Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Recherche

Référencement

Il y a actuellement  

  personnes connectées à Over-Blog dont  

  sur ce blog
  Blogue Parade - L'annuaire des blogues francophones - BlogueParade.com

 

Wikio - Top des blogs - Politique

Archives


Pour mieux connaitre  l’histoire politique de Vitrolles, gérée pendant 5 années (1997 - 2002) par l'extrême droite et le couple Bruno et Catherine MEGRET, plus de 200 articles de presse sont à votre disposition (colonne de droite, rubrique "thèmes" sur ce blog). A l'heure de la banalisation de l'extrême droite, un devoir de mémoire s'impose avec l'expérience vécue à  Vitrolles.

Cette histoire politique est désormais complétée par des vidéos que vous pouvez retrouver dans le thème "l'histoire politique de Vitrolles en vidéo", dans la colonne de droite. Cette rubrique sera renseignée au fil du temps.

@ DH
14 octobre 2006 6 14 /10 /octobre /2006 08:42

Le respect des militants passe par la confrontation des idées entre les candidats, pour leur permettre de se positionner en connaissance de cause. C’est à tout l’honneur de notre parti, de les organiser. C’est tout à l’honneur des 3 candidats de se soumettre à l’exercice. J’espère que Ségolène ROYAL reviendra à la raison. La règle est bien de se faire élire par les militants du parti, et non par l’extérieur du parti socialiste. Il ne faut pas l’oublier !
 
DH
 
Ségolène ROYAL menace de ne pas participer aux confrontations avec ses concurrents.
 
 
Les escapades électorales à la Réunion se révéleraient-elles fatalement périlleuses pour tout candidat socialiste ? Après Lionel Jospin en 2002, et sa dévastatrice sortie, dans l'avion du retour, sur un Chirac «vieilli, usé et fatigué», Ségolène Royal a créé la surprise, hier, depuis l'océan Indien, en laissant planer le doute sur sa participation aux confrontations entre les candidats PS à l'investiture présidentielle. «Je ferai les débats dans la mesure où ils sont nécessaires», a-t-elle expliqué. Mais la favorite des sondages, qui n'a «pas envie de [se] faire ballotter», a prévenu : «S'ils sont trop nombreux, s'ils sont détournés de leur véritable destination, je me réserve le droit de ne pas m'y assujettir.» 
 
Les proches de ses concurrents, instantanément, ont bondi sur l'occasion. «Maintenant que les règles socialistes du débat sont fixées, on ne peut à la fois revendiquer le respect de ces règles et refuser de se les voir appliquer», défouraille Jean-Christophe Cambadélis, lieutenant de DSK. Alors qu'un fabiusien feint la surprise : «La championne de la démocratie participative refuserait-elle de participer à la démocratie ?» 
 
Fébrilité. Conforme à sa position quant aux débats, cette sortie de la députée se révèle risquée : elle intervient après des négociations dignes de la préparation d'un sommet israélo-palestinien (Libération d'hier) entre les états-majors des trois candidats. Le député Gaëtan Gorce, membre de son état-major, a d'ailleurs illico tenté de désamorcer l'affaire, expliquant que Ségolène Royal souhaitait juste que les débats «se passent bien et soient utiles». Commentaire d'un proche de Fabius : «Ce ne sont plus des porte-parole, ce sont des atténue-parole.»
 
Au-delà de cette péripétie réunionnaise, une certaine «fébrilité» a gagné, ces jours-ci, l'équipe de Ségolène Royal. Après une prestation jugée terne, samedi lors du conseil national, sa position sur l'adhésion de la Turquie ­ « Mon opinion est celle du peuple français » ­a été jugée un peu courte. Par ceux qui, au PS, n'ont pas encore choisi leur champion : «J'essaie de trouver des raisons de m'enthousiasmer, mais ce que j'ai vu au conseil national, entendu sur la Turquie et sur les débats ne m'en a pas fourni», confie un hésitant. Plus inquiétant, ses proches commencent à douter : « Plus que jamais, il faut qu'elle s'en tienne à ses fiches », a confié un membre de son staff à un député ami.
 
Déni. L'entourage de la candidate, lui, nie en bloc : «Rien de tel chez nous. C'était une bonne et solide conférence de presse.» Les soutiens de Ségolène Royal, jusqu'ici peu belliqueuse, annoncent même la contre-offensive : «Les autres la mettent en cause sur sa compétence ? On va parler de la compétence de ceux qui ont été aux manettes.» Le symptôme d'une certaine nervosité ?


Pour en savoir plus : http://www.liberation.fr/actualite/politiques/210373.FR.php
Partager cet article
Repost0
Published by Didier HACQUART - dans Parti Socialiste