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Pour mieux connaitre  l’histoire politique de Vitrolles, gérée pendant 5 années (1997 - 2002) par l'extrême droite et le couple Bruno et Catherine MEGRET, plus de 200 articles de presse sont à votre disposition (colonne de droite, rubrique "thèmes" sur ce blog). A l'heure de la banalisation de l'extrême droite, un devoir de mémoire s'impose avec l'expérience vécue à  Vitrolles.

Cette histoire politique est désormais complétée par des vidéos que vous pouvez retrouver dans le thème "l'histoire politique de Vitrolles en vidéo", dans la colonne de droite. Cette rubrique sera renseignée au fil du temps.

@ DH
4 mars 2012 7 04 /03 /mars /2012 05:10

 


 

 

Merci à mes "grands cousins" du Nord pour cette vidéo...

 

DH

 

 


 

 

 

 

 

 

 

 

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Published by Didier HACQUART - dans Chronique du dimanche
3 mars 2012 6 03 /03 /mars /2012 04:21



 

Etes –vous riche ou pauvre ?

 

 

Un petit test simple…

 

 

Cliquez ICI.

 

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Published by Didier HACQUART - dans PARTI DE GAUCHE
1 mars 2012 4 01 /03 /mars /2012 04:05

 

En France, il n'y a eu aucun débat démocratique sur le sujet ! Le vote est passé à l'Assemblée et plus particulièrement au Sénat "comme une lettre à la poste" grâce (à cause de ) à l'abstention des élus PS...

 

En Irlande, il y aura un référendum...

 

DH

 


Référendum sur le pacte budgétaire en Irlande: le Parti de Gauche aux côtés de la gauche du non

 

La nouvelle est tombée en milieu d'après-midi (28/02/12) de la bouche du Taoiseach's (premier ministre) Enda Kenny, membre du Fine Gael (droite) : il y aura bien un référendum sur la ratification du Traité sur la Stabilité, la coordination et la gouvernance au sein de l'Union économique et monétaire (TSCG, aussi appelé « pacte budgétaire »). Sans surprise, Enda Kenny a appelé à voter pour la ratification du traité.

 

Le Tánaiste (vice premier ministre) Eamon Gilmore, membre du Parti Travailliste irlandais y est allé de sa déclaration de soutien à la ratification du traité.

 

Heureusement, l'autre gauche irlandaise s'est immédiatement lancée dans la campagne pour le non. Sinn Féin et le Socialist Party, qui siègent avec le Front de Gauche au sein du groupe de la Gauche Unie Européenne au Parlement européen, seront les fers de lance de cette bataille.

 

Le Parti de Gauche les soutiendra dans cette bataille décisive et continue de se battre pour qu'en France aussi le « pacte budgétaire » soit soumis au suffrage du peuple.

 


 

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Published by Didier HACQUART - dans Rien n'est inéluctable - mobilisons nous !
28 février 2012 2 28 /02 /février /2012 05:03

 


 

Intéressant !

 


DH

 


 

 

 

Déçus par l'accord EELV-PS, séduits par un Mélenchon plus clair sur le nucléaire, des écologistes expliquent pourquoi ils se tournent vers le Front de Gauche.

 

Quand Clémentine Autain, porte-parole du Front de Gauche, s'adresse aux militants d'Europe Ecologie - Les Verts, cela donne : « Bienvenue au Front de Gauche ! ».

 

Depuis l'accord passé avec le PS en novembre, les déçus d'EELV ont les yeux tournés vers Jean-Luc Mélenchon. Et selon Corinne Morel-Darleux, secrétaire nationale à l'écologie du Parti de Gauche, ils seraient nombreux. Beaucoup, ajoute-t-elle, confient vouloir voter Mélenchon sans pour autant quitter EELV. Le Front de Gauche a multiplié les gestes de bienvenue à leur égard dès la fin 2011.

 

Dans un texte intitulé « Camarades, et si l'herbe était plus verte ailleurs ? », Stéphane Lavignotte, ancien responsable des Verts, et Clémentine Autain, porte-parole de Jean-Luc Mélenchon, encouragent les militants d'EELV à les rejoindre :

« Nous nous adressons fraternellement et en toute sororité à nos amis – depuis parfois plus de vingt ans – qui militent à EELV pour une vraie alternative au système actuel et que nous voyons malheureux. [...]

 

Si vous quittez EELV, ne disparaissez pas dans la nature : l'écologie politique a toujours besoin de votre engagement. Nous pensons possible et utile de militer ensemble. »

 

Ceux qui ont répondu à l'appel expliquent leur choix.

 

EELV, « satellite du PS »

 

Non seulement Thomas Giry votera pour Jean-Luc Mélenchon, mais il participe désormais à la campagne du Front de Gauche. Le départ de ce membre du conseil fédéral d'EELV n'est pas passé inaperçu.

 

Ancien cadre d'Europe Ecologie - Les Verts, il a rendu publique sa décision en janvier. Deux mois après la conclusion de l'accord avec le PS, « parce qu'après dix-huit ans dans un parti, on ne part pas comme ça ». Pourtant, c'est bien l'alliance avec les socialistes qui a motivé son départ :

 

« Je me suis posé beaucoup de questions quand j'ai réalisé que l'accord signifiait qu'en cas d'une possible alternance, EELV renonçait à s'opposer à une vraie politique d'austérité. »

 

Il est loin d'être le seul pour qui l'accord a été une véritable ligne de faille. L'héritage d'extrême gauche qu'ont en commun une partie des militants écolos a motivé leur ralliement à Jean-Luc Mélenchon.

 

Quand le côté extrême gauche des écolos les rattrape.

 

Mireille Teulé est « née chez les communistes ». Petite-fille d'une première adjointe au maire PCF qui l'a beaucoup influencée, cette ancienne professeure d'histoire-géographie a rejoint Europe Ecologie - Les Verts il y a deux ans. Elle aussi a décidé de confier sa voix au candidat du Front de Gauche :

 

« Je ne peux plus que voter pour lui ! EELV s'est placé comme satellite du PS, or c'est pour moi le symbole du néolibéralisme. »

 

Etablie dans l'Aquitaine, elle a milité pour la première fois en 2005 contre le Traité établissant une constitution pour l'Europe (TCE). La retraitée a exprimé son opposition au TCE au sein des comités anti-libéraux « auxquels des militants PS proches de Jean-Luc Mélenchon faisaient aussi partie ».

 

Le bilan local des élus PS d'Aquitaine a également pesé dans la balance :

 

« Ils soutiennent le projet de TGV-Aquitaine qui a endetté la région pour les cinquante ans à venir alors qu'il ne va absolument pas contribuer à désenclaver les petites communes isolées. »

 

Mélenchon, plus clair sur le nucléaire

 

Une chose est sûre : la campagne de Jean-Luc Mélenchon se drape de vert et cela plaît aux militants écolos. Sandrine Figuié, élue EELV à Martigues (Bouches-du-Rhône), a annoncé qu'elle mettait entre parenthèses son appartenance politique le temps de la campagne... afin de se consacrer au Front de Gauche.

 

Elle a été déçue par l'amollissement du combat écologique de son parti, conséquence directe de la signature de l'accord avec le PS :

 

« Les socialistes ne sont pas opposés au nucléaire. Quand je vois aujourd'hui que les Verts sont les alliés du PS, je me dis qu'on a beaucoup plus de choses à faire avec le Front de Gauche. On ne voit pas les militants PS mobilisés sur cette question. »

 

Au contraire, elle remarque que ceux du Front de Gauche sont « des gens de terrain, ancrés dans le monde associatif, au coude à coude dans les manifs ». Bref : des personnes « avec qui une alliance naturelle se noue ».

 

Consulter les citoyens sur le nucléaire : « Tout à fait d'accord »

 

C'est également la raison qui, après 38 ans de vote écolo, a mené Anne-Marie Imbert à se pencher sur le programme du Front de Gauche :

 

« J'habite non loin de la centrale nucléaire de Tricastin dans la vallée du Rhône et ici, beaucoup des militants de Sortir du nucléaire sont au Parti de Gauche en même temps. »

 

Selon elle, Jean-Luc Mélenchon est cette année « le seul candidat qui convient ». Europe Ecologie - Les Verts est à ses yeux très en retrait par rapport à ce qu'il aurait dû conclure avec le PS sur le nucléaire, c'est-à-dire l'arrêt total de l'activité des centrales. Elle ajoute :

 

« Même si toutes les formations du Front de Gauche ne sont pas d'accord sur ce point, ils proposent d'organiser un référendum, ce avec quoi je suis tout à fait d'accord. »

 

Lassés des luttes internes à EELV

 

Cette « ouverture d'esprit » reconnue au Front de Gauche a également plu aux militants d'EELV, souvent désabusés par les luttes internes qui ravagent leur parti.

 

Le lynchage dont Eva Joly est la victime au sein de son propre parti a démobilisé Sandrine Figuié :

 

« Ça me choque en tant que femme, ça me choque en tant que personne. »

 

Quasi unanimement, les militants et élus interviewés dénoncent l'arrivisme de la direction du parti : « Cécile Duflot ou Jean-Vincent Placé ont les dents longues », « tout le monde chez les écolos veut être élus, alors ça crée des problèmes »... Ils finissent par aller voir ailleurs.

 

Cette exaspération n'a pas échappé à Jean-Luc Mélenchon. Dès novembre, alors qu'Eva Joly est malmenée par son parti divisé sur l'accord avec le PS, il faisait d'une pierre deux coups en redoublant de sympathie envers Eva Joly la « courageuse » :

 

« Elle prend des engagements très forts sur le nucléaire et l'EPR et elle se fait faucher et démentir, je comprends que ça l'atteigne. »

 

Un vote « utile »

 

Aucun écolo sur le départ ne considère cependant Jean-Luc Mélenchon comme l'homme providentiel. Il s'agit avant toute chose de voter utile. Simon Imbert-Viers, conseiller fédéral EELV et responsable de la commission immigration, a lui aussi décidé de ne pas renouveler son adhésion à Europe Ecologie - Les Verts. Il votera Mélenchon dès le premier tour.

 

En désaccord total avec la politique d'immigration prônée par le PS, il estime au contraire que le Front de Gauche « ne commet pas d'erreur sur ces questions ». Il précise :

 

« Ce n'est pas un vote d'adhésion totale au Front de Gauche. Je ne suis pas en train de dire “c'est super, c'est magnifique”. Je me prononce en tant que citoyen, pour faire passer un message. »

 

Le but est souvent d'accroître le poids du Front de Gauche afin, dans le cas où François Hollande serait au second tour, de faire pression sur les décisions prises dans le futur par le PS. « Assurer une alternance et pas une simple alternative », résume un militant.

 

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Published by Didier HACQUART - dans Front de Gauche
27 février 2012 1 27 /02 /février /2012 04:15

 


 

« Le PEN fille » tente de dé-diaboliser le FN, en tentant de lui donner une apparence respectable. Il ne faut pas se leurrer et encore moins se faire berner. Elle ne rejette nullement les propos de son père.

 

Lors du congrès de Lille, « Le PEN père » a cité BRASILLACH. Jean-Luc MELENCHON sur son blog,  nous rappelle qui il était :

 

Robert Brasillach a été condamné à mort et fusillé pour « intelligence avec l'ennemi ». C'était un collabo patenté. Je le dis pour que ceux qui pensent que Madame Le Pen défend la France sachent que son parti applaudit un traître à la patrie.

 

Pire, sous le régime du maréchal Pétain, Brasillach dirigeait le journal antisémite « Je suis partout » édité à 250 000 exemplaires. Le plus important journal de la collaboration. C'est dans ce journal infâme qu'il a notamment écrit le 25 septembre 1942 : « Il faut se séparer des Juifs en bloc et ne pas garder les petits ».

 

Enfin, pour être complet, voyons les dernières paroles de Brasillach. A son procès, il affirme : « Je n'ai rien à regretter de l'intention qui m'a fait agir ». Et avant d'être fusillé, le 6 février 1945, il déclare à son avocat : « C’est aujourd’hui le 6 février, vous penserez à moi et vous penserez aussi aux autres qui sont morts le même jour, il y a 11 ans », en référence à la tentative de coup d'Etat fasciste du 6 février 1934.

 

Madame Le Pen accepte donc sans broncher qu'on cite dans ses meetings un fasciste, collabo, appelant au crime antisémite de masse, nostalgique d’une tentative de coup d’Etat. 

 

Aujourd’hui, LE PEN récidive en citant MUSSOLINI…

 

Ce ne sont pas des références dignes de Républicains défenseurs de notre pays !

 

DH

 


 

L’infâme Le Pen fait une nouvelle fois l’apologie d’un antisémite et cite Mussolini

 

Samedi, 25 Février 2012 23:21 Alexis Corbière

 

 

Dans la vidéo de son dernier « Journal de bord », Jean-Marie Le Pen est revenu sur Robert Brasillach qu'il avait cité lors de la Convention du FN.

 

Il s'en est pris à la presse dans son ensemble en affirmant que ce collaborateur, ouvertement fasciste, rédacteur en chef de l'ignoble « Je suis partout », qui appela régulièrement au crime antisémite, n'était finalement qu'un « jeune journaliste de 34 ans, fusillé à la Libération pour ses articles. Ce qui devrait lui valoir une certaine compréhension de la part de ses collègues. Après tout « Pauvre moi, qui pourrait être à sa place » pourraient-ils se dire ! ».

 

Il rajoute qu'il trouve « abject » que Jean-Luc Mélenchon s'en soit indigné sur France 2, concluant même par une citation de Mussolini.

 

Pour nous, c'est cette nouvelle banalisation de la collaboration avec le nazisme qui est abjecte. Un brûlot antisémite n'est pas un journal, c'est un torchon. Celui qui écrit dedans, n'est pas un journaliste, mais une ordure. L'antisémitisme n'est pas une opinion, mais un délit

 

Le président d'honneur du FN perd une nouvelle fois toute dignité. Sa fille qui l'approuve également.

 


 

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Published by Didier HACQUART - dans PARTI DE GAUCHE
26 février 2012 7 26 /02 /février /2012 04:56

 


 

 

Super le césar 2012 pour Omar Sy !!

 

DH

 

 

 

Mais j'aime bien aussi cela :

 

 

 

J'espère que "les autres" ont passé une mauvaise soirée...

 

A voir ou revoir, la critique du film Intouchables par Le PEN. Affligeant...

 

Cliquez ICI

 


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Published by Didier HACQUART - dans Chronique du dimanche
25 février 2012 6 25 /02 /février /2012 04:57

 


 

Le site internet de Jean-Luc Mélenchon est très connu et ses chroniques valent le détour :

 

http://www.jean-luc-melenchon.fr/

 

 

Pour autant, il anime un second site plus spécifiquement dédié à son activité au Parlement Européen :

 

http://europe.jean-luc-melenchon.fr/

 

Je vous le conseille. Il est plus technique, mais permet de bien comprendre les mécanismes et ce qui je joue à Bruxelles…

 

DH

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Published by Didier HACQUART - dans PARTI DE GAUCHE
24 février 2012 5 24 /02 /février /2012 04:37

 

Au PS d'assumer ses responsabilités, à moins qu'il ne préfère nous refaire le coup du traité de Lisbonne...


DH

 

 

 


 

senat-1

 

 

Le 28 février aura lieu le vote le plus important du Sénat depuis qu'il est passé à gauche. Le Mécanisme Européen de Stabilité arrive en effet à la haute assemblée après avoir été adopté à l'Assemblée Nationale. Si l'abstention de la plupart des députés socialistes est politiquement condamnable, le vote des sénateurs socialistes revête cette fois une importance cruciale.

 

Qu'ils votent contre et le texte, retoqué, devra repartir à l'Assemblée. Or le refus du Sénat pourrait du coup dérégler le calendrier extrêmement serré auquel s'est astreint Nicolas Sarkozy pour espérer signer le nouveau traité européen début mars avec sa comparse Mme Merkel. Le mauvais coup du candidat Sarkozy pourrait ainsi être bloqué. A l'inverse, en s'abstenant, les sénateurs socialistes permettraient à l'UMP, pourtant minoritaire, de faire passer un texte conçu par la droite française et européenne. Le vote des sénateurs et sénatrices socialistes revêt donc la même importance que lors du vote en congrès du Traité de Lisbonne. Comme alors l'abstention vaudrait accord avec la droite et le libéralisme. C'est pourquoi partout en France les élus et militants Front de Gauche vont interpeler par courrier les sénateurs socialistes.

 

Il est une deuxième méthode pour bloquer ce texte : que 60 députés ou sénateurs le défèrent devant le conseil constitutionnel. Si, comme on peut l'espérer les sénateurs EE-LV et MRC acceptent de saisir le Conseil avec leurs collègues du Front de Gauche, il suffira de 25 socialistes pour le rendre possible. Les sénateurs socialistes ont donc amplement l'occasion de montrer qu'ils ne veulent pas seulement battre Nicolas Sarkozy mais aussi sa politique.

 

Eric Coquerel,
secrétaire national du PG et conseiller spécial de Jean-Luc Mélenchon

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Published by Didier HACQUART - dans PARTI DE GAUCHE
23 février 2012 4 23 /02 /février /2012 04:58

 

La polémique enfle entre "le petit journal" de Canal+ et Jean-Luc MELENCHON. C'est tout à fait regrettable.

 

Autant, il faut savoir accepter la critique et les éventuelles contradictions, autant, Le Petit Journal ne peut contrefaire la vérité. C’est très grave en pleine campagne Présidentielle. J’espère qu’il acceptera d’inviter Eric COQUEREL du parti de Gauche, lourdement mis en cause lundi dernier.

 

DH

 

 

 


 

barthes_yann2

 

Aveuglé par une fixation tenace, Yann Barthes a une nouvelle fois, lundi soir, imprudemment franchi la ligne jaune à l'encontre de Jean-Luc Mélenchon et du Front de Gauche. Cette fois, à travers moi, il a tout simplement expliqué que nous disions "n'importe quoi", autrement dit que nous étions des menteurs.

 

La cause de ce courroux : mon interview à l'émission de Jean-Marc Morandini lundi matin sur Europe 1 où, témoin d'évènements couverts par Le Petit Journal , je démontais la manipulation et la déformation de plusieurs sujets de cette émission. Sur les 20 minutes de cette émission radio, l'équipe du Petit Journal s'est manifestement gratté la tête pour contester mes dires.

 

Barthès m'a finalement accusé de mentir sur une phrase : j'évoquais un journaliste de France 3 ayant protesté contre un tournage caméra caché du Petit Journal. Ayant déjà tendance à vouloir s'extraire de la case divertissement qui est la sienne sur Canal Plus pour s'imaginer dans celle de l'information, Yann Barthès et son équipe se sont cette fois carrément pris pour des journalistes d'investigation.

 

Facile, n'est-ce pas : un responsable politique est forcément un menteur non ? Problème : quand cela se double de précipitation et de malhonnêteté cela retombe sur le nez des Rouletabille de pacotille. Et Barthès de diffuser un bout de phrase du rédacteur en chef adjoint de France 3 Metz, Cyril Destracque, à l'appui de sa démonstration.

 

Résultat, il a tout faux, et au grattage et au tirage... Si le Petit Journal m'avait contacté, je leur aurais donné ma source : en l'occurrence le rédacteur en chef de Arrêt sur Image, Daniel Schneidermann, dans une émission dont j'étais l'invité. Arrêt sur image a donc diffusé, dès mardi, sur Internet le mot de protestation du JRI de France 3 qui confirmait mon propos. Mais l'histoire ne s"arrête pas là : Cyril Destracque, le journaliste de France 3 appelé à la barre de l'accusation contre moi, a révélé mardi avoir été enregistré par le Petit Journal à son insu et malgré son refus affirmé !

 

L'article d'Arrêt sur Image démontre que ses propos ont du coup été tellement raccourcis qu'ils sont sur-interprétés.

 

Tout cela suffit. En introduisant cette séquence par un "ça nous gave donc on imagine que ça vous gave aussi", Yann Barthès indique bien le message qu'il entend porter auprès de ses téléspectateurs. En pleine campagne électorale, le préjudice politique est évident pour le Front de Gauche. Il l'est aussi personnellement car je n'accepte pas que l'on me traite ainsi de menteur sans aucune preuve. Je demande donc officiellement un droit de réponse non monté et proportionnel au préjudice commis.

 

 

Eric Coquerel,
secrétaire national du PG et conseiller spécial de Jean-Luc Mélenchon

 
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Published by Didier HACQUART - dans PARTI DE GAUCHE
22 février 2012 3 22 /02 /février /2012 04:47

 

Il ne faut pas se raconter d'histoires et encore moins aux électeurs !

 

DH

 


 

martine-billard

 

Heureusement que le Front de Gauche a obtenu un scrutin solennel nominal sur la ratification du Traité MES, obligeant ainsi les divers groupes politiques à être présents en séance.

 

S'il n'y avait rien à attendre de la droite, l'abstention du groupe socialiste retire tout crédit à la promesse de renégociation du candidat Hollande sur les nouveaux traités européens.

 

La seule manière pour les Français de résister à l'Europe austéritaire est désormais le vote Front de Gauche aux prochaines élections.

 

Je salue néanmoins les 23 députés socialistes qui ont répondu positivement à l'appel solennel de Jean-Luc Mélenchon, en votant contre le MES.

 

 

Martine Billard,
co-présidente du Parti de Gauche et députée de Paris

 

 

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Published by Didier HACQUART - dans PARTI DE GAUCHE