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Pour mieux connaitre  l’histoire politique de Vitrolles, gérée pendant 5 années (1997 - 2002) par l'extrême droite et le couple Bruno et Catherine MEGRET, plus de 200 articles de presse sont à votre disposition (colonne de droite, rubrique "thèmes" sur ce blog). A l'heure de la banalisation de l'extrême droite, un devoir de mémoire s'impose avec l'expérience vécue à  Vitrolles.

Cette histoire politique est désormais complétée par des vidéos que vous pouvez retrouver dans le thème "l'histoire politique de Vitrolles en vidéo", dans la colonne de droite. Cette rubrique sera renseignée au fil du temps.

@ DH
2 juillet 2010 5 02 /07 /juillet /2010 06:03

 

 


 

Tous sur le pont !!!


Pour en savoir plus :


 

Cliquez ICI

 

DH

 

 


07-2010-Pti-Dej-Poste.jpg

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Published by Didier HACQUART - dans Défense La Poste
1 juillet 2010 4 01 /07 /juillet /2010 06:40

 


 

C'est grâce à MEDIAPART que l'affaire WOERTH s'est fait jour. Heureusement que survivent quelques médias indépendants comme celui-ci et le Canard Enchainé.

 

Eric WOERTH bénéficie de la présomption d'innocence. Pour autant, cette affaire qui serait traitée autrement dans l'importe quelle autre démocratie, nous démontre qu'il évolue dans un « autre monde » bien particulier qui est celui de la très haute bourgeoisie et des plus grosses fortunes de France. Comment peux-t-on comprendre la France et le quotidien des français en étant maire de Chantilly ? Comment oser demander des efforts aux français qui gagnent le SMIC ou qui sont déjà aux minimas sociaux ? A- t-il la moindre idée de ce que cela représente chaque jour pour vivre ? Si les français ne comprennent pas que la droite de Sarkozy c'est la défense d'une certaine catégorie de la population française...

 

DH

 

Nb : Pour la liberté de la presse, abonnez-vous à Médiapart !

 



 

Jeudi, 24 Juin 2010

 

 

La controverse bat son plein sur l'existence ou non d'un scandale politique dit « affaire Woerth ». Mais qui dit mot du scandale économique qui en est la racine ? Des kilomètres d'articles et des heures de reportage décrivent le fonctionnement de Liliane Bettencourt, « la personne la plus riche d'Europe », sans jamais contester cette richesse. Liliane Bettencourt est au sommet d'une caste de super-riches qui se porte bien, merci. « En 2009, le nombre de foyers millionnaires en dollars a augmenté d'environ 14 % et atteint 11,2 millions, quasiment autant qu'en 2007 » jubile le Boston Consulting Group dans son rapport 2010 sur la richesse mondiale intitulé « Regagner le terrain perdu ». Malgré la crise, il y a donc de plus en plus de super-riches. Cette accumulation obscène, contraire à l'égalité entre les êtres humains, signale la férocité de l'exploitation qui la rend possible. Elle débouche en outre inéluctablement sur le viol de la souveraineté populaire.

 

Il serait en effet naïf de croire que de telles fortunes peuvent être amassées indépendamment des politiques gouvernementales. Il a fallu supprimer les limites à l'enrichissement : libérer la finance, bouleverser les politiques fiscales, assurer par des marchés publics ou des privatisations des niches de profit faramineux. Liliane Bettencourt aurait pu vivre confortablement sans corrompre quiconque ni violer aucune loi. Mais elle n'aurait jamais pu devenir aussi riche sans conseillers en évasion fiscale, informations privilégiés sur des décisions de justice, liens privilégiés avec le pouvoir. Et si les grandes firmes états-uniennes financent abondamment les partis démocrates et républicains, c'est bien qu'elles bénéficient d'un confortable retour sur investissement.

 

De plus, il serait naïf d'oublier que de telles inégalités de fortune minent sans coup férir la démocratie. L'argent donne du pouvoir, l'argent sans limite donne un pouvoir sans limite. Dès lors que des gens peuvent s'acheter tout ce qu'ils souhaitent, ils finissent par acheter l'Etat lui-même. Ce n'est pas vrai seulement en France. Partout d'anciens chefs d'Etat et de gouvernement après avoir brisé nos retraites, mènent la leur dans les affaires, à l'image de Blair, administrateur de LVMH, et Schröder, aujourd'hui responsable d'un groupe pétrolier. Pour rétablir le pouvoir du peuple, il faut empêcher les richesses abusives.

 

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Published by Didier HACQUART - dans PARTI DE GAUCHE
29 juin 2010 2 29 /06 /juin /2010 06:12

 

 


Pour alimenter le débat sur les retraites...


DH

 



 

pena_ruiz

 

Les retraites mal traitées. Réalisme ? Non. Mystification et régression. Invoquer seulement l'évolution du rapport entre « actifs » et « passifs » et l'élévation de l'espérance de vie pour élever l'âge légal de départ à la retraite et la durée de cotisation est irrecevable. On prétend le faire au nom de la pure économie. Mais celle-ci n'existe pas sans dimension sociale. Ainsi le coût social du chômage ou du surmenage ne figure pas dans les livres de comptes des entreprises. Pourtant il existe. Le capitalisme fait semblant de l'ignorer. Sous son nom pudique de libéralisme il promeut une économie irresponsable et assistée en laissant ces coûts à la charge de la collectivité: coûts humains, coûts écologiques, coûts sociaux. En détruisant la retraite à 60 ans, le gouvernement impose une honteuse régression sociale. Pour cela il néglige cinq paramètres majeurs. Qu'on en juge.


-Premier paramètre oublié :l'écart entre les espérances de vie selon le niveau social.

 

Depuis que l'âge légal de la retraite a été fixé à 60 ans, en 1981, l'espérance moyenne de vie a progressé de six ans. Mais pas pour tout le monde. Tous les chiffres convergent : entre un ouvrier et un cadre supérieur, l'écart des espérances de vie s'est accru ces dernières années pour s'élever à 7 ans. 7 ans, c'est beaucoup. L'usure liée à une tâche pénible, voire au stress d'une rentabilité obsessionnelle, abrège la vie. Pire, l'espérance de vie en bonne santé n'est que de 63 ans pour les hommes et 64 pour les femmes, avec un écart de sept ans là aussi entre un ouvrier et un cadre. Dans une société marquée par de telles inégalités, comment peut-on oser dire « On vit cent ans ; on ne peut s'arrêter de travailler à soixante ». Qui vit cent ans ? Pour les plus démunis, qui meurent avant les autres, la retraite à soixante ans est un droit essentiel et une garantie. Point de vue partisan ? Sans doute, autant que son opposé. Mais si une société est juste et bien fondée quand elle réserve aux plus démunis un sort décent, ce point de vue est finalement universel.


-Deuxième paramètre oublié: le lien entre l'âge de la retraite et l'espérance de vie.

 
La pénibilité influe de façon négative sur l'espérance de vie. Retarder l'âge de la retraite, dans ce cas, c'est rendre la mort plus rapide. D'autant que l'inégalité devant la maladie et la mortalité s'est accrue. Les dépassements d'honoraires et le renchérissement des soins, la privatisation des services publics et les coupes sombres dans les budgets sociaux pour faire payer au peuple l'irresponsabilité des spéculateurs, pèsent évidemment plus lourd sur les personnes les plus démunies. Une nouvelle figure de la misère moderne émerge. L'affaiblissement du système de santé publique atteint en premier lieu ceux qui ne peuvent le compenser par l'argent. Bref travaillez plus longtemps, soyez plus stressés par les nouvelles cadences infernales de la rentabilité, et soyez soignés en proportion de vos moyens : voilà la recette pour faire régresser l'espérance de vie des plus démunis. Et l'on voudrait entériner cette régression en faisant sauter le dernier rempart que constitue le droit de partir à la retraite à 60 ans ! Car ce n'est pas le moduler que de décider d'emblée de l'abolir et de lui substituer l'arbitraire du cas pas cas.


-Troisième paramètre oublié : l'accroissement de la productivité du travail.


Depuis 25 ans, celle-ci a augmenté de 50%, selon le chiffre généralement admis de 2 % de progression par an. Bref un « actif » d'aujourd'hui produit dans le même temps beaucoup plus de richesse qu'un actif de 1985. Qu'a-t-on fait d'une telle plus-value ? Faut-il admettre par principe que les gains de productivité du travail ne doivent profiter qu'au capitalisme, et raisonner sans signaler ces gains ni la monopolisation de la richesse accrue qui a été produite ? Où est le progrès partagé par tous ? Quelle mauvaise conscience pousse les tenants de l'idéologie dominante à souligner abstraitement les progrès de l'espérance de vie et des conditions de travail, comme s'il s'agissait de privilèges alors qu'ils ne constituent qu'une modeste part du progrès général ? Les privilèges réels sont d'un ordre. Ils sont incommensurables aux droits sociaux conquis de haute lutte. Ils concernent ceux qui jouent leur mobilité dans la luxueuse classe affaire de la mondialisation libérale et n'éprouvent aucun problème pour prendre soin d'eux-mêmes.


-Quatrième paramètre oublié : l'écart croissant entre les revenus du travail et ceux du capital.


20 années de croissance à 2% l'an donnent 40 % d'augmentation de la richesse nationale. Qui en a profité ? Le partage de la valeur ajoutée issue du travail humain de ces vingt dernières années s'est effectué en faveur du capital, dont les revenus ont progressé bien plus vite que ceux du travail. Ne peut-on mettre à contribution le capital autrement que par une augmentation dérisoire de 1% pour l'impôt sur les plus hauts revenus ou par une aumône prélevée sur les dividendes ? En fait le chômage a servi à comprimer les salaires tout en induisant sur le marché du travail un rapport de force entièrement défavorable aux salariés. Et le résultat est là. Les profits du capital ont pris plus de 8 points de richesse nationale aux salaires entre 1983 et 1990. Les plus grandes entreprises du CAC 40 ont affiché des profits records (en 2004, 54 milliards d'euros, en 2005, 80 milliards, en 2006, 100 milliards), et distribué des dividendes en proportion, alors que les salaires étaient pratiquement gelés. Pour Total, les dividendes versés ont grimpé de 15% et les salaires de 2,2% : pour la Société Générale, les chiffres sont respectivement de 32% et de 2,7% ; pour Renault, de 28,5% et de 4,6% (pour 2004-2005) ... (Sources : Les Echos et la Tribune). Les machines ont remplacé les hommes. Mais on persiste à ne faire cotiser que les travailleurs. Ainsi malgré des gains de productivité qui compensent le déséquilibre démographique, le déficit des retraites s'est accru. Il est plus que temps de mettre sérieusement à contribution les revenus du capital.


-Cinquième paramètre oublié :la pression du chômage sur le coût du travail.

 
Il est paradoxal d'en appeler à un allongement du travail alors que le chômage se maintient autour de 10 % de la population active et qu'il frappe notamment nombre de seniors remplacés par des personnes plus jeunes et moins payées. Les Services publics et la Sécurité Sociale, gages d'une bonne santé de toute la population sont sacrifiés. Saisissant contraste avec les parachutes dorés et autre stock options de ces professeurs d'austérité qui ne se l'appliquent pas à eux-mêmes ! Si le taux de chômage officiel était réduit de moitié, le déficit des retraites, grâce aux cotisations de ceux qui auraient retrouvé un emploi, serait lui aussi réduit de moitié. Madame Parisot a osé déclarer « L'amour et la santé sont précaires. Pourquoi le travail devrait-il échapper à la loi ?». Cet éloge de la précarité qui comprime les coûts salariaux en dit long sur l'idéologie qui se déguise en science économique pour mieux nous en imposer. C'est la même personne qui vient d'affirmer que la retraite à 60 ans était une illusion et qui n'a pas de mots assez durs pour les 35 heures !

Réfléchissons. Le programme de l'ultralibéralisme a déjà existé, avant les lois sociales conquises dans le sang et les larmes. C'était au dix neuvième siècle...En Europe, en 1837, la semaine de travail durait environ 72 heures. Et l'espérance de vie pour les ouvriers était en moyenne de 43 ans. Enrichissez-vous ! Chaque dimanche était jour d'aumône. Le fameux supplément d'âme d'un monde sans âme. Est-ce le retour à cet âge d'or du capitalisme que veulent nos dirigeants ? Qui peut encore prétendre que la lutte des classes est d'un autre âge ?


 

Retraites mal traitées :

un scandale déguisé en réalisme.

par Henri Pena Ruiz, philosophe et écrivain, membre du Parti de Gauche.

Tribune publiée dans Le Monde 25 juin 2010

 

Henri Pena Ruiz, philosophe et écrivain, membre du Parti de gauche.
Dernier ouvrage paru : La solidarité, une urgence de toujours.
Editions Rue des écoles Paris 2010

 

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Published by Didier HACQUART - dans Réforme des retraites
27 juin 2010 7 27 /06 /juin /2010 05:51

 

 

 


 

Défense du service public de La Poste à Vitrolles,

 

GEDC1467.JPGLe camarade Albert du PG, tout est résumé...

 

Le 26 juin, le collectif vitrollais de défense de la Poste avait lancé un appel au rassemblement devant le bureau principal.

 

La Direction reste sourde aux demandes des citoyens pour un service de qualité qui ne réduise pas les horaires et qui ne condamne pas à terme le bureau du Roucas au Vieux Village.

 

Nous étions ainsi une petite centaine à être rassemblés ce samedi matin et à envahir le bureau de Poste. Si rien ne bouge, Rendez-vous est pris pour un petit déjeuner citoyen samedi prochain.

 

Évidemment le Parti de Gauche est partie prenante au sein du Collectif !

 

A Suivre !

 

DH

 

GEDC1456.JPG

 

GEDC1462.JPGMarc GRAND pour le PS, Henri AGARRAT, Pierre PRADEL piour le PCF, Albert BRUN pour le PG

 

 

 


GEDC1463.JPG

Albert au micro !

 

GEDC1465.JPG

 

 



Pour en savoir plus :

 

Lundi 28 juin 2010

 

Vendredi 25 juin 2010

 

 

Mercredi 23 juin 2010

 

Vitrolles Collectif de défense de La Poste : compte rendu de la manifestation du 21 juin

 

Jeudi 10 juin 2010

 

21 juin à 14h00 : Non au démantèlement du service public postal à Vitrolles !

 

Vendredi 4 juin 2010

 

La grogne des usagers de La Poste monte d'un cran

 

Lundi 19 avril 2010 19

 

Vitrolles : Le collectif de défense de La Poste se mobilise à nouveau !

 

Mercredi 3 mars 2010

 

Tous devant la Poste de Vitrolles le 3 mars 2010 !

 

Vendredi 26 février 2010

 

 Communiqué du collectif Vitrollais de défense de La Poste

 

Mercredi 24 février 2010

 

 Le courrier peine à arriver dans les boîtes aux lettres

 

Jeudi 15 octobre 2009

 

 La Poste, conflit des facteurs à Vitrolles

 

Lundi 12 octobre 2009

Déclaration du 5 octobre 2009 du Comité national de défense de La Poste

 

Samedi 26 septembre 2009

 

 Votation citoyenne contre la Privatisation de La Poste à Vitrolles et Marignane

 

 Jeudi 24 septembre 2009

 

 Les sous de La Poste, par la Fondation COPERNIC

 

Vendredi 18 septembre 2009

 

Le collectif Vitrollais de défense de La poste mobilisé pour le référundum national contre la privatisation

 

Mardi 25 août 2009

 

Transformation de La Poste, ne prenons pas les français pour des imbéciles !

 

Dimanche 5 juillet 2009

 

Conflit de la Poste à Vitrolles, fin provisoire...

 

Samedi 27 juin 2009

 

Suppression d'emplois à La Poste de Vitrolles, le Front de Gauche en 1ère ligne...

 

Samedi 27 décembre 2008

 

La Poste et les mensonges du Président Nicolas Sarkozy

  

 

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Published by Didier HACQUART - dans Défense La Poste
26 juin 2010 6 26 /06 /juin /2010 05:46


 

Stéphane GUILLON et Didier PORTE sont virés de France Inter, radio de service public. Ce n'est pas anodin dans une société à priori démocratique... Une pétition circule sur le net. Soyons nombreux à la signer. Par ailleurs, les journalistes et producteurs de France Inter nous écrivent à nous les auditeurs de France Inter. C'est à lire et à diffuser...

A suivre, car l'histoire n'est pas terminée. 
DH

 

http://petition.harrycow.fr/static/54169848_p.jpg

 

 


 

LETTRE OUVERTE AUX AUDITEURS PAR LES JOURNALISTES ET PRODUCTEURS DE FRANCE INTER

 

 

 

 

Chers auditeurs,



C’est à vous que nous souhaitons nous adresser après l’éviction de Didier Porte et Stéphane Guillon. Évictions que nous avons apprises, comme vous, en écoutant l’antenne ce mercredi.


Nous sommes sous le choc de ces annonces aussi brutales qu’ incompréhensibles.

Que se passe t-il dans notre radio, celle que vous aimez et celle que nous fabriquons ?

Ce qui se joue à France Inter, au-delà même des personnes concernées, nous semble lourd de symbole quant à l’identité de votre, de notre radio.


Nous vivons un tournant qui nous inquiète dans l’histoire de cette station.


Nous, personnels de France Inter, partageons un attachement indéfectible à la liberté de ton, à l’impertinence, à l’exigence, à la différence et c’est ce que nous défendons tous les jours à l’antenne.


Ce qui a fait le sel et la valeur de cette station depuis tant d’années ne peut devenir un simple argument publicitaire vide de sens.


Ces valeurs dont nous sommes fiers et qui représentent l’ADN de France Inter, se trouvent remises en cause et gravement menacées.

 


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Published by Didier HACQUART - dans Rien n'est inéluctable - mobilisons nous !
25 juin 2010 5 25 /06 /juin /2010 06:04

 


 


http://www.pg12.fr/wp-content/uploads/2009/12/nouveau-logo-pg.png

Le Parti de Gauche dans la manifestation à Marseille le 24 juin 2010.


GEDC1433.JPG


Plus de 2 millions de salariés, jeunes, moins jeunes, retraité et actifs étaient dans la rue pour défendre nos retraites... C'est la plus grande manifestation de l'année.


A Marseille nous étions plus de 120 000 à défiler. Le Parti de Gauche était mobilisé avec drapeaux, affiches et distribution active de tracts.


Si le gouvernement Sarkozy reste droit dans ses bottes, la mobilisation continuera tout l'été et en septembre...


Les retraites, c'est en enjeu de société. L'allongement de la durée de vie est un bonheur ! Le « problème » des retraites n'est pas comptable mais politique...


A suivre.


DH

 

GEDC1449.JPG

Hélène, membre du Bureau National du Parti de Gauche

 

GEDC1451.JPGDe dos chemise grise, le camarade Patrice de Vitrolles avec son drapeau

 

GEDC1447.JPG

Les jeunes du Parti de Gauche...

GEDC1448.JPGPatrice, Jean 6/4, Hélène et tous les partisans du PG à l'action... 


GEDC1446.JPG

Faut pas déconner...

 

 


 

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Published by Didier HACQUART - dans PARTI DE GAUCHE
24 juin 2010 4 24 /06 /juin /2010 05:48

 

 


 

 

Tous ensembles, tous ensembles, aujourd'hui dans la rue pour défendre nos retraites !

 

 

http://www.lepartidegauche.fr/images/stories/illustrations/invitons-les-retraites-dans-les-regionales.jpg

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Published by Didier HACQUART - dans Parti de Gauche Vitrolles
23 juin 2010 3 23 /06 /juin /2010 06:03

 

 

 


 

Collectif Vitrollais de défense de La Poste :

 

Compte rendu du rassemblement devant le bureau de poste le 21 juin.

 

 

 

A l’appel du collectif vitrollais de défense du service public de la Poste, prés d’une centaine de personnes en présence d’élu(e)s vitrollais se sont réunies  devant le bureau de poste le lundi 21 juin à 14 heures pour exiger de la poste qu’elle revienne sur son projet de réduction des horaires d’ouverture à la Frescoule, fermeture du Roucas l’après-midi et de centralisation des instances (recommandés, colis) sur le bureau principal.

 

Pierre Pradel, porte parole du collectif est intervenu pour rappeler les exigences de la population et dénoncé l’attitude de la Poste qui n’a pas répondu à nos demandes d’audience.

 

Devant le refus de la Direction de nous recevoir, le bureau de poste a été occupé et son fonctionnement perturbé.

 

En guise de réponse, la Direction a fait appel à la police qui n’a rien fait d’autre que constater notre détermination.

 

La Direction a persisté dans son refus de concertation jusqu’au moment (prés de 2 heures) où elle a du se rendre compte que nous ne quitterions pas le bureau sans fixation de rencontre.

 

Un rendez vous a été obtenu pour vendredi 10 heures  pour une audience pour laquelle, nous avons exigé et obtenu la présence de la Direction départementale de La Poste.

 

Le collectif a rappelé hier, et le rappellera vendredi : « nous continuerons nos actions tant que la Poste ne sera pas revenue sur sa nouvelle organisation. ».

 

C’est pourquoi, nous appelons les Vitrollais à se réunir encore plus nombreux samedi 26 juin à 9 heures  devant le bureau de poste principal.

 

Nous ferons le compte rendu de la rencontre de la veille avec la Direction et déciderons des modalités de la poursuite de notre action en fonction des réponses apportées.

 

Lors de sa présentation de son projet au personnel, la Direction avait indiqué que les nouveaux horaires et la centralisation des instances n’étaient pas négociables et devaient s’appliquer. Avec le soutien des usagers, le collectif tient à dire que ces questions ne sont effectivement pas négociables et qu’elles ne s’appliqueront pas : la poste doit revenir aux anciennes prestations fournies et améliorer  le service public notamment par la création d’un bureau pour les quartiers des vignettes et de la gare.

La direction de la poste doit comprendre qu’elle ne pourra pas compter sur notre lassitude, elle devra s’habituer à notre présence tant que sa « nouvelle organisation » ne sera pas abandonnée.

 

Rendez vous en nombre samedi 26 juin à 9 heures devant le bureau de poste du centre ville de Vitrolles.

 

DH

 

Pour en savoir plus, cliquez ICI

 

21 juin à 14h00 : Non au démantèlement du service public postal à Vitrolles ! (10/06/10)

 

La grogne des usagers de La Poste monte d'un cran (04/06/10)

 


 

Intervention le 21 juin devant la Poste.

 

 

Mesdames, Messieurs,

 

Au nom du collectif vitrollais de défense du service public postal, je vous remercie de bien avoir voulu répondre à notre proposition de rassemblement.

 

Ce collectif est né à l’occasion du changement de statut de la Poste opéré il y a quelques mois, il a organisé le référendum qui a démontré la massive opposition des français en général et des vitrollais en particulier à ce changement de statut. Le collectif a également permis, en occupant le bureau du Roucas, l’ouverture de négociations lors de la grève de plus d’une semaine il y a quelques mois.

 

A l’issue de ce conflit, la Direction locale de la poste de Vitrolles a reçu quatre personnes au nom du collectif : messieurs Barnier, Brun, Nabéra  et moi même. Il nous a été indiqué ce jour là que l’on ne toucherait  plus aux horaires d’ouverture des bureaux.

 

Mensonge ! puisque même pas un an après, on annonce le projet de fermeture du Roucas l’après midi, la diminution des horaires à Sud et centre et la centralisation des instances en centre ville.

 

Rappelons nous la teneur des débats à l’assemblée nationale concernant la privatisation de la Poste appelée pudiquement « changement de statut », on nous a affirmé que l’apport de nouveaux capitaux permettrait l’amélioration du service public par une modernisation et une meilleure présence postale. 

 

On nous a menti une fois encore !

 

Quant aux députés qui ont voté ce texte, soit ils ont été complices soit on les a trompés eux aussi, auquel cas ils devraient avec nous s’élever contre les fermetures de bureaux de poste. Nous attendons la position de notre député qui est dans ce cas.

 

La réaction des usagers devant le projet de réorganisation de la poste à Vitrolles témoigne de leur volonté de ne plus accepter les mauvais coups qui se font malgré eux. « trop c’est trop on n’accepte plus des décisions prises contre notre avis» nous ont dit plusieurs personnes lors de la pétition qui a récolté à ce jour plus de 1200 signatures.

 

Dès qu’il a eu connaissance du projet, le collectif a sollicité une audience auprès de la Direction départementale de La Poste et auprès du Maire de Vitrolles.

 

Monsieur le Maire nous a reçus et  confirmé son désaccord avec le projet de La Poste et s’est engagé à écrire à la Direction en ce sens.

 

Quant à La Poste, c’est un silence assourdissant malgré trois relances téléphoniques de ma part. Le DRH, que j’ai eu personnellement s’était engagé à nous répondre et pourtant rien !

 

Est ce du mépris ou sont ils gênés aux entournures ? Que ce soit l’un ou l’autre, il faudra bien qu’ils entendent la population de Vitrolles.

 

Nous savons que la fermeture partielle du Roucas préfigure sa fermeture définitive et nous ne l’acceptons pas.

 

Les syndicats de la Poste nous ont informés du projet de La poste de conserver un millier de bureaux sur le plan national,  uniquement ceux qui sont jugés rentables.

 

Mais qu’est ce que cela veut dire rentable ? et rentable pour qui ? S’agit il de rentabiliser les capitaux ou rentabiliser l’efficacité du service public ?

 

Oui pour nous, il est rentable d’assurer aux habitants des quartiers excentrés un service postal permanent et de qualité qu’il s’agisse des personnes âgées, des commerçants et artisans et de la vitalité de nos quartiers, cette rentabilité là ne se mesure pas et pourtant elle est inscrite dans la loi, la Poste étant tenue au maintien et à l’organisation du service public.

 

Et bien ! non seulement, nous refusons la fermeture du Roucas, les réductions d’horaires, mais nous exigeons de prendre en compte les besoins des habitants des quartiers des vignettes et de la Gare en créant un nouveau bureau dans ce secteur de Vitrolles.

 

Que va –t-il donc se passer maintenant ? Nous allons demander à être reçus, immédiatement et en attendant, nous vous proposons d’occuper le bureau. Ils ferment le Roucas, nous fermons le centre ville le temps de la manifestation.

 

Ils n’ont pas voulu nous recevoir à froid, ils nous entendront à chaud ! Ce qui est certain c’est que ce rassemblement n’est pas un baroud d’honneur. On n’est pas du genre : « on s’est fait entendre et on rentre à la maison » .Non, nous sommes là et nous reviendrons tant que nécessaire.

 

 Nous disons à la Direction : tant que vous ne reviendrez pas sur votre projet, nous aurons l’occasion de nous revoir.

 

Aujourd’hui, nous sommes déjà nombreux malgré l’horaire ne permettant pas la participation de ceux qui travaillent, J’ose espérer que la Direction va faire preuve d’un peu de discernement en prenant en compte la détermination de la population qui tient à sa poste et son service public et nous recevoir immédiatement.

 

Nous vous proposons d’attendre le résultat de notre rencontre avec la Direction si celle ci a lieu, nous libèrerons ensuite les lieux. Nous vous proposons de leur laisser le temps de la réflexion en les laissant tranquilles jusqu’à samedi où nous nous rassemblerons de nouveau dans les mêmes conditions permettant une participation de ceux qui travaillent dans la semaine.

 

La Direction doit savoir que nous ne cèderons pas, le service public de la Poste nous appartient, pas question de le laisser filer.

 

Je voudrais saluer en votre nom les élu(e)s qui sont venus nous apporter leur soutien.

 

Vous le savez, le collectif a été créé par des organisations politiques (Parti de Gauche, PCF, NPA, PS) et syndicales (CGT, FSU), mais il est ouvert à tous les citoyens et si vous en êtes d’accord, nous nous adresserons aux élu(e)s absents aujourd’hui dont le député pour qu’ils apportent un soutien à notre action.

 

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Published by Didier HACQUART - dans Défense La Poste
22 juin 2010 2 22 /06 /juin /2010 05:21

 


 

L'accident de la plateforme pétrolière de BP est une véritable catastrophe écologique. Le pétrole se fait plus rare et il faut aller le chercher toujours plus loin dans des conditions de plus en plus difficile.

 

Espérons au moins que cet accident nous fera réfléchir sur le développement économique et la préservation de l'environnement et de notre planète tout simplement.

 

Cette catastrophe nous apporte un autre enseignement. Quelques mois à peine avant la catastrophe, BP revendiquait la suppression de normes de sécurité contraignantes imposées par les Etats au prétexte que c'était une entreprise majeure qui maitrisait les risques. Pour BP, « les démarches volontaires des exploitants de plates-formes étaient bien plus efficaces que les normes de sécurité imposées par les Etats » (*). En clair, la suppression de normes est une source d'économie... Certes les normes de sécurité en vigueur et qui devaient être renforcées n'ont pas été suffisantes pour empêcher la catastrophe, mais il est certain aussi que BP ne maitrisait pas tout. « Le marché » basé sur le profit ne peut pas se réguler tout seul et ne doit pas imposer ses lois...

 

L'article de Politis, nous explique que nous ne sommes pas au bout de nos peines et que d'autres catastrophes sont à venir.

 

Inquiétant...


DH

 

 

(*)BP opposed stricter safety rules




Pétrole : pourquoi les accidents vont se multiplier

 

jeudi 17 juin 2010, par Patrick Piro

 

Du fait de son ampleur, la marée noire du golfe du Mexique impose de tirer des leçons. Elle a, en particulier, mis au jour la dangerosité extrême des forages offshore. Mais la pression économique qui pèse sur le secteur pétrolier prime sur une réelle considération des risques.

 

Politiques, économistes, experts, pétroliers : tous acquiescent, il y aura un « avant » et un « après » la catastrophe du golfe du Mexique. Depuis le 20 avril et l’explosion de la plateforme de forage Deepwater Horizon, qui a tué 11 employés, près de 3 millions de litres de pétrole se répandent chaque jour en mer, crachés à 1 500 mètres de profondeur. Le puits endommagé pourrait n’être obturé que mi-août. La marée noire souille des centaines de kilomètres de zones naturelles fragiles du sud des États-Unis, elle est déjà plus importante que celle de l’Exxon Valdez en Alaska, en 1989, qui fait référence d’ultime accident du genre aux États-Unis.

 

Mais un « avant » et un « après » pour bien d’autres raisons. Pour le pétrolier BP, exploitant du puits, qui devra assumer des conséquences sans précédent et incalculables – coût, procès, image, crédibilité, etc. Et pour l’ensemble de la profession. Les observateurs ont beau jeu de stigmatiser les erreurs de BP, l’accident de Deepwater Horizon, parce qu’il sanctionne le risque des forages en mer (offshore), va durcir les futures autorisations de forer et les règles de sécurité.

 

Des leçons seront donc tirées. Mais elles ne rassurent pas : à défaut pour nos sociétés de soigner résolument leur pétro-dépendance, comment se convaincre que l’on parviendra à brider la course à l’offshore profond, dernière frontière de la course folle à l’or noir ? Au lieu d’être celui du « plus jamais ça », l’accident BP pourrait à l’inverse être précurseur d’une ère du risque pétrolier croissant – des forages chaque fois plus profonds et délicats –, auquel nos sociétés finiraient par se résoudre, pesant le pour et le contre.

 

«  Le golfe du Mexique est très vaste, le volume de pétrole est minuscule en comparaison avec celui de l’eau, et l’impact environnemental devrait être très, très modeste » : cette récente tirade est de Tony Hayward, directeur général de BP. On peut la juger du dernier cynisme ; ou comme l’expression de l’inconscient de nos sociétés schizophrènes.

 

 

 

 

Pour en savoir plus, je vous conseille la lecture du dossier de POLITIS n°1107 de cette semaine :

 

Les forages offshore en zone rouge

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Published by Didier HACQUART - dans Rien n'est inéluctable - mobilisons nous !
21 juin 2010 1 21 /06 /juin /2010 05:23

 

 

 


 

Communiqué de presse

 

NON à la réforme des retraites du gouvernement SARKOZY !

 

 

Le Collectif de Défense de la Sécurité Sociale et des retraites de Vitrolles composé de citoyens et d’organisations politiques et syndicales (UL CGT, UL CFDT, FSU, PCF, Parti de Gauche, NPA, PS) réuni le 17 juin 2010, appelle tous les salariés actifs et retraités à se mobiliser massivement le 24 juin pour s’opposer au projet de réforme des retraites du gouvernement SARKOZY.

 

L’allongement de la durée de vie est une bonne nouvelle pour chacun d’entre-nous et non un problème démographique ! La retraite c’est aussi un choix de société et pas un problème comptable.  Ce choix, c’est la place que l’on donne aux séniors dans notre société.

 

D’autres orientations que celles du gouvernement sont possibles ! Ce n’est pas en rallongeant les années de cotisations que l’on réduira le chômage des jeunes. Ce n’est pas non – plus aux salariés de payer la crise des spéculateurs. Une meilleure répartition des richesses, au contraire, permettrait de garantir nos retraites.

 

Le 24 juin à Marseille le collectif invite tous les Vitrollais à ne pas céder au fatalisme et à s’opposer à cette nouvelle régression sociale qui n’a rien d’inéluctable !

 

Vitrolles, le 19 juin 2010

 

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Published by Didier HACQUART - dans Parti de Gauche Vitrolles