Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Recherche

Référencement

Il y a actuellement  

  personnes connectées à Over-Blog dont  

  sur ce blog
  Blogue Parade - L'annuaire des blogues francophones - BlogueParade.com

 

Wikio - Top des blogs - Politique

Archives


Pour mieux connaitre  l’histoire politique de Vitrolles, gérée pendant 5 années (1997 - 2002) par l'extrême droite et le couple Bruno et Catherine MEGRET, plus de 200 articles de presse sont à votre disposition (colonne de droite, rubrique "thèmes" sur ce blog). A l'heure de la banalisation de l'extrême droite, un devoir de mémoire s'impose avec l'expérience vécue à  Vitrolles.

Cette histoire politique est désormais complétée par des vidéos que vous pouvez retrouver dans le thème "l'histoire politique de Vitrolles en vidéo", dans la colonne de droite. Cette rubrique sera renseignée au fil du temps.

@ DH
17 octobre 2007 3 17 /10 /octobre /2007 07:01

Municipales 2008 : 9 et 16 mars…
 
 
 
 
 

Les élections municipales se dérouleront les 9 et 16 mars 2008. La ministre de l'Intérieur a présenté, le 11 octobre, en conseil des ministres, un décret fixant la date de renouvellement des conseils municipaux et portant convocation des électeurs les dimanches 9 et 16 mars 2008.

 
 
 

Elles se tiendront le même jour que les élections cantonales dans les cantons faisant l'objet d'un renouvellement. Le canton de Vitrolles n’est pas renouvelable en 2008.

 
 
 

Le scrutin sera ouvert à 8 heures et clos à 18 heures.

 
 
 
DH
Partager cet article
Repost0
Published by Didier HACQUART - dans Municipales 2008
16 octobre 2007 2 16 /10 /octobre /2007 06:10

 



« Mini-traité Européen », attention les choses s’accèlerent…

 


Je suis intervenu à plusieurs reprises sur ce blog sur la fameux « traité simplifié » négocié par Nicolas SARKOZY. J’ai tout d’abord posté un article Attention danger pour la démocratie et ensuite un autre pour la pétition pour un nouveau référendum toujours d’actualité.

 
 
 

Mais aujourd’hui les choses s’accélèrent. Ainsi la présidence portugaise de l'UE a publié le 5 octobre  2007 le nouveau traité remplaçant la Constitution européenne. Le mini traité est en fait un texte indigeste qui devra être approuvé au sommet de Lisbonne des 18 - 19 octobre une fois les dernières difficultés politiques résolues.

 


Fort de 256 pages, ce "traité réformateur", qui devrait à terme s'appeler "traité de Lisbonne", se compose d'un préambule, du traité lui-même et d'une multitude de protocoles et de déclarations reflétant les concessions faites aux différents Etats membres pour arracher un accord.

 
 
 

Le préambule, une phrase, souligne que l'objectif est de "compléter le processus lancé par le traité d'Amsterdam (1996) et par le traité de Nice (2000) en vue de renforcer l'efficacité et la légitimité démocratique de l'Union et d'améliorer la cohérence de son action". En clair, il faut adapter le fonctionnement des institutions d'une UE élargie de 15 à 27 Etats membres. Alors que la Constitution rejetée par les Français et les Néerlandais en 2005 remplaçait tous les traités européens par un texte unique, celui-ci amende les deux traités "fondateurs" (le traité de Rome sur la Communauté européenne en 1957 et le traité sur l'UE de Maastricht en 1992).

 
 
 

Ce nouveau « mini-traité est disponible en ligne :

 
 
 
http://www.consilium.europa.eu/cms3_fo/showPage.asp?id=1317&lang=fr&mode=g
 
 
 

il se lit comme une liste de modifications, du genre: "l'article 1er est modifié comme suit" ou "la phrase suivante est ajoutée à la fin du premier alinéa". Il est donc incompréhensible sans les deux autres traités à portée de main. Est –ce totalement le hasard ?

 
 
 

Un ami m’a cependant communiqué le site suivant :

 
 
 
www.traite-simplifie.org
 
 
 

On peut y trouver les textes officiels, ainsi que les textes glanés sur le Web en appelant à une consultation du peuple français.

 
 
 

Si vous pouviez faire circuler ce lien auprès de carnet d'adresses, ce serait peut-être bien.... N'hésitez pas à regarder la page "Que faire ?" et "Comment nous aider ?".

 
 
 
DH
Partager cet article
Repost0
Published by Didier HACQUART - dans Traité de Lisbonne
15 octobre 2007 1 15 /10 /octobre /2007 05:48

 



PRS a réuni son Conseil national les 6 et 7 octobre. Je vous propose de lire la résolution adoptée à l'issue des travaux.

 
 
 
DH
 
 
 
 
 
 

Résolution du Conseil National de PRS des 6 et 7 octobre 2007

 
 
 
 
 

Gauche réveille-toi, le peuple a besoin de toi !

 
 
 
 
 
La droite à l'offensive
 
 
 

Depuis plusieurs mois, les attaques contre les acquis sociaux et républicains de notre pays se succèdent sans discontinuer. Sur tous les sujets, le nouveau président fait adopter des lois ou prononce des « discours fondateurs » qui sont autant de ruptures avec ce qui fait le meilleur de notre histoire. Rupture avec la progressivité de l’impôt lorsqu’il met en place le bouclier fiscal. Rupture avec la vision laïque et universaliste des relations internationales lorsqu’il met au premier plan de notre politique étrangère le « choc entre le monde musulman et l’Occident ». Rupture avec l’ordre public social lorsqu’il promeut la supériorité du contrat de travail sur la négociation collective et sur la loi. Rupture avec le devoir social de l’Etat lorsqu’il veut lui enlever le pouvoir d’augmenter le SMIC. Rupture avec le service public lorsqu’il décide la privatisation de GDF. Rupture avec la sécurité sociale lorsqu’il veut instaurer le principe « malade payeur » à travers les franchises médicales. Rupture avec la conception politique du lien social issue des Lumières lorsqu’il convoque la génétique dans la procédure du regroupement familial.

 
 
 

Cette offensive sans précédent prend la forme d’une bataille culturelle de tous les instants. Selon le baromètre des journaux télévisés des chaînes hertziennes de l'Institut national de l'audiovisuel, Nicolas Sarkozy est apparu à l'écran 224 fois de mai à août 2007, quand Jacques Chirac n'était apparu que 94 fois durant la même période en 1995 et 75 fois en 2002. Cette avalanche médiatique submerge amis et ennemis sous un flot d’annonces de toutes sortes qu’il leur est impossible d’analyser sérieusement et de discuter de façon argumentée avant qu’arrive la vague suivante. Alors le premier objectif de Sarkozy est atteint : tout ce qu’il dit prend l’allure de l’évidence puisque personne n’a le temps de le décrypter.

 
 
 

Pour Sarkozy, la campagne présidentielle continue. Il sait que son arrivée au pouvoir est le fruit d’une guerre-éclair, que l’adhésion de l’opinion est fragile, que l’exaspération populaire reste forte. Il lui faut donc conforter la prise. C’est la raison d’être de son activisme médiatique : jour après jour, des dizaines de slogans sont déversées sur le plus grand nombre pour tenter d’arracher l’hégémonie culturelle dont il a besoin pour mener à bien sa politique.

 
 
 

De plus, son hyper présence lui permet de redonner une cohérence à son camp, sorti en lambeaux de l’ère Chirac. La parole présidentielle arbitre les désaccords, distribue les consignes, assure la promotion des dirigeants. Faute de cela, la force des milliers de militants UMP sur le terrain se perdrait dans le sable.

 
 
 

Sarkozy tente donc de réunir à nouveau les ingrédients qui ont permis son succès à la présidentielle. Son objectif est de construire une force durablement majoritaire au service d’une redéfinition libérale et antirépublicaine de l’identité du pays. Cette façon d’agir a son revers et la gauche serait bien inspirée d’en prendre la mesure pour saisir les opportunités qui en découleront. L’unification des droites sous la houlette de Sarkozy est une condition de son offensive. Il en maintient le cap au prix d’une radicalisation qui est ensuite le prétexte à des débordements qui approfondissent encore la droitisation de la droite comme on l’a vu à propos des tests Adn pour les immigrés où l’hébergement des SDF sans papier. De nouvelles tensions en résultent. A leur tour elles ne se résorbent que par l’hyper présence présidentielle.

 
 
 

Dans ces conditions nous pouvons dire que la fragilité du système politique s’est aggravée à mesure que sa stabilité repose davantage sur une seule personne. La gauche a raison de dénoncer cette omniprésence qui bafoue la démocratie. Elle ne doit pas pour autant oublier que sa première tâche est de lui répondre. C'est-à-dire d’organiser la défense pied à pied des conquêtes sociales qu’il agresse.

 
 
 
La gauche tétanisée
 
 
 

L’offensive de Sarkozy prend appui sur un vide à gauche. Son objectif principal est d’ailleurs de l’aggraver. Il en va ainsi de « l’ouverture ». D’un côté, celle-ci met à profit l’existence au sein de la gauche d’une sensibilité qui cultive depuis plusieurs années des convergences idéologiques et politiques avec la droite. De l’autre, elle vise à couper les jambes de l’opposition de gauche en la décrédibilisant par avance.

 
 
 

Malheureusement, l’opposition à Sarkozy est inconsistante ou inexistante. La gauche ne s’est toujours pas remise de la défaite de la présidentielle. Celle-ci, en raison notamment du contenu de la campagne de Ségolène Royal, a profondément brouillé ses repères et désorienté son électorat. Cette orientation se paie aujourd’hui lourdement. Alors que le pouvoir n’a jamais été aussi à droite, il n’est plus évident pour une conscience de gauche de s’y opposer avec force et détermination.

 
 
 

Dans ce contexte, la relégation de la conscience républicaine organisée par le courant « démocrate » du Parti Socialiste et divers secteurs de l’autre gauche se paye au prix fort à présent. Le démantèlement des points d’appui fondamentaux de la forme républicaine de notre société n’est ni perçu ni combattu par eux. La compréhension de ce que vise la droite est rabougrie à une vaine protestation ponctuelle, au cas par cas, sans capacité à montrer la cohérence de la contre révolution libérale ni ses implications de long terme sur notre société. Il en résulte à nos yeux qu’il est urgent de renouveler la présence et la parole critique du républicanisme socialiste sur la scène publique de notre pays. Et il est urgent que ce soit de gauche que parte le retour de cette parole républicaine.

 
 
 

L’engourdissement de la gauche a donc des causes politiques. La ligne « démocrate » initialement élaborée par Clinton puis Blair, qui s’est instillée progressivement en son sein conduit à récuser l’opposition frontale entre gauche et droite, à mettre en péril la stratégie du rassemblement de la gauche au profit d’un rapprochement politique avec le « centre », à donner raison à Sarkozy sur plusieurs points essentiels de son idéologie. Force est de constater que cette ligne ne tient ni le choc de la campagne électorale ni celle de l’opposition. D’ores et déjà la paralysie gagne tout l’organisme de la gauche. Demain, si l’emportent les tentations du changement d’alliance, de la division, du sectarisme, tout peut même voler en éclats.

 
 
 

Faute de mots d’ordre de combat, faute d’organisation politique capable de porter la contre-offensive, beaucoup se laissent aller et laissent finalement faire. Le premier devoir d’une conscience de gauche n’est pourtant pas de commenter mais d’agir, de faire quelque chose.

 
 
 
Agir pour changer d'horizon
 
 
 

Dans les semaines qui viennent, PRS veut contribuer à la mobilisation contre la droite avec son apport spécifique dans le domaine de l’éducation populaire. Raisonnablement, nous pouvons être fiers de notre contribution à la réflexion collective de la gauche. Le concept central du Manifeste adopté l’an passé, l’Emancipation fait son chemin dans les débats de la gauche. Nos propositions pour l’avenir de la gauche ont été mises en mots dans le document « la gauche d’après » adopté lors de notre dernière Convention nationale et publié depuis lors par notre revue. Celles-ci font aussi leur chemin dans les organisations politiques de gauche qui ont lancé chacune de leur côté des processus de débat interne. Les militants de PRS sont plus que jamais disponibles pour y participer. En même temps, nous savons que la nécessaire recomposition de la gauche pour qu’émerge une force politique nouvelle a besoin du ferment de la lutte qui éduque. Aucune résolution politique ne remplacera l’action concrète pour construire des consciences de gauche éclairées. C’est en s’opposant à la droite que l’on reconstruira la gauche. C’est possible. Le pouvoir en place n’est pas intouchable. Cela se constate déjà.

 
 
 

On se souvient que la simple mise en cause du projet de TVA sociale avait modifié le rapport de forces entre gauche et droite entre les deux tours des élections législatives. Ceci montre qu’en se mobilisant sur quelques mesures emblématiques de la politique de Sarkozy, la gauche peut faire bouger les lignes.

 
 
 

C’est notamment le cas sur la mise en place des franchises médicales. Une mobilisation significative s’organise contre cette mesure. Elle rassemble un front très large au plan social, organisationnel et politique. Elle est éminemment pédagogique dans son contenu, en montrant comment la « responsabilisation » des personnes contredit le droit à la santé et ce qu’implique la privatisation rampante du secteur de la protection sociale solidaire contre la maîtrise collective incarnée par la Sécurité sociale. Les rassemblements organisés samedi 29 septembre dans plusieurs villes de France, notamment à Paris au gymnase Japy, ont été un succès. De nouveaux rendez-vous sont d’ores et déjà fixés, notamment à l’occasion de la manifestation du 18 octobre prochain. PRS se met au service de cette mobilisation. Celle-ci ne doit pas s’arrêter avec le vote du projet de loi de financement de la sécurité sociale par le Parlement. Beaucoup de nos concitoyens découvriront les franchises quand elles commenceront à s’appliquer. De plus, on sait que la droite entend faire des franchises le principal levier de remise en cause de l’assurance-maladie, par le biais d’une augmentation importante et régulière de leur montant. A terme, l’objectif du gouvernement est d’offrir aux groupes privés d’assurance un marché dont le montant pourrait s’élever à plusieurs centaines de milliards d’euros (équivalent au budget de l’Etat). C’est donc un combat de longue haleine qui commence autour de la défense de la sécurité sociale, convergeant avec la défense du droit à la retraite et posant à terme la question d’un nouveau partage des richesses dans notre pays.

 
 
 

Autre rendez-vous d’ampleur avec le pouvoir, les réformes de la Constitution prévues par Nicolas Sarkozy. Celui-ci prépare deux révisions décisives de la Constitution. L’une peut déboucher sur un changement de régime. L’autre sur la ratification d’un traité européen reprenant presque mot pour mot le projet de Constitution européenne rejeté par les Français. Dans leur contenu comme dans la méthode parlementaire prévue pour leur adoption, ces deux projets priveraient le peuple du droit de décider les règles selon lesquelles se prendront à l’avenir la quasi totalité des décisions le concernant. Il ne faut pas en effet se laisser abuser par les habillages du chef de l’Etat. Le pseudo « mini-traité », appellation qui n’est utilisée qu’en France, aurait rigoureusement la même portée que l’ancienne Constitution. Quant à la réforme prétendument « technique » de la Ve République, il suffit d’écouter Edouard Balladur parler ouvertement du passage au régime présidentiel, contribuant ainsi à mettre toujours davantage le pouvoir à l’abri des citoyens. Ces deux révisions doteraient notre pays des deux fondements de nature constitutionnelle qui organiseraient demain notre « démocratie ». Les principes démocratiques minimaux exigent que des décisions de cette ampleur soient prises par le peuple.

 
 
 

Or la gauche a les moyens d’obliger le pouvoir à recourir au referendum. La révision constitutionnelle se décide en effet à la majorité des 3/5 des députés et sénateurs. La gauche est à 8 voix du seuil du veto. On sait déjà que Nicolas Sarkozy devra compter avec plusieurs défections dans son camp. Si la gauche respecte la synthèse politique nouée au moment de la présidentielle lorsque Ségolène Royal a annoncé avoir réconcilié le « oui » et le « non » en exigeant un nouveau referendum sur tout nouveau traité, elle pourra mettre Sarkozy dans les cordes. C’est pourquoi PRS lancera une campagne pour informer les Français du contenu du nouveau traité et exiger un referendum populaire dès que celui-ci sera publié.

 
 
 

La gauche doit se réveiller. Elle peut changer le cours des choses. Pour l’heure Sarkozy se nourrit des faiblesses de la gauche. Mais la politique du pouvoir affronte les intérêts de la majorité salariée du pays. Elle heurte nombre de nos concitoyens attachés à nos conquêtes sociales et républicaines. Elle soulève d’ores et déjà des résistances et des mobilisations : contre les franchises médicales, pour la défense de la retraite et des régimes spéciaux, contre les fermetures de poste dans l’Education nationale, contre les conditions de travail à Goodyear... Celles-ci doivent être encouragées, fortifiées, organisées, unifiées, éclairées politiquement. C’est le rôle des organisations de gauche. PRS y contribuera par la présence de ses militants, son travail politique d’éducation populaire et un esprit unitaire sans faille.

Partager cet article
Repost0
Published by Didier HACQUART - dans PRS
14 octobre 2007 7 14 /10 /octobre /2007 10:47

 


Inauguration de l’Université Populaire et républicaine à Marseille le 19 octobre 2007

 
 
 
 
 

Le 19 octobre 2007, l’UNIVERSITE POPULAIRE ET REPUBLICAINE A MARSEILLE ouvre ses portes !

 
 
 

Grâce à l’aimable soutien de l’Association FILM FLAMME, cela se passera salle du POLYGONE ETOILE 1,rue MASSABO MARSEILLE 2ème .

 
 
 

Le programme est le suivant :

 
 
 

18h00 : Présentation de l'UPR et conférence de presse

 
 
 
19h00 : Sylvain BARTET : Les principes républicains
 
 
 
 
 

Pour en savoir plus, sur le calendrier, les conférences, n’hésitez pas à consulter le site provisoire de l’UPR :

 
 
 
 
 
 
DH
Partager cet article
Repost0
Published by Didier HACQUART - dans UPR Marseille
13 octobre 2007 6 13 /10 /octobre /2007 08:34


Le Nobel de la paix à l'Américain Al Gore et au panel de l'ONU sur le climat
 
 
Le prix Nobel de la paix a été attribué vendredi à l'ancien vice-président américain Albert Arnold Gore, Jr., plus connu sous le nom d'Al Gore et au panel de l'ONU sur le climat Le prix Nobel de la paix a été attribué vendredi à l'ancien vice-président américain Al Gore et au panel de l'ONU sur le climat (Giec) pour leurs efforts visant à accroître les connaissances sur le changement climatique, a annoncé le comité Nobel norvégien.
 
Le prix leur est conjointement décerné "pour leurs efforts de collecte et de diffusion des connaissances sur les changements climatiques provoqués par l'homme et pour avoir posé les fondements pour les mesures nécessaires à la lutte contre ces changements", a déclaré à Oslo le président du comité Nobel norvégien, Ole Danbolt Mjoes.
 
Cela me fait d’autant plus plaisir que j’avais salué à plusieurs reprises sur ce blog, sa lutte contre le réchauffement climatique :
 
 
et
 


Al Gore rejoint la prestigieuse liste des lauréats du prix Nobel de la Paix avec notamment pour les 10 derniers :

2007: Al Gore (Etats-Unis) et le panel de l'ONU sur le climat (Groupe intergouvernemental d'experts sur l'évolution du climat, Giec)
2006: Muhammad Yunus (Bangladesh) et la Grameen Bank
2005: Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) et son directeur Mohamed ElBaradei (Egypte)
2004: Wangari Maathai (Kenya)
2003 : Shirin Ebadi (Iran)
2002: Jimmy Carter (Etats-Unis)
2001: Organisation des Nations Unies (ONU) et son secrétaire général Kofi Annan (Ghana)
2000: Kim Dae-Jung (Corée du Sud)
1999: Médecins sans frontières (fondé en France)
1998: John Hume et David Trimble (Irlande du Nord/Grande-Bretagne)
 

DH

Partager cet article
Repost0
Published by Didier HACQUART - dans Rien n'est inéluctable - mobilisons nous !
12 octobre 2007 5 12 /10 /octobre /2007 06:50


Au moins c’est clair !
 
 
 

Denis KESSLER, ex n°2 du MEDEF exprime tout haut dans la revue Challenges, l’objectif de la droite ultralibérale : Casser les avancées sociales issues du Conseil National de la Résistance.

 
 
 

Pour cela la méthode est claire et consistait à anéantir les syndicats et toute opposition politique !

 
 
 

Il va falloir régir vite et se restructurer à gauche pour être en mesure de mener une riposte efficace. Avec de tels propos la mobilisation sociale sera de mise…

 
 
 

A suivre.

 
 
 
DH
 
 
 
 
 

Adieu 1945, raccrochons notre pays au monde ! Par Denis Kessler

 
 
 

Le modèle social français est le pur produit du Conseil national de la Résistance. Un compromis entre gaullistes et communistes. Il est grand temps de le réformer, et le gouvernement s'y emploie.

 
 
 

Les annonces successives des différentes réformes par le gouvernement peuvent donner une impression de patchwork, tant elles paraissent variées, d'importance inégale, et de portées diverses : statut de la fonction publique, régimes spéciaux de retraite, refonte de la Sécurité sociale, paritarisme...

 
 
 

A y regarder de plus près, on constate qu'il y a une profonde unité à ce programme ambitieux. La liste des réformes ? C'est simple, prenez tout ce qui a été mis en place entre 1944 et 1952, sans exception. Elle est là. Il s'agit aujourd'hui de sortir de 1945, et de défaire méthodiquement le programme du Conseil national de la Résistance !

 


A l'époque se forge un pacte politique entre les gaullistes et les communistes. Ce programme est un compromis qui a permis aux premiers que la France ne devienne pas une démocratie populaire, et aux seconds d'obtenir des avancées - toujours qualifiées d'«historiques» - et de cristalliser dans des codes ou des statuts des positions politiques acquises.

 


Ce compromis, forgé aune période très chaude et particulière de notre histoire contemporaine (où les chars russes étaient à deux étapes du Tour de France, comme aurait dit le Général), se traduit par la création des caisses de Sécurité sociale, le statut de la fonction publique, l'importance du secteur public productif et la consécration des grandes entreprises françaises qui viennent d'être nationalisées, le conventionnement du marché du travail, la représentativité syndicale, les régimes complémentaires de retraite, etc.

 


Cette «architecture» singulière a tenu tant bien que mal pendant plus d'un demi-siècle. Elle a même été renforcée en 1981, à contresens de l'histoire, par le programme commun. Pourtant, elle est à l'évidence complètement dépassée, inefficace, datée. Elle ne permet plus à notre pays de s'adapter aux nouvelles exigences économiques, sociales, internationales. Elle se traduit par un décrochage de notre nation par rapport à pratiquement tous ses partenaires.

 


Le problème de notre pays est qu'il sanctifie ses institutions, qu'il leur donne une vocation éternelle, qu'il les «tabouise» en quelque sorte. Si bien que lorsqu'elles existent, quiconque essaie de les réformer apparaît comme animé d'une intention diabolique. Et nombreux sont ceux qui s'érigent en gardien des temples sacrés, qui en tirent leur légitimité et leur position économique, sociale et politique. Et ceux qui s'attaquent à ces institutions d'après guerre apparaissent sacrilèges.


Il aura fallu attendre la chute du mur de Berlin, la quasi-disparition du parti communiste, la relégation de la CGT dans quelques places fortes, l'essoufflement asthmatique du Parti socialiste comme conditions nécessaires pour que l'on puisse envisager l'aggiornamento qui s'annonce. Mais cela ne suffisait pas. Il fallait aussi que le débat interne au sein du monde gaulliste soit tranché, et que ceux qui croyaient pouvoir continuer à rafistoler sans cesse un modèle usé, devenu inadapté, laissent place à une nouvelle génération d'entrepreneurs politiques et sociaux. Désavouer les pères fondateurs n'est pas un problème qu'en psychanalyse.
 
Partager cet article
Repost0
Published by Didier HACQUART - dans Rien n'est inéluctable - mobilisons nous !
11 octobre 2007 4 11 /10 /octobre /2007 06:57

 


Vatos Locos, une association qui met à l’honneur la ville de Vitrolles

 
 
 

L’association Vatos Locos de Vitrolles est régulièrement mise à l’honneur dans la presse locale. Cette association très dynamique a développe principalement son activité autour de l'audiovisuel.

 


Née d'une communion entre vidéastes professionnels et passionnés de cinéma, V.L.V ambitionne de développer le secteur audiovisuel sur la ville de Vitrolles et ses alentours.

 


Les courts métrages réalisés par l’association Vitrollaise ont été primés à plusieurs reprises.

 
 
 

Je tenais à saluer cette association qui met à l’honneur notre ville de Vitrolles.

 
 
 

Pour en savoir plus je cous conseille leur site internet :

 
 
 
 
 
 
Vous pourrez découvrir leurs productions.
 
 
 
DH
Partager cet article
Repost0
Published by Didier HACQUART - dans Réflexions
10 octobre 2007 3 10 /10 /octobre /2007 14:30


13 0CTOBRE 2007 : JOURNEE DE MOBILISATION CONTRE LES

 FRANCHISES MEDICALES
 
 

Le Collectif 13 contre les Franchises et pour l'Accès aux soins pour tous vous invite à assister au débat sur la protection sociale qu'il organise après la projection du film Sicko au cinéma « les Variétés » samedi 13 octobre 2007.

  Début de la séance 13 h 40 précises.  Débat à 15 h 45
  
37 rue Vincent Scotto 13001 MARSEILLE
 
  

L'accès aux soins pour tous mis à mal par les réformes successives (ticket modérateur, déremboursements, dépassements d'honoraires, forfait consultation, forfait hospitalier, médecin traitant, disparition des hôpitaux de proximité, ...) se trouve maintenant sous la menace des franchises dites médicales.

Les malades ne sont pas responsables de leurs maladies, le système de santé doit permettre à chacun(e), quelle que soit sa situation sociale, de recevoir les soins les plus appropriés. La protection sociale ne peut être que solidaire, les intérêts privés doivent en être exclus.
  

ACLiMSS, Aides, ATTAC, Ballon Rouge, Collectif Santé Quartiers Nord, Collectif de défense des hôpitaux sud, Coordination Nationale des Comités de défense des hôpitaux et maternités de proximité, Collectifs unitaires anti-libéraux, Confédération Paysanne 13, CSF, EGSAM, FGR, FSU, Indecosa CGT, les Alternatifs, Loisirs-Solidarité-Retraités, LCR, Mvt de la Paix 13, Mvt Santé pour tous, Mutuelle de la construction interprofessionnelle, Planning Familial, PCF, PRS, Rouges Vifs, SUD étudiants, SUD santé sociaux, UFAL, UD CGT, USR CGT, SOLIDAIRES, UNEF, Groupements Mutualistes solidaires, USP, VSP.


Partager cet article
Repost0
Published by Didier HACQUART - dans Rien n'est inéluctable - mobilisons nous !
10 octobre 2007 3 10 /10 /octobre /2007 06:49


Sur l’affaire EADS, le PS se positionne notamment via son secteur entreprise : http://entreprises.parti-socialiste.fr/
 
 
 
Le Président Nicolas SARKOY toujours prompt à intervenir dans les médias, est plutôt absent sur le sujet… Est – ce un hasard ?
 
 
 
En tant qu’ancien Secrétaire du Groupement National des socialistes d’entreprises du secteur Aéronautique du PS de 1997 à 2005, j’aurai beaucoup de choses à dire sur la genèse d’EADS orchestrée par Lionel JOSPIN et le nouveau patron du FMI, DSK… Tout cela pour en arriver là aujourd’hui ! Quel gachis…
 
 

A lire en complément l’excellente analyse du journaliste François RUFFIN 

 
« Lagardère pour les nuls » :

 
http://www.la-bas.org/article.php3?id_article=1271


sans oublier l’article paru dans le Monde Diplomatique en mai 2007 :

 

http://didier-hacquart.over-blog.com/article-11253883.html

 

 
A suivre...
 
 
 
DH
 
 
 
 
 
 

Communiqué du Parti socialiste

 
 
 
EADS : du scandale financier à l’affaire d’État
 
 
 
 
 

Le Parti socialiste dénonce avec la plus grande fermeté les petits arrangements, les manipulations et la recherche du profit à tout prix qui ont prévalu jusqu’au plus haut sommet de l’État dans l’affaire EADS.

 
 
 

Non content de laisser l’entreprise affronter une crise industrielle et sociale, la droite n’a pas hésité à organiser la socialisation en amont des pertes de Lagardère.
C’est en effet en toute connaissance de cause que le gouvernement de l’époque, auquel appartenait l’actuel Président de la République, a fait racheter la moitié de sa participation par des institutionnels à hauteur de 7,5%. La Caisse des dépôts, qui a porté sur ordre cette opération, a investi deux milliards d’euros, dont un tiers est parti en fumée peu de temps après.

 
 
 

Après l’affaire Clearstream, et le dossier SOGERMA, l’affaire de la vente de stock-options par les dirigeants et de la participation de deux des actionnaires principaux, avant l’annonce de plusieurs difficultés industrielles majeures (A380 et A350), n’avait fait qu’accroître les difficultés de l’entreprise et le trouble des salariés.

 
 
 

Le comportement des dirigeants, pour scandaleux qu’il soit, ne doit pas masquer la véritable responsabilité de l’État qui a couvert ces cessions.

 


Le Parti socialiste demande que toute la lumière soit faite dans les plus brefs délais sur cette affaire, y compris sur les responsabilités politiques du gouvernement de l’époque

 
 
 
 
 

Communiqué du parti socialiste

 
 
 
Dépénalisation du droit des affaires et scandale d’État chez EADS : une drôle de coïncidence
 
 
 
Alors qu’éclate un double scandale chez EADS :
 
 
 

•    scandale financier de la vente de stock-options par les dirigeants d’EADS pour 90 millions d’euros, peu de temps avant l’annonce de difficultés industrielles majeure pour l’entreprise, à l’automne 2005,

 
 
 

•    scandale d’État de la socialisation organisée des pertes prévues pour Lagardère sur fonds publics en faisant racheter en amont la moitié de sa participation dans EADS par la Caisse des dépôts pour 1,8 milliards d’euros, dont un tiers, soit 600 millions d’euros, devait s’envoler en fumée quelques semaines plus tard,

 
 
 

le Parti socialiste s’étonne de la coïncidence de ces révélations avec l’installation par la Garde des sceaux, Rachida Dati, d’un groupe sur la dépénalisation du droit des affaires.

 
 
 

Au moment où l’on durcit la répression sur la délinquance de droit commun -avec la loi sur la récidive notamment, on veut dépénaliser une grande partie de l’activité délinquante, celle en col blanc. Le fait de voler deux fois un DVD dans un hypermarché fait risquer un an de prison depuis la loi d’août 2007 instituant les peines-plancher tandis qu’on veut exonérer complètement les dirigeants indélicats d’entreprises.

 
 
 

Les délits économiques et financiers représentent moins de 0,5% des condamnations, soit 9.000 condamnations sur 592.000 en France en 2005 mais cette délinquance-là cause des préjudices considérables à l’économie française.

 
 
 

On ne peut donc que s’alarmer de voir le Président de la République considérer qu’il n’est pas grave de présenter des comptes falsifiés, de ne pas déclarer sa main d’œuvre, de se livrer au délit d’initiés.

 
 
 

Le Parti socialiste demande au Président de la République de renoncer à son projet de soustraire la délinquance économique et financière aux condamnations pénales.

Partager cet article
Repost0
Published by Didier HACQUART - dans Industrie Aéronautique
9 octobre 2007 2 09 /10 /octobre /2007 07:14

Elu et militant,  du terrain au monde de demain !
 
 
 
 
 

Etre élu et militant c’est s’impliquer dans sur sa ville, dans son parti et dans le mouvement politique au sens plus général. Cela permet de resituer le rôle de la politique en partant de la réalité de nos concitoyens jusqu’à refaire un monde meilleur !

 
 
 

Vendredi soir : réunion de quartier

 
 
 

Tout d’abord, le maire et la municipalité ont organisé une réunion de quartier vendredi soir. La première heureuse surprise, c’est que la salle était pleine ! C’est vrai aussi que le candidat de l’UMP était présent avec ses militants, élections municipale de 2008 obligent… Mais ce n’est pas le plus intéressant.

 
 
 

Ce qui est toujours frappant dans ce type de réunion, c’est que cela nous ramène nous élus, aux principes de réalité. Ce qui intéresse nos concitoyens c’est leur réalité quotidienne. C'est-à-dire, l’aménagement du trottoir devant chez eux, le bruit du booster du fils du voisin, l’incivisme des autres habitants du quartier, la vitesse excessive des voitures, etc. C’est aussi la très gentille dame de 81 ans qui habitent à Vitrolles depuis 3 ou 4 mois, et qui a perdu 4 points sur son permis de conduire pour excès de vitesse et absence de port de la ceinture de sécurité, délits constatés et verbalisés par notre Police Municipale !

 
 
 

Ce que je retiens de ce type de réunion, c’est que la politique c’est aussi loin des grands discours, de prendre en compte la réalité des citoyens dans leur quotidien.

 
 
 
 
 

Samedi matin : assises de la refondation du PS

 
 10-2007-Assises-refondation-Ps-marseille.jpg
 

Samedi matin je suis allé aux assises de la refondation du PS à Marseille organisé par la fédération des Bouches du Rhône. L’impatience des militants à s’exprimer était de mise, et Michel VAUZELLE a dû écourter la fin de son discours d’introduction pour que les 3 ateliers puissent démarrer rapidement ! C’était de bon augure.

 
 
 

J’ai suivi tout d’abord le 1er atelier sur « la société française et la Gauche, quelles attentes, quelles propositions, autour de quelles valeurs ?

 
 
 

Jean VIARD, le célèbre sociologue marseillais, directeur de recherche au CNRS, nous a fait une brillante introduction. Il a d’abord rappelé l’objectif de la gauche qui est de « changer le monde », contrairement à la droite qui part de la réalité et qui est dans « l’hyperréalisme ».  Il est intervenu sur l’absence de liens entre les intellectuels et le PS, contrairement aux « compagnons de route » présents dans l’histoire du  PCF.

 
 
 

Pour lui, la Gauche doit répondre à deux défis majeurs :

 
 
 

Jusqu’où peut mener un  développement infini dans un monde fini.  Quel avenir pour la planète ?

 
 
 

Après le nomadisme parti de la nuit des temps, nous sommes à l’ère de la réunification des tribus. Quelle humanité unifiée voulons – nous ? Quelle identité ?

 
 
 

La parole a été donnée à la salle. On peut saluer les nombreuses interventions diverses et « libres ». il en était de même dans les 2 autres ateliers qui concernaient « Quelles propositions pour un gouvernement de gauche dans une économie mondialisée ? » et « Quelle nouvelle démocratie pour le parti Socialiste ? »

 
 
 

Dans ce type de débat je suis toujours frappé entre  le décalage entre les interventions des militants et la réalité de leurs votes dans les instances et congrès du PS ! Il est vrai que certains dirigeants à la tribune tentent très habilement d’imposer leurs points de vue sur la « nécessaire évolution », et en fait sur la social – démocratie et  la non-moins nécessaire « ouverture par les portes et les fenêtres » (encore les municipales 2008).

 
 
 

Le travail sur la démocratie du parti sera abouti lorsque les militants voteront en leur âme et conscience et non pas en fonction de ce que l’on leur suggère ou impose ! Cela évitera le décalage du positionnement du parti sur le traité constitutionnel par exemple. Il est tout de même surprenant que les militants PS aient voté dans leur grande majorité pour le OUI au référendum interne et pour le NON au vote « réel » !

 
 
 

Un dernier point, qui m’a frappé, c’est le besoin des militants d’un chef, d’un leader, et parfois peu importe ce qu’il porte comme idées… Cela m’attriste, moi qui ait la révulsion des chefs et des gourous. La gauche, je croyais que c’était l’émancipation es citoyens, et avoir besoin absolument d’un chef, d’une boussole, me paraissait plutôt une valeur de droite. Mais bon ?

 
 
 
Samedi soir : Fête de la LCR
 
 LCR.jpg
 

Le soir, la journée n’était pas terminée, et j’étais invité à une table ronde organisée par la LCR dans le cadre de sa fête à Vitrolles. Autre décor, autre ambiance, je suis intervenu dans le cadre de PRS. Il n’est pas toujours facile d’intervenir dans ce type de réunion, et il est clair que le PS n’a pas toujours bonne presse. Mais ce n’est pas grave, et l’important est de démonter que le PS n’est pas monolithique !

 
 
 

On apprend toujours beaucoup de ce type de réunion. Nous sommes dans une autre dimension, loin des réalités de la réunion de quartier évoquée ci-dessus, loin des préoccupations du PS et de ses militants qui se cherchent un leader, tout en voulant changer le monde. L’idée que je partage, c’est la constitution d’un vrai parti de transformation sociale. Cela rejoint Jean VIARD et l’ambition de la gauche qui est de changer le Monde. Pour la LCR, cela peut passer par la proposition de ce parti de créer un nouveau parti plus large. Pour PRS, c’est le modèle allemand du Die LINKE qui associe les ex socialistes du SPD, les ex communistes de l’est et le mouvement social, qui est proposé. Le PC est aussi en pleine réflexion sur son avenir. Les collectifs unitaires toujours réticents à la notion de partis politique, veulent une « politique autrement ».

 
 
 

Il y a du chemin à parcourir, mais que des militants de divers horizons se parlent et se respectent est une première étape ! Personne ne doit exclure personne…

 
 
 
Conclusion
 
 
 

La politique c’est tout cela à la fois ! « Le courage c’est d’aller vers l’idéal et de comprendre le réel », comme disait JAURES dans son discours à la jeunesse !

 
 
 

Ce que vivent les « gens du quartier », c’est aussi la conséquence des politiques menées au niveau national. Si certains problèmes remontés lors de la réunion incombent bien évidemment à la maire, il s’avère aussi que d’autres pourraient se régler entre les citoyens eux- mêmes. L’incivisme du « fils de voisin » ne se règle pas par de la police en plus, mais peut – être par un comité de quartier. « Tf1 » et bien d’autres choses ont fait un malheur terrible et les gens ne se parlent plus. L’individualisme, valeur de droite (le chacun pour soi, la valeur du contrat) conduit bien évidemment à la destruction du lien social, fondement de nos sociétés.

 
 
 

Cela amène à la vision de la Gauche sur l’émancipation de nos concitoyens. Cela passe dans nos partis par de la formation politique (une intervenante à Marseille, nouvelle adhérente, l’a d’ailleurs réclamée). C’est aussi le sens de la démarche de la création de l’Université Populaire et Républicaine de Marseille.

 
 
 

Ensuite, vis-à-vis des camarades de la LCR,  il y a le monde idéal que l’on désire et le monde dans lequel on vit ! L’utopie d’aujourd’hui sera la réalité de demain, certes et j’y crois, mais l’enjeu pour chacun aujourd’hui est de prendre ses responsabilités et de ne pas se tromper de cible dans l’intérêt de tous !

 
 
 
A suivre…
 
 
 
DH
Partager cet article
Repost0
Published by Didier HACQUART - dans Mon action d'Adjoint à la mairie de Vitrolles