément CADARACHE accueille ITER. Un grand débat public est lancé dont on peut s’étonner un peu de l’intérêt dans la mesure où les décisions sont prises.

 
1 - ITER : Energie propre ?
 

Scientifique de formation je m’intéresse un peu à la question et m’interroge sur quelques points. ITER est présenté da   ns les médias et par tous les officiels comme la solution miracle de l’avenir et surtout comme une énergie propre. C’est évidemment tentant mais la réalité est tout autre. ITER n’est pas aussi propre que cela.

 

En effet le réacteur ITER produira des déchets nucléaires.
Le Prix Nobel de physique 2002, le japonais Masatoshi Koshiba, a expliqué dès le 10 mars 2003 dans une lettre envoyée au premier ministre Koizumi que :

  • "Le réacteur nucléaire ITER, qui brûle du tritium, est extrêmement dangereux du point de vue de la sûreté et de la contamination de l'environnement"
  • "Les neutrons qui seront produits dans ITER ont une énergie plus de dix fois supérieure à celle d’un réacteur de fission et la radioactivité des murs du dispositif et des matériaux de construction produiront 40.000 tonnes de déchets nucléaires."

Ces déchets resteront dangereux pendant plusieurs centaines d'années.

Tout cela est aujourd’hui confirmé dans les documents officiels consultables sur le site :


C'est certes moins long que pour la fission nucléaire, mais les déchets nucléaires d'ITER seront eux aussi légués aux générations futures.

Donc qu’une fois de plus le lobby nucléaire a encore sévi en tentant de nous masquer certaines réalités des choses. Le débat public d’aujourd’hui que nous espérons plus honnête arrive un peu tard et ne remettra pas en cause les choses. Cela a déjà été annoncé.

 
2 – ITER, mythe ou réalité ?
 

Evidemment il faut croire en l’avenir et en la recherche. S’opposer aujourd’hui semble parfois une vision rétrograde. Cependant les articles de Claude Allègre et de Pierre Gilles de Gennes me semblent pertinents et m’interpellent !

 

Je ne suis pas un fan de mon collègue du PS Claude Allègre, ex Ministre de l’Education, mais je crois qu’en tant que scientifique, qu’il a une certaine autorité dans le domaine qui est reconnue de tous.

 

A vous de lire  et de vous faire votre opinion !

 

Pour finir, vous trouverez dans la liste des liens, plusieurs sites qui présentent une autre vision d’ITER et des problèmes énergétiques futurs.

 
 
 

ITER, Beaucoup de bruit pour rien

 

L'Express - 30/05/2005

L'installation à Cadarache du réacteur à fusion nucléaire est une mauvaise nouvelle pour notre recherche

Le président nous a annoncé fièrement que la France allait battre le Japon et obtenir le site du réacteur expérimental de l'avenir, qui serait installé à Cadarache (Bouches-du-Rhône). Et tout le monde de se réjouir, surtout en Provence, où les hommes politiques, fiers, ignorants et naïfs, sont persuadés qu'Iter (International Thermonuclear Experimental Reactor) va leur apporter richesse, prospérité et prestige!

Malheureusement, rien de tout cela ne se produira: Iter saignera à blanc les collectivités locales et affaiblira encore un peu plus le budget de la recherche française. Coût de l'opération: 12 milliards d'euros! Iter est encore un de ces projets de prestige qui ont, dans le passé, épuisé les finances de notre recherche. Ce fut d'abord la télévision haute définition, ensuite la construction du grand accélérateur national d'ions lourds (Ganil) à Caen, puis les vols habités dans l'espace et, enfin, la Station spatiale internationale. Résultats pour la science? Rien, ou presque. C'est aujourd'hui le laser Mégajoule, à Bordeaux, et Iter, à Cadarache.

On nous dit: Iter, c'est l'énergie du Soleil, c'est extraordinaire, c'est l'avenir! C'est ce que l'on disait déjà il y a quarante ans, lorsqu’a commencé le projet d'étude de la fusion contrôlée. L'idée de départ n'est certes pas inintéressante. Au lieu de fissionner des noyaux atomiques lourds pour obtenir de l'énergie, comme dans les réacteurs actuels, on cherche à fusionner des noyaux atomiques légers pour obtenir encore plus d'énergie. C'est la séquence suivie dans la fabrication des bombes atomiques. Après celle, classique, d'Hiroshima, on a fabriqué la bombe H, plus puissante, plus meurtrière, mais moins polluante (sic).

Toutefois, si l'on sait réaliser la fusion de manière explosive, on ne sait pas la contrôler. Et, depuis quarante ans, on tourne en rond. Des projets comme Iter, on en a installé à Princeton aux Etats-Unis, puis en Grande-Bretagne, mais on n'a jamais vraiment progressé, faute d'une idée scientifique innovante. Les Américains, autrefois moteurs de cette recherche - ils la finançaient à 60% - l'ont abandonnée. Peut-être participeront-ils à hauteur de 5% demain? Ont-ils renoncé pour autant à l'idée de maîtriser la fusion? Nullement, mais ils recourent à des méthodes plus astucieuses et moins chères.

Ainsi, dans l'une des dernières livraisons de la revue Nature, une équipe américaine dit avoir réalisé une fusion nucléaire dans un cristal pyroélectrique avec un dispositif assez simple! Ce n'est certes pas la solution, mais ce travail illustre un état d'esprit. Aux Américains les astuces bon marché et les idées neuves, à nous les dépenses somptuaires et inutiles! Car Iter n'est pas un réacteur: c'est un engin destiné à la recherche fondamentale, un engin qui offre peu de chances de réussite!

Si le gouvernement et la région Provence-Alpes-Côte d'Azur veulent dépenser de l'argent pour la recherche, ce qui me réjouit, pourquoi n'ont-ils pas relancé le réseau de génopôles que nous avions créé avec les centres d'Aix-Marseille spécialisés dans la recherche médicale et pharmaceutique? Pourquoi ne pas développer sur le site de Cadarache le réacteur nucléaire propre, sans déchets de longue période, dit «de quatrième génération» ?

Tout cela emploierait plus de personnes, serait plus utile pour la France, et nous éviterait de dépenser nos deniers en achetant du matériel de haute technologie aux Etats-Unis ou au Japon…

Claude Allègre
 

Les Echos - Jeudi 12 janvier 2006 - propos recueillis par Chantal Houzelle


Recherche : le cri d'alarme d'un prix Nobel


Pierre-Gilles de Gennes, prix Nobel de physique 1991, atomise le réacteur ITER


Extraits :

Je trouve que l'on consacre beaucoup trop d'argent à des actions qui n'en valent pas la peine. Exemple, la fusion nucléaire. Les gouvernements européens, de même que Bruxelles, se sont rués sur le réacteur expérimental Iter [NDLR : il sera implanté dans le sud de la France, à Cadarache] sans avoir mené aucune réflexion sérieuse sur l'impact possible de ce gigantesque projet. Quoique grand défenseur des grosses machines communautaires il y a trente ans, et ancien ingénieur du Commissariat à l'énergie atomique (CEA), je n'y crois malheureusement plus, même si j'ai connu les débuts enthousiastes de la fusion dans les années 1960.

Pourquoi ? Un réacteur de fusion, c'est à la fois Superphénix et La Hague au même endroit. Si, avec Superphénix [NDLR : un prototype de surgénérateur, dont l'arrêt a été décidé en 1997], on a réussi à gérer un réacteur à neutrons rapides, ce serait difficile à reproduire sur 100 réacteurs en France - ce qu'exigeraient les besoins électriques nationaux -, car ces installations réclament les meilleurs techniciens pour obtenir un résultat très raffiné dans des conditions de sécurité optimales. Et ce serait littéralement impossible dans le tiers monde.

Sans compter qu'il faudrait reconstruire une usine du type de La Hague autour de chaque réacteur pour pouvoir traiter sur site les matières fissibles extrêmement chaudes, qu'on n'a pas le droit de transporter par voie routière ou ferroviaire. Vous vous rendez compte de l'ampleur d'un tel projet !


Avez-vous d'autres réticences vis-à-vis du réacteur expérimental Iter ?


Oui. L'une repose sur le fait qu'avant de construire un réacteur chimique de 5 tonnes, on doit avoir entièrement compris le fonctionnement d'un réacteur de 500 litres et avoir évalué tous les risques qu'il recèle. Or ce n'est absolument pas comme cela que l'on procède avec le réacteur expérimental Iter. Pourtant, on n'est pas capable d'expliquer totalement l'instabilité des plasmas ni les fuites thermiques des systèmes actuels. On se lance donc dans quelque chose qui, du point de vue d'un ingénieur en génie chimique, est une hérésie.

Et puis, j'aurais une dernière objection. Connaissant assez bien les métaux supraconducteurs, je sais qu'ils sont extraordinairement fragiles. Alors, croire que des bobinages supraconducteurs servant à confiner le plasma, soumis à des flux de neutrons rapides comparables à une bombe H, auront la capacité de résister pendant toute la durée de vie d'un tel réacteur (dix à vingt ans), me paraît fou. Le projet Iter a été soutenu par Bruxelles pour des raisons d'image politique, et je trouve que c'est une faute.

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Published by Didier HACQUART - dans Ecologie politique - environnement