Article paru dans l'édition de l’HUMANITE du 6 mars 1997.
Bruno Mégret, qui s’exprimait devant la presse en tant que porte-parole de la mairie et en l’absence du maire, son épouse Catherine Mégret, a affirmé que ce plan d’économie respectera les priorités du Front national, en particulier en matière de sécurité.
Les effectifs de la police municipale seront ainsi augmentés de 40 à 60 personnes, par « redéploiement de postes d’éducateurs de rue et d’agents d’ambiance ». Le « conseiller spécial du maire » FN a affirmé que la nouvelle équipe municipale avait trouvé une situation « apocalyptique » des finances de la ville, avec un déficit évalué à 45 millions de francs pour le projet de budget de 1997.